Le «boloss» ne désigne plus dès lors une «dupe», mais un «nigaud», un «blaireau», bref un «bouffon» comme le note le Petit Robert.
bolos. Familier. Personne naïve ou peu courageuse, au comportement ridicule, voire stupide ; bouffon : Tu nous as lâchés au dernier moment, t'es qu'un bolos !
Quelle est l'origine du mot Boloss ? L'origine de ce mot est incertaine. Une première version est proposée : Boloss viendrait du verlan de Lobos, contraction argotique de lobotomisé. La deuxième version aurait pour origine le mot Salaud, de sa version en verlan Lauss, devenu Mon lauss, puis Beau lauss.
Le «boloss» selon le Petit Robert ou «bolos» d'après le Petit Larousse désigne alors en argot le «client d'un dealeur». Des acheteurs que les trafiquants voient comme des «gogos», des «jobards», bref, des «pigeons».
Boloss qui ne peut même pas acheter des cigarettes. Sweaty loser who can't afford cigarettes.
(Familier) Cas social, personne en grande difficulté financière ou sociale.
Étymologie de « boug »
(Nom commun 1) Des créoles antillais ou réunionnais, signifiant « gars ». (Nom commun 2) Du japonais 盆 , bon.
Le mot Wesh vient de l'expression arabe "Wesh rak", qui se traduit par "Comment vas-tu ?".
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
Le terme "Cheh" est utilisé par les adolescents pour dire à une personne qu'elle n'a que ce qu'elle mérite, que ce qui lui arrive est bien fait.
Interjection. (Islam) Par Allah. (Populaire) Renforcement du caractère impérieux d'une déclaration, sans référence au divin.
« Floco » - un imbécile – serait originaire de l'ivoirien. Pour le rappeur Myssa, la mixité de la ville a favorisé ce bouillonnement linguistique : « On était tellement mixés culturellement à Grigny qu'il a fallu qu'on trouve un langage commun. »
Hchouma (« honte, honteux, embarrassant »), tèce (« cité »), hagra (« humilier »), bicrave (« vendre ») ou encore deuh (« énerver ») sont pourtant de nouveaux mots de l'argot français.
Étymologie. Pour la pâtisserie : Du francique lorrain et de l'alémanique alsacien schneck (« escargot »). À comparer à l'allemand Schnecke (« escargot », « limace »).
De l'argot canut lyonnais, où le mot serait une déformation de frangeur (ouvrier qui fait des franges), le nom de famille Frangin est attesté au XVIII e siècle. Alice Becker-Ho rattache ce mot au romani phral, pal, bral (« frère, camarade »).
Affabulateur, hâbleur, personne racontant des sornettes. n. m. (Argot urbain) (Familier) Menteur.
Macache, walou : Marave : Matos : MD: (verlan) Dealer, (gitan) Argent.
"Avoir la dalle", "Avoir les crocs", "Claquer du bec" et "La sauter" ("Je la saute") relèvent du registre argotique.
Toponymie. Kravedonum - Gravum - Gravon-sur-Seyne. Du latin grava, endroit caillouteux au bord d'une rivière.
( XI e siècle) Du gotique 𐌱𐌰𐌽𐌺 , bank, mot épicène (→ voir banche et banque) attesté en latin médiéval, vers le VI e siècle, via son dérivé bancalis (« coussin sur lequel on s'assoit » → voir bancal).
yak. Gros mammifère ruminant (bovidé), sauvage ou domestique, des hauts plateaux de l'Asie centrale. (Le yack porte une bosse dorsale et une forte crinière, une fourrure longue et épaisse.
"Starfoullah" signifie en arabe : "Que Dieu me pardonne". Ce terme marque la surprise ou le dépit par rapport à une situation.
Un serment par Allah, qui se fait généralement au moyen de l'interjection arabe « wAllah » (والله dans l'alphabet arabe), signifiant littéralement « par Allah » (sous-entendu « [je le jure] par Allah »), consiste pour un locuteur de confession musulmane à prendre à témoin Allah pour prétendre que ses propos ne sont pas ...