Non. C'est un mythe basé sur un malentendu. Il n'a pas fallu 362 pages ou 300 ou 200 pages à Russell et Whitehead pour prouver que 1+1=2, et vous n'avez pas besoin d'autant de pages pour le faire.
Re : 1+1=3
"Tout est relatif, sauf le relatif, qui est constant et fixe."
Non, on ne peut pas démontrer que 1+1=2. C'est effectivement une convention que les mathématiciens ont choisit pour s'entendre. En fait, il faut plutôt considérer que 2 est le nombre qui vaut 1+1. Ce qui devient une définition plus qu'une convention.
La règle de trois s'utilise quand il existe de manière évidente une proportionnalité entre deux variables comme le prix à payer en fonction de la quantité achetée en économie ou les relations entre les distances sur la carte et les distances sur le terrain dans des problèmes d'échelles.
voila la demonstration de 1+1=3 de bernard werber ! La fusion des talents est supérieure à leur simple addition.
L'expression 2 + 2 = 5 (« deux plus deux égale cinq ») est parfois utilisée comme une représentation d'un sophisme destiné à perpétuer une idéologie politique. Elle illustre également le caractère formel de la logique, qui étudie les mécanismes du raisonnement indépendamment du sens des énoncés qu'elle utilise.
Re : 1+1=1? Ben mathématiquement ce n'est pas possible donc il n'y a rien à comprendre. Sinon, on aurait parfaitement pu dire que 1+1=1 mais çà n'aurait strictement servi à rien. A la base, on utilise quand même les maths pour compter et dire qu'une chêvre + une chêvre çà fait une chêvre, çà me semble un peu idiot.
Cette règle des 3C repose sur le corps, le cœur et la conscience ou, pour être plus clair : la complicité, la confiance et la communication. Trois thématiques cruciales pour trouver la vie de couple qui vous convient, à vous comme à votre moitié.
La règle de trois est une formule mathématique qui permet de trouver un quatrième nombre à partir de trois nombres connus et qui ont un lien de proportionnalité entre eux, c'est-à-dire qu'ils ont un multiple commun. Exemple : Si a et b sont proportionnels à c et d, alors a x d = b x c.
Par exemple, un+1 est le terme de rang n + 1 (celui qui suit un) alors que un +1 est le terme de rang n augmenté de 1. 2) Attention ! (un ) désigne la suite alors que un est un nombre. 3) Une suite n'est pas forcément définie à partir de n = 0.
La preuve de 1+1 = 2 de Alfred North Whitehead et Bertrand Russell apparait à la page 362 du livre Principia Mathematica. Ce livre fait 674 pages. Il faut donc construire des éléments mathématiques pendant 362 pages avant d'arriver à la preuve de ce résultat simple : 1 + 1 = 2.
Par exemple, ℝ* est l'ensemble des nombres réels privé de 0. Tous les nombres de l'ensemble des entiers naturels ℕ appartiennent à l'ensemble des entiers relatifs ℤ.
Chaque partie d'un tout divisé en trois parties égales.
0,33 ~ 1/3 car 0,33 X 100 = 33 donc 0,33 ~ 33/100 Je peux simplifier cette fraction en divisant ses 2 nombres par 33, (33 : 33 = 1) et (100 : 33 ~ 3) donc 33/100 ~ 1/3.
Le « produit en croix » ne sera rencontré qu'en classe de quatrième.
Dans un vieux manuel scolaire daté de 1923, la preuve par neuf de la multiplication est expliquée ainsi : « Soit à multiplier 3 587 par 286. On fait une croix à côté de la multiplication, dans laquelle on reporte les restes 5 et 7 de la division par 9 du multiplicande et du multiplicateur.
En quoi consiste cette règle du 2/2/2 ? Rien de bien compliqué ni de révolutionnaire à vrai dire : il faut que le couple sorte en tête à tête toutes les deux semaines, se prévoie un week-end tous les deux mois et parte en vacances (minimum) une semaine tous les deux ans.
Une taffe, une gorgée, une taffe, une gorgée et … torsion des intestins. Vite, les toilettes ! C'est la fameuse règle des 3 « c » : café + clope = caca.
2 Libérez tout ce qui peut gêner la respiration (règle des 3C : desserrez ou dégrafez Col, Cravate et Ceinture). 3 Basculez doucement la tête de la! victime en arrière et tirez le menton vers le haut pour éviter que sa langue ne gêne sa respiration.
c'est incroyable ce qu'on peut lire. pour ce qui est de 1+1=2, c'est quelque chose qu'on a montré en algèbre. De fait, on définit des règles simples, et à partir de là, on pourrait dire que 2 est le résultat de l'element neutre de la seconde loi du groupe, composé avec lui même par la première loi du groupe.
Le 1 ici 1=1 n'est pas un chiffre c'est un nombre et pour le nombre 1 1=1 est faux. Car on n'arrive pas à faire une quantité identique d'un seule 1 pour deux 1 identique. Mais pour 2 ou 3 c'est possible.
Sa création est liée à une polémique entre deux mathématiciens : Isaac Newton et Gottfried Wilhelm Leibniz. Néanmoins, on retrouve chez des mathématiciens plus anciens les prémices de ce type de calcul : Archimède, Thābit ibn Qurra, Pierre de Fermat et Isaac Barrow notamment.