Delhi, les magistrats déclaraient (Verghese, ibid., 177) : « La dot est un mal social dans ce pays depuis plusieurs siècles [...]. Il est grand temps de combattre ce mal au plan social comme à celui de l'État. »
Dans les sociétés de l'Ancien Régime, la dot était indispensable pour avoir accès au marché matrimonial, dans toutes les couches sociales ; dans ce but, de nombreuses institutions publiques ou privées, laïques ou religieuses, prenaient en charge le paiement d'une dot.
1. Ensemble des biens meubles ou immeubles donnés par un tiers à l'un ou l'autre des époux dans le contrat de mariage. 2. Biens qu'une femme apporte en se mariant : Un coureur de dot.
Les dots discriminent les personnes handicapées
Le système de dot désavantage les femmes qui sont handicapées ou qui ont des problèmes de santé, puisque que la famille d'un futur mari exigera souvent des paiements plus élevés pour le mariage.
La dot la plus importante278, d'une valeur de 7.165£, est assez intéressante ; elle révèle une histoire. Le mariage a été célébré en 1906 mais le contrat de mariage a été rédigé un an plus tard.
La dot traditionnelle incombait intégralement à la famille de la mariée et avait pour vocation de constituer une « mise de départ » pour le patrimoine du couple. Elle visait à aider le couple à démarrer sa vie commune.
Ce qui rend la dot si importante pour le mariage en Afrique est qu'elle est synonyme d'union de deux familles. Le respect mutuel et la dignité sont présents tout le long du procédé, et l'amour entre l'homme et la femme est élargi pour y inclure la famille proche et large.
La dot est un symbole fort du mariage coutumier. Elle est une grande marque de considération pour l'homme et la femme. Il paraît ainsi très important pour le jeune, appelé à découvrir sa vocation, de disposer de toute la connaissance relative cette dernière.
Ces paiements peuvent être classés en deux catégories : la dot dans les pays asiatiques implique des paiements effectués par la mariée au marié et à sa famille ; et la dot en Afrique (« prix de la mariée »), où c'est le futur époux et sa famille qui la paient à une future épouse et à sa famille.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
La dot consiste pour la famille du fiancé à offrir à la famille de la fiancée, lors d'une cérémonie solennelle, un ensemble d'objets et de cadeaux, en espèces ou en nature, et d'accomplir certains rituels afin d'unir les futurs époux.
Celui-ci peut se manifester de diverses manières notamment par la réappropriation des mœurs, rites et symboles culturels de notre passé. Cependant il nous semble que cette réappropriation est en fait la plupart du temps une simple réaffirmation de la pensée dominante sur les mœurs, les rites ou les symboles concernés.
Le mahr (arabe : مهر) est le don, selon les prescriptions de l'islam, que l'époux doit faire à l'épouse. Ce don serait une forme d'appréciation et permettrait d'offrir certaines garanties à la femme.
La dot n'est pas la seule forme de prestation matrimoniale. Comme chacun le sait, on observe, en gros, deux systèmes. Dans l'un, et on y range pour simplifier le cas du douaire, c'est le mari ou sa famille qui doivent apporter lors du mariage des biens ou des valeurs destinés à la femme ou à sa famille.
Pour obtenir le droit de vivre avec la femme, il fallait encore remettre un ou deux bœufs ou, à défaut, du petit bétail. On pouvait encore faire quelques cadeaux à l'occasion de la naissance du premier enfant (par exemple cinq dāgo, un cabri, un sofrolo, un kamatiè), mais ceci n'était pas partout la coutume.
On parle plus volontiers de « cadeau », et l'on offre, selon le rang social, un réfrigérateur ou l'inscription à une université prestigieuse au jeune marié. Le paiement de la dot, qui incombe en grande majorité à la famille de l'épouse, enferme la femme dans un système patriarcal.
Généralement la dot se compose d'un lot de cadeaux pour la femme, allant de pagnes en passant par les sacs, les chaussures et les bijoux en or. Outre ces cadeaux, l'homme doit également offrir une somme d'argent dont le montant varie selon les familles et les exigences des uns et des autres.
Le mot dotal qualifie ce qui a rapport à la dot. Bien, fonds dotal.
Règles gouvernant l'usage du talâq
Les hommes comme les femmes ont la possibilité de divorcer en islam. L'islam reconnaît la répudiation des femmes par les hommes mais aussi, si les conditions requises sont remplies, le divorce à l'initiative de la femme.
Le mot s'écrit "une dot". Il vient d'un terme latin « dos, dotis » qui signifie « don », du verbe latin « do, dos, dare » = donner. La dot est un don, un cadeau. Une dot correspond à l'ensemble des biens de valeur qu'une femme (ou plus rarement un homme) apporte en se mariant.
L'acte de mariage est établi par l'adoul (sorte de notaire religieux) et signé par les deux époux en présence de témoins. Après la signature, il est d'usage de réciter la fatiha (le premier verset du Coran)… Le coup d'envoi de la fête est lancé !
L'inconvénient du mariage réside dans la séparation puisqu'en l'absence d'accord entre les époux, le divorce peut durer des années avec des procédures souvent douloureuses.
Alors que cette cérémonie n'est même pas un mariage en soi, mais plutôt le début du processus. Lors de la cérémonie de la PRE - DOT, le fiancé remettrait un symbole en espèce et en nature. L'enveloppe en espèce varie généralement entre 50 $ et 300$. Et le symbole en nature est constituée de quelques casiers de bière.
Selon l'Islam, comment la dot devrait se faire ? La dot peut être une somme d'argent, des bœufs, ou n'importe quels objets (qui a une valeur). si le montant de la dot est fixé, Il ne faut pas que la valeur de ces objets ou de ces bœufs soit être inférieur au montant fixé.
Locution nominale
(Familier) Mariage où les convenances, les rapports d'état et de fortune ont été plus consultés que l'inclination ou l'amour.