-Le chewing-gum est fait à base de polymères qui servent aussi à fabriquer la gomme de pneu. En effet, les chewing-gums que nous machons sont composés à partir de dérivés du pétrole ! -Et bien entendu, le chewing-gum de par sa composition ne se bio-dégrade pas instantanément.
Pire encore, ce sont de véritables plaies pour l'environnement, car ils ne sont pas biodégradables. Ils sont formés d'un mélange de polymères synthétiques insolubles dans l'eau, les huiles, les alcools, les solvants chlorés comme le trichloréhylène, ou non chlorés comme l'essence.
Il faut savoir que le chewing-gum n'est pas un matériau biodégradable, il ne peut pas se biodégrader. La gomme est souvent issue du pétrole, mais elle peut aussi être naturelle. Mais d'où qu'elle vienne, de toute façon, elle va se dégrader de la même manière. La dégradation du chewing-gum peut aller jusqu'à 50 ans.
Utiliser les poubelles est le geste le plus simple pour jeter tous ses petits déchets tel que le chewing-gum. 150 euros est le montant maximum de l'amende encourue en cas de non respect de cet geste.
Les chewing-gum sont fabriqués à partir de boyaux de chat !
- des douleurs abdominales, - des crampes, - des flatulences, - des ballonnements, - le hoquet. Il favorise également les ulcères en déclenchant dans l'estomac une production d'acide gastrique qui attaque les parois de l'estomac et provoque à la longue des ulcères.
Mâcher un chewing-gum augmente également la concentration de calcium dans la salive, ce qui permet de renforcer l'émail des dents. Les chewing-gums sans sucres - donc non cariogènes - et labellisés UFSBD peuvent donc être consommé une vingtaine de minutes, deux à trois fois par jour.
Il faut en moyenne cinq ans pour qu'un chewing-gum se dégrade. Collés sur les trottoirs ou abandonnés dans la nature, les chewing-gums polluent notre environnement et enlaidissent notre ville. Mais derrière ces effets visibles, le chewing-gum produirait d'autres pollutions plus dangeureuses …
Les chewing-gums et autres produits à mâcher, par exemple, ne portent généralement pas de DDM ni de DLC, car leur durée de vie est très longue. Et bien entendu, ces produits ne présentent pas de risques pour la santé s'ils sont consommés après une certaine période.
La France a pourtant été le deuxième pays consommateur de chewing-gums derrière les États-Unis avant 2010.
Sacs en plastique : 450 ans. Cartouches d'encre : 400 à 1 000 ans. Bouteilles en verre : 4 000 ans.
1866 : aux Etats-Unis, un général mexicain vend à Thomas Adams un stock de chicle. Celui-ci veut le transformer en pneus de bicyclette, mis ça ne marche pas. Alors il y ajoute du sucre pour l'adoucir : le chewing-gum est né ! 1871 : Thomas Adams invente une machine pour fabriquer le chewing-gum en grande quantité.
Déchets de maison :
Les déchets de toilettes sèches ne sont pas conseillés pour le compost domestique dont la température ne monte pas suffisamment. Le papier glacé et les papiers imprimés en couleur ne sont pas à composter. En effet, ces encres comportent des métaux lourds toxiques.
Les restes de viande, d'os ou encore de poisson font partie des déchets à ne pas mettre dans un compost. En effet, ils peuvent attirer des animaux nuisibles comme les rats et provoquer des odeurs désagréables. De plus, leur décomposition peut prendre beaucoup de temps, ce qui peut ralentir le processus de compostage.
Le papier essuie-tout est composé de fibres de cellulose.
Il est donc biodégradable et compostable. Il finit cependant en très grande partie dans la poubelle des déchets ménagers quand il n'est pas jeté par erreur avec les papiers recyclables. Il fait par ailleurs l'objet d'une surconsommation des ménages.
Mettez le vêtement attaqué par le chewing gum dans un sac en plastique et mettez le tout au congélateur. Attendez quelques heures et sortez le tout. Ouvrez le sac plastique, retirez votre vêtement et grattez la zone où il se trouvait du chewing gum.
Versez un peu d'huile végétale sur le chewing-gum.
Prenez n'importe quelle huile de cuisine, par exemple de l'huile d'olive ou de l'huile de colza et mettez-en une petite goutte sur la partie de votre peau où le chewing-gum est resté collé.
Pour enlever un chewing-gum sur ou un siège de voiture, un tapis ou un canapé, refroidissez-le à l'aide de glaçons. Placez quelques glaçons dans un sac en plastique et utilisez-le pour refroidir le chewing-gum jusqu'à ce qu'il durcisse.
On en voit tous les jours malheureusement : entre un mégot et un chewing-gum jeté par terre, lequel met le plus de temps à se dégrader dans la nature ? C'est le chewing-gum ! Cinq ans en moyenne pour se décomposer, contre deux ans pour le mégot.
Le temps de décomposition d'un trognon de pomme se situe entre 1 et 5 mois tandis que les épluchures de fruits et de légumes mettent de 3 à 6 mois pour disparaître dans la nature. Quant à une tige d'allumette en bois, il faut attendre 6 mois avant qu'elle ne se dégrade totalement.
Jeter un mégot dans une poubelle classique constitue donc une solution pour se débarrasser de ses mégots.
Hygiène dentaire et mastication
«Selon l'Union Française pour la Santé Bucco-Dentaire (UFSBD), on peut mâcher jusqu'à 5 chewing-gums sans sucre par jour», indique d'emblée la Pr Élodie Terrer, chirurgienne-dentiste et chercheure en microbiologie.
Mâcher trop souvent du chewing-gum provoque un resserrement répété des muscles de la mâchoire et de l'articulation, ce qui peut conduire à des maux de tête, ou des douleurs de dents ou d'oreille. En mimant l'action de manger, la mastication du chewing-gum trompe notre système digestif qui se met en route.
Que le chewing gum que vous mâchez soit avec ou sans sucre, il affecte tout de même le taux de sucre sanguin et les hormones telles que l'insuline et le cortisol.