En effet, lors du premier lavage, les matières naturelles comme le coton, la laine ou le lin, ont tendance à rétrécir, jusqu'à perdre une moyenne de 2 à 3% de leur volume d'après notre expérience du sujet.
Les vêtements rétrécissent au...
En réalité, les fibres qui forment le tissu de votre pull se sont desserrées sous l'action de l'eau chaude puis se sont réorganisées en un réseau plus dense. Donc, en fait, le vêtement n'a pas rétréci au lavage mais au séchage !
L'eau froide est moins susceptible de faire rétrécir les fibres. Utilisez le cycle doux du lave-linge et réduisez la vitesse d'essorage pour réduire la friction et la tension sur les fibres. Si vous décidez d'utiliser un sèche-linge, choisissez un réglage faible ou délicat.
La chaleur est responsable de ce phénomène. En effet, l'eau chaude desserre les fibres qui composent le tissu. Au moment de l'essorage, l'eau s'évapore et les fibres se resserrent. C'est à ce moment que le vêtement peut rétrécir.
Bien que chaque type de tissu se comporte de façon différente, la chaleur fera rétrécir la plupart, sinon tous les types de tissus. Par exemple, les t-shirts en coton comme les jeans rétréciront davantage avec un lavage à l'eau tiède ou chaude, suivi par un cycle de séchage à température élevée.
Quelle température fait rétrécir un vêtement ? Une température élevée, entre 40 et 60°C, va permettre au vêtement de bien se rétrécir. L'idéal est d'utiliser un programme coton ou synthétiques à 60°C.
La température à laquelle le linge risque de rétrécir dépend de la nature du textile. Les fibres naturelles comme le coton peuvent commencer à rétrécir à partir de 60 degrés, tandis que les matières synthétiques sont plus vulnérables et peuvent rétrécir à des températures plus basses.
Mélanger de la glycérine à de l'eau pour récupérer un vêtement rétréci. Similaire à la méthode de l'après-shampoing, il suffit de vous armer d'un récipient, de glycérine et d'eau tiède. Première étape, mélanger la glycérine à l'eau tiède jusqu'à ce qu'elle soit visqueuse. Mettez le vêtement dans le mélange et touillez.
On laisse tremper une vingtaine de minutes. Au moment du séchage, surtout, ne pas l'essorer au risque d'abîmer les fibres synthétiques. On utilise des objets lourds pour retenir et tirer le vêtement afin de faciliter son agrandissement. Le tour est joué !
Il est tout à fait normal que les vêtements fabriqués à partir de coton à 100 % rétrécissent, surtout s'ils n'ont pas été pré-rétrécis. Le coton pré-rétréci ne rétrécit généralement que de 2 à 5%. Le coton non pré-rétréci, en revanche, peut rétrécir de 20% si vous ne faites pas attention.
Au cours du premier lavage en machine à laver, les fils de coton sont plongés dans une eau chaude, qui va d'abord avoir pour effet de desserrer les fibres textiles. Puis au moment de l'essorage, l'eau s'évapore et les fibres vont alors se resserrer.
30° : Cette température convient à la plupart des textiles et permet d'éliminer les bactéries. Un lavage en dessous de 40° limite fortement les risques de rétrécissement au séchage.
Le lavage à 40 °C, le plus courant
La plupart des textiles naturels et synthétiques peuvent être lavés à 40 °C. Cette température convient aux articles blancs comme aux couleurs et au noir. Pour économiser de l'énergie, vous pouvez opter pour un rinçage du linge à l'eau froide.
Laver à 60 °C est également requis pour éliminer les micro-organismes (bactéries et acariens). Par exemple, il faut le privilégier pour les affaires de sport, celles encore imprégnées d'une mauvaise odeur après le lavage ou encore pour le linge souillé par des fluides corporels (sang, urine, vomi…).
Une dernière méthode : Utilisez une machine à repasser à vapeur, en diffusant la chaleur sur l'intérieur de votre vêtement, et en tirant délicatement le tissu avec la machine pour l'étirer.
du coup ce n'est pas nécessairement les matières premières ou les structures qui sont responsables de ce rétrécissement … SAUF qu'il y a plus de rétrécissement chez le coton et les fibres artificielles que chez les fibres synthétiques.
Un bon bain pour détendre les fibres
On vous l'avait expliqué dans notre article consacré au pull qui ont rétréci par erreur, la première étape pour tenter d'agrandir un vêtement, c'est de lui faire prendre un bon bain ! Plongez-le dans l'eau tiède avec du shampoing ou de l'après shampoing.
Facile à utiliser, la glycérine est un moyen efficace de sauver un pull rétréci : Glissez-y votre pull, touillez et laissez tremper environ 15 minutes. La glycérine agit pour détendre les mailles. À la fin de ce temps, commencez à étirer votre pull jusqu'à lui rendre sa taille d'origine.
Comme le polyester ne rétrécit pas et ne change pas de forme comme le coton, ce mélange est plus facile à laver et à sécher.
Le linge blanc et en coton peut être lavé jusqu'à 60°. Cependant, s'il s'agit de vêtements du quotidien, il n'y a pas vraiment de raisons de dépasser 40°. Pour les vêtements ordinaires et peu sales, programmer votre machine sur 40° suffit largement.
Le lavage à 30°C se montre donc aussi efficace qu'un autre à 40°C (en grande partie grâce à nos lessives modernes qui s'avèrent efficaces même quand la température de l'eau dépasse à peine 20°C), mais ce n'est pas son seul avantage. En effet, il permet de limiter les besoins en énergie de façon importante.
Les hautes températures permettent notamment de tuer bactéries et microbes. Il s'agit du programme le plus chaud que l'on trouve sur les lave-linge. L'eau à 90 °C permet de tuer les bactéries.
Le lin (mais pas plus de 40°C pour les couleurs) La viscose (attention à ne pas dépasser 40°C) L'acétate (à privilégier toutefois pour un lavage à la main) Les matières synthétiques.
Le lavage à 60 degrés – pour le linge de maison et le linge très sale. Ce programme est idéal pour la literie est les serviettes. Ce sont en effet généralement des textiles assez solides pour être laver à haute température. Ce sont aussi du linge qui peuvent vite être sale et doivent être de ce fait laver à 60 degrés.
Le cycle à 30°C, un intérêt économique et écologique
Un cycle à 40°C consomme environ 0,7 kWh, tandis qu'un cycle à 30°C consomme en moyenne 0,4 kWh. Ça n'a l'air de rien comme ça, mais multiplié par le nombre de machines que vous réalisez en une année, cela peut vraiment peser sur la facture d'électricité !