Conjonctions de coordination Mais, ou, et, or, ni, car Remarque : le mot donc n'est pas une conjonction de coordination, mais fonctionne comme un adverbe (Où en suis-je donc ? ; Et donc, que s'est-il passé ensuite ? : ces positions de l'adverbe donc sont impossibles pour les conjonctions de coordination. Voir aussi I.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination. Invariables, elles font partie des coordonnants et ont pour fonction d'unir deux éléments de même fonction syntaxique (c'est-à-dire ayant le même rôle dans la phrase).
Les conjonctions de coordination sont : et, ou, ni, mais, car, or, donc. Elles servent à relier deux éléments de fonctions différentes. Je pense que tu peux gagner le match . Quelques conjonctions de subordination : que, puisque, comme, si, quand, lorsque, quoique,....
DONC, conj., adv. et particule. Conjonction, adverbe et particule de coordination, dont la place est assez mobile dans la phrase, et qui sert tantôt à relier logiquement une phrase ou une proposition à une autre, tantôt à renforcer une phrase, une proposition ou un mot.
« Mais où est donc Ornicar ? », ou « Mais où est donc Carnior ? » est une phrase mnémotechnique permettant aux locuteurs francophones de retenir les conjonctions de coordination du français : mais, ou, et, donc, or, ni, car.
3.7.1). Conjonctions de coordination Mais, ou, et, or, ni, car Remarque : le mot donc n'est pas une conjonction de coordination, mais fonctionne comme un adverbe (Où en suis-je donc ? ; Et donc, que s'est-il passé ensuite ? : ces positions de l'adverbe donc sont impossibles pour les conjonctions de coordination.
Car est une conjonction de coordination généralement précédée d'une virgule et qui introduit une explication ou une justification. Dans certains contextes, elle est synonyme de parce que.
Les conjonctions de coordination servent à relier les mots entre eux, qui ont une fonction différente. Mais, ou, et, donc, or, ni, car, peuvent se mémoriser par la phrase mnémotechnique : "Mais où est donc Ornicar ?"
1. Marque la conclusion d'un raisonnement, la conséquence d'une assertion ; en conséquence, par suite de quoi : J'ignore tout de la question, donc je me tais. 2. Marque le retour à un point antérieur du discours ou du récit, après une digression, une interruption : Ainsi donc, vous n'avez rien entendu ?
au cas où, au moment où, à chaque fois que, à condition que, afin que, ainsi que, à la différence que, à mesure que, alors que, à présent que, après que, attendu que, aussitôt que, avant que, bien que, d'aussi loin que, d'autant (plus) que, de crainte que, de même que, de peur que, depuis que, depuis le temps que, dès ...
Les conjonctions sont des mots invariables qui servent à joindre deux mots, deux groupes de mots, deux propositions ou deux phrases. On distingue deux types de conjonctions selon la fonction des éléments qu'elles relient. relient des éléments de même fonction : Ton père et ta mère sont là.
Il y a un moyen mnémotechnique pour retenir les conjonctions de coordination plus facilement : la phrase Mais où est donc Ornicar ? pour mais, ou, et, donc, or, ni, car.
Les conjonctions de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car) relient deux mots ou deux propositions de même nature ; Les conjonctions de subordination (que, parce que, quand, si...) relient une proposition subordonnée à la proposition principale dont elle dépend.
950) : la conjonction « ou » exprime le sens fort de son étymon latin « aut » : elle « marque une alternative dont l'un des termes entraîne l'exclusion de l'autre », comme dans « c'est l'un ou l'autre, il faut choisir ; la bourse ou la vie, oui ou non, tout ou rien, mort ou vif, pair ou impair, pile ou face » (TLFi).
Les conjonctions de coordination, dites aussi « copulatives », servent à exprimer un lien logique entre les mots, groupes de mots ou deux propositions qu'elles relient. La phrase Mais où est Ornicar ? contient, à l'oral, toutes ces conjonctions (mais, ou, et, or, ni, car) et permet donc de les mémoriser facilement.
La conjonction de coordination est un mot invariable qui sert à unir deux mots ou deux groupes de mots en établissant entre eux un lien logique (addition, choix, cause, opposition…). Il n'est pas là, mais il va bientôt arriver. Les conjonctions de coordination sont : mais, ou, et, or, ni, car, soit, voire.
en conséquence, par conséquent, partant, par suite, d'où.
DONC: exprime une conséquence. Exemple : Il pleut donc tu prends ton parapluie. OR: indique une opposition. Exemple : Il est sorti or il pleuvait.
Le pronom relatif « dont » sert à reprendre un nom. Il ne peut pas être supprimé de la phrase. « Donc » est une conjonction de coordination ou un adverbe. On peut remplacer la conjonction de coordination par une autre conjonction (par exemple « et »).
Repérer la conjonction de subordination
Cela signifie qu'elle ne reprend aucun élément de la phrase (contrairement au pronom relatif). Par exemple, dans la phrase « J'aimerais vraiment que tu viennes », « que » est bien une conjonction de subordination, car « que » ne reprend aucun élément de la phrase en question.
Les conjonctions de coordination sont celles qui relient des mots, des groupes de mots, des propositions ou des phrases : mais, ou, et, donc, or, ni, car. Elles peuvent marquer l'union (et), l'opposition (mais, pourtant), l'alternative ou la négation (ni, ou), la conséquence (donc), la conclusion (ainsi, enfin).
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
La conjonction peut être simple ou complexe. Elle est simple lorsqu'elle est formée d'un seul mot. Elle est complexe (ou composée) lorsqu'elle est formée de deux ou plusieurs mots.
Techniquement, on peut mettre donc en début de phrase, mais la phrase est plus élégante lorsqu'il suit le verbe.
On comprend mieux alors que la phrase introduite par car ne soit pas une subordonnée : elle exprime plutôt un acte d'énonciation distinct, coordonné au précédent et sur lequel elle s'appuie. En n, la conjonction car permet de lever une ambiguïté lorsque la première des deux phrases coordonnées est négative.