Certaines personnes se sentent insensibles quand quelqu'un meurt et vivent leur chagrin plus tard. Ces moments intenses sont parfois déclenchés par les fêtes, les anniversaires, le milieu naturel ou même devant des gens qui vous rappellent le défunt.
Mais au début, c'est peut-être extrêmement protecteur et nécessaire pour cette personne d'être coupée des émotions. Si en revanche cela persiste au bout des semaines, des mois, voire un an… cela signifie que quelque chose est bloqué dans le processus de deuil. Dans ce cas, il faut consulter."
Ne pas pleurer après la mort d'un proche ne signifie pas l'absence de tristesse. Pour certaines personnes, ne pas pleurer peut simplement refléter une forme inhabituelle d'expression de tristesse suite à une perte subite, ou un déni. Les larmes peuvent également arriver plus tard dans le processus.
Nous souhaitons vous rappeler qu'il n'y a aucun mal à pleurer lors d'un enterrement, au contraire c'est une réaction normale et naturelle. Votre corps a besoin d'exprimer la peine que vous ressentez mais il est possible que vous ne souhaitiez pas pleurer en public pour diverses raisons.
L'absence de larmes survient parfois. Certaines personnes, malgré des épreuves ou des émotions intenses, n'arrivent pas à pleurer. Certains ont des blocages émotionnels, d'autres sont peut-être trop influencés par les messages culturels et sociaux.
Si vous avez besoin de pleurer pendant un cours, vous pouvez tourner votre visage vers le bureau ou le couvrir avec un livre. Ne faites pas de bruit et ne sanglotez pas. Essayez de ne pas renifler non plus. Gardez un mouchoir dans votre main et essuyez rapidement vos larmes dès qu'elles se mettent à couler.
En effet ne pas arriver à exprimer ses émotions, "pleurer à l'intérieur" est très douloureux et peut se traduire par des somatisations (céphalées de tension, corps tellement tendu qu'il fait mal, problèmes dermatologiques, sommeil avec dents clavées,etc).
Cela fait partie de la maturation psychologique vers l'âge adulte. Les personnes sujettes aux attaques de panique ou à des troubles dépressifs : l'angoisse de mort peut faire partie de leurs symptômes. Les personnes en fin de vie peuvent souffrir d'angoisse de mort, tout comme leurs proches.
troubles digestifs; vertiges; palpitations; aggravation de problèmes de la peau (psoriasis, eczéma).
Il y a bien des deuils plus « difficiles » à vivre que d'autres. La perte d'un enfant reste la souffrance et la perte la plus terrible qu'on rencontre dans notre existence car elle va à l'encontre du sens même de la vie. Cette épreuve est le deuil à vivre le plus difficile où il faut redoubler de vigilance.
« Je t'aime. » Si vous êtes assez proche, rappeler à une personne en deuil que vous l'aimez peut être puissant. Le deuil peut laisser aux gens un sentiment de solitude, et en leur rappelant que vous les aimez et que vous êtes là pour eux, vous pouvez leur rappeler qu'ils ne sont pas seuls.
Cette impossibilité à ressentir des émotions, positives ou négatives, peut trouver sa source dans plusieurs événements. Elle peut être due à un traumatisme, un choc émotionnel trop fort ou être liée à un trauma survenu pendant notre enfance. Les troubles qui en découlent se traduisent par différents symptômes.
2 - Le déni
Le déni est une phase pendant laquelle la personne endeuillée refuse de croire / comprendre l'annonce du décès. Elle refuse et rejette l'information.
L'absence qui se fait immédiatement ressentir semble accroître la puissance des sentiments et des émotions. C'est une constante dans tous les deuils. Cruel et injuste, le sentiment de manque ne vous quitte plus. L'absence est comme “un poids” inévitable à chaque étape du deuil, et parfois même après le deuil.
Trouvez un sens à la mort
Trouver un sens à la mort peut vous aider à accepter sa réalité. Cela peut être quelque chose de personnel, comme la croyance que la mort est une transition vers une autre vie, ou quelque chose de plus général, comme la conviction que la mort est une partie naturelle du cycle de la vie.
Le symbolisme du quarantième jour
Le quarantième jour est perçu comme un temps de transition, où l'âme du défunt achève son voyage vers l'éternité. Il est également considéré comme un moment propice pour la prière et l'offrande de messes en l'honneur du défunt.
La durée d'un deuil est très variable, suivant la souffrance de la personne. Elle peut s'étendre de plusieurs semaines à plusieurs mois ou même plusieurs années. Néanmoins quand le deuil fait suite à la perte d'un proche, la première année est souvent décisive afin de revisiter toutes les grandes dates anniversaire.
L'alexithymie consiste en « une inhabilité à pouvoir faire des connexions entre les émotions et les idées, les pensées, les fantasmes, qui en général les accompagnent ».
Le choc psychologique, également appelé choc émotionnel, résulte d'un évènement traumatisant qui submerge la faculté que possède un individu à faire face aux émotions qu'il ressent lorsque celui-ci survient. Non pris en charge, il peut entrainer un traumatisme psychique.
Les moments tristes ou quand nous sommes très nerveux augmentent les niveaux de cortisol dans le corps, connus sous le nom d'hormone du stress. À fortes doses, cette hormone endommage nos défenses, laissant le corps plus enclin à contracter des maladies.
Les larmes proviennent des mêmes glandes qui produisent le liquide formant un film protecteur sur les yeux contre les irritants ou les corps étrangers. Après une accumulation de stress, verser des larmes serait une façon instinctive de retrouver un équilibre.
Le chagrin provoque du stress, qui affecte la libération d'hormones comme le cortisol. Ces hormones stimulent les neurotransmetteurs du cerveau qui provoquent des réactions physiques telles que des pleurs, des maux de tête et un écoulement nasal.