Lorsque le malade est guéri, le virus reste toute sa vie dans ses ganglions, sans provoquer de récidive de la mononucléose. Après la mononucléose infectieuse, la personne a acquis une immunité prolongée. On estime que 90 % des adultes ont déjà été en contact avec le virus d'Epstein-Barr.
La mononucléose infectieuse peut entraîner les complications suivantes : ― Obstruction des voies respiratoires supérieures en raison d'une hypertrophie importante des amygdales. ― Atteintes neurologiques telles que méningite aseptique, encéphalite, syndrome de Guillain-Barré. ― Rupture splénique.
Durée de la maladie : Les symptômes principaux disparaissent au bout de 2 à 3 semaines, mais l'état de fatigue dure parfois pendant quelques mois. Période de contagion : La mononucléose est contagieuse quelques jours avant l'apparition des symptômes, et plusieurs mois après sa guérison.
La mononucléose infectieuse n'est pas grave mais elle reste très contagieuse même après la guérison. Les règles d'hygiène et la vigilance sont indispensables pour éviter la transmission du virus. La mononucléose infectieuse est fréquente et bénigne, mais ses symptômes sont épuisants pour l'organisme.
le virus Epstein-Barr reste « en sommeil » dans l'organisme toute la vie, sans poser de problème particulier dans la plupart des cas. Tout comme pour le virus de la varicelle, vous êtes immunisé(e) : impossible d'avoir deux fois la mononucléose !
Comment détecter et dater une infection par le virus d'Epstein-Barr ? L'analyse se base sur la recherche d'anticorps spécifique témoignant d'une infection au virus.
Il n'existe pas de traitement spécifique pour la mononucléose infectieuse. Comme elle est d'origine virale, les antibiotiques sont inutiles. Des antalgiques et antipyrétiques (paracétamol de préférence) peuvent vous être prescrits pour limiter la fièvre et soulager les douleurs liées à la mononucléose infectieuse.
Il n'existe aucun traitement spécifique pour guérir la mononucléose. Il s'agit d'une maladie bénigne qui disparaît généralement d'elle-même au bout de 4 à 8 semaines, même si la fatigue peut persister plusieurs mois.
Comment s'attrape la mononucléose ? Est-elle très contagieuse ? Le virus Epstein-Barr est très contagieux, mais tout de même moins que le rhume, car il ne provoque pas d'éternuements. Il se transmet par la salive, donc par des baisers, des échanges d'ustensiles, des objets souillés, ou de la mère à l'enfant.
Si un individu tousse, postillonne, éternue, il peut transmettre la maladie. La contagion est maximale durant la phase aiguë, notamment lorsque le patient a de la fièvre.
La mononucléose infectieuse est une maladie infectieuse, virale, bénigne et fréquente. Très contagieuse, elle se transmet par la salive d'où son nom de « maladie du baiser ». Le plus souvent sans aucun signe, elle peut être responsable d'une fatigue intense, ou d'une angine avec de la fièvre et des ganglions du cou.
Les autres signes sont extrêmement variés et nombreux : perte de l'appétit (anorexie), nausées, céphalées, rhinite, toux, courbatures, gonflement des paupières (œdèmes palpébraux), jaunisse (ictère).
Le Monotest est un test sanguin rapide permettant de diagnostiquer la mononucléose infectieuse. Ce test est souvent prescrit chez les adolescents présentant les symptômes typiques de la mononucléose : fièvre, fatigue, mal de gorge, gonflement des ganglions, etc.
En effet, le virus profère à l'organisme une immunité qui empêche les risques de rechute de la mononucléose infectieuse (MNI). Mais il arrive que des réactivations surviennent chez les individus aux défenses immunitaires affaiblies.
Un virus réactivé par l'état inflammatoire
Le virus d'Epstein-Barr est dormant chez quasiment tous les adultes (95%). Il ne provoque pas de symptômes, mais peut se réactiver en cas de stress intense, de déficit immunitaire ou encore d'état inflammatoire.
Pour la première fois, des chercheurs ont identifié le virus qui est à l'origine de cette maladie auto-immune : le virus d'Epstein-Barr.
"Comme pour toutes les maladies virales il n'y a pas de traitement spécifique hormis le repos et le traitement des symptômes (prise de paracétamol pour soulager la fièvre et les maux de tête)" indique le médecin.
Traitement de l'infection par le virus Epstein-Barr
du paracétamol pour soulager les douleurs et la fièvre ; des anti-inflammatoires non stéroïdiens pour soulager les douleurs et la fièvre ; un traitement local des maux de gorge (pastilles, collutoires, sirops).
posez deux gouttes d'HE de menthe poivrée sous la langue matin, midi et soir, vous pouvez aussi mélanger 2 gouttes d'HE d'épinette noire, 1 goutte d'HE de menthe poivrée et 1 goutte d'HE de pin sylvestre et appliquer ce mélanger sur le bas du dos (au niveau des reins) matin et soir pendant une semaine.
L'asthénie, communément appelée fatigue, est un symptôme fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique.
Soulagez les symptômes de la mononucléose
Prenez de la vitamine C ou des complexes vitaminiques afin de remédier à l'abattement ressenti par le malade. Pour les maux de gorge : des pastilles au propolis, au miel, ou des collutoires anesthésiques et antiseptiques peuvent vous aider à supporter la douleur.
Virus d'Epstein-Barr (VEB)
Le virus cause la mononucléose infectieuse (mono, ou maladie du baiser). L'infection au VEB se manifeste habituellement dans l'enfance. Dans la plupart des cas, s'il y a des symptômes, ils sont légers. Ce sont entre autres la fièvre, le mal de gorge et l'enflure des ganglions lymphatiques.
Pour les sports à risque de traumatisme du ventre (combat et sports de contact, football, ski, cyclisme...), l'interdiction de reprise du sport est absolue dans les 3 à 4 semaines suivant le début des symptômes de mononucléose infectieuse à EBV, car selon la littérature il y a un risque accru de rupture de rate.
des nausées, vomissements ; une forte fièvre (vespérale) souvent supérieure à 39 °C. « Le patient peut présenter des frissons et souvent des courbatures pendant une à deux semaine(s) » ; une angine douloureuse avec des difficultés à déglutir.