Le coma est la forme la plus sévère d'altération de la conscience. Il s'agit en général d'un état transitoire, durant au maximum quelques semaines. Dans les cas les plus graves son évolution peut conduire au décès.
Une Emiratie a repris connaissance après 27 ans passés dans un coma profond à la suite d'une grave lésion cérébrale, a indiqué ce mercredi son fils en affirmant n'avoir jamais perdu espoir de voir sa mère se réveiller.
L'ancien international français Jean-Pierre Adams, dans le coma depuis 1982 à la suite d'une erreur médicale est décédé ce lundi, à l'âge de 73 ans.
Ainsi, si la quiescence cellulaire est réversible et essentielle à la réparation et à la stabilité des tissus, à l'âge avancé, les « arrêts cellulaires » des cellules quiescentes sont fréquents et participent aussi au processus de vieillissement.
Le coma est dit "profond" ou "carus". A ce stade encore, le réveil est possible. Mais une personne peut rester dans un coma profond pendant plusieurs mois, voire plusieurs années. Au stade IV, ou coma dépassé, cette fois irréversible, on parle de "mort cérébrale".
Le cerveau est donc mis en activité sans que le patient s'en rende compte. Le patient dans le coma «ne perçoit pas consciemment les informations que nous lui envoyons via son traitement, explique le Pr Schnider.
Coma urémique (stade terminal d'insuffisance rénale chronique) ; Coma myxoedémateux et de l' hyperthyroïdie ; Coma hypercapnique ; Coma hépatique : l'encéphalopathie hépatique se voit lors des hépatites graves.
Les séquelles potentielles sont des troubles cognitifs, autrement dit des difficultés de mémoire, de perception, un ralentissement de la pensée.
Le Conseil constitutionnel valide la procédure d'arrêt des traitements des patients incapables de s'exprimer mais apporte des garanties aux proches pour pouvoir faire un recours en urgence contre cette décision médicale.
Il a les yeux fermés, il est incapable de réagir à des stimuli externes et n'est pas en mesure d'être réveillé. Le diagnostic clinique et la gravité du coma sont déterminés à l'aide de l'échelle de Glasgow.
Vue de l'extérieur, la personne dans le coma semble plongée dans un profond sommeil. En réalité, son cerveau est en souffrance et elle doit le plus souvent être admise en réanimation.
4127-37-2 détermine les conditions dans lesquelles lorsque le patient est hors d'état d'exprimer sa volonté, il est possible de suspendre ou de ne pas entreprendre des actes médicaux apparaissant inutiles, disproportionnés ou n'ayant d'autre effet que le seul maintien artificiel de la vie.
En théorie, il suffit d'arrêter l'administration de sédatifs ou de faire remonter la température corporelle. Mais il arrive que le patient ne se réveille pas. Tout dépend de la gravité des lésions qui ont nécessité le recours à un coma artificiel, et pas uniquement au traitement engagé.
Séances de kinésithérapie, d'ergothérapie, d'orthophonie, de psy... Cette période de réadaptation qui peut paraître longue et fastidieuse aux yeux du patient comme de ses proches est pourtant nécessaire. Après la sortie du coma, la rééducation est très souvent pluridisciplinaire.
Qu'est ce que le coma ? Le coma est un trouble de l'état de vigilance dans lequel la personne n'émet plus aucune réponse aux stimuli extérieurs. Le patient ne peut pas être réveillé car ses deux hémisphères cérébraux sont atteints et ne réagissent plus.
Il ne faut pas confondre la mort cérébrale et le coma. La mort cérébrale correspond à l'arrêt des fonctions cérébrales, et donc de la respiration et du cœur, alors que ces fonctions peuvent être conservées dans le coma.
soit en "soins intensifs" (si la défaillance porte sur un seul organe), soit en "réanimation" (si plusieurs défaillances sont identifiées et si le pronostic vital est engagé)".
Les situations de fin de vie concernent notamment les personnes qui ont une maladie grave, évolutive, en phase avancée, potentiellement mortelle ou lorsque le pronostic vital est engagé à court ou moyen terme, après un accident par exemple.
Cet état se caractérise par une abolition de la conscience, de la sensibilité et de la vigilance alors que les fonctions dites « végétatives » (comme les battements du cœur, le maintien de la température du corps à 37 ° et la respiration) sont préservées.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...
En fin de vie, la perte de force musculaire fait en sorte que la personne peut dormir les paupières entrouvertes, et avoir la mâchoire tombante. Les yeux sont vitreux et larmoyants.
La personne pleure. Elle veut parfois exprimer cette tristesse seule et parfois être accompagnée dans l'expression de cette grande peine. Les personnes en fin de vie expriment souvent qu'elles auraient voulu que cette vie se poursuive encore longtemps et comment il est difficile de laisser ceux qu'on aime.
Plusieurs signes peuvent indiquer que la mort approche. Les fonctions du corps diminuent et se préparent à arrêter : le patient n'a plus faim ni soif, se fatigue rapidement, dort de plus en plus et s'isole.