Ces effets secondaires engendrent alors un amaigrissement, voire une cachexie (maigreur extrême) avec non seulement une fonte graisseuse, mais aussi une perte de la masse musculaire, ce qui rend le patient encore plus sensible aux effets secondaires de la thérapie.
Il est vrai que cela arrive à certaines femmes qui, affaiblies par les traitements, ont des difficultés à s'alimenter, perdent l'appétit et maigrissent. Pourtant ce n'est pas toujours le cas ! En effet, dans le cas du cancer du sein par exemple, les traitements ont plutôt tendance à faire grossir.
10 types de cancer concernés
Ils ont alors découvert que la perte de poids involontaire était liée à 10 types de cancer : le cancer de la prostate, colorectal, du poumon, œsophagien, pancréatique, de l'ovaire, de l'appareil rénal et biliaire, mais aussi en cas de lymphome non hodgkinien ou encore de myélome.
les troubles cutanés (démangeaisons, rougeur, sécheresse…) la perte d'appétit. les troubles gastriques (nausées, vomissements…) les troubles buccaux (sécheresse buccale, difficulté à avaler…)
Eviter les boissons trop chaudes ou trop fraîches qui peuvent provoquer des douleurs. Eviter les aliments agressifs (épices, moutarde, pain sec, croûte du pain, biscottes…) et les aliments acides (vinaigre, agrumes, tomates, cornichons…). Faire des repas fractionnés et faciles à avaler, éviter de manger trop chaud.
Pendant la radiothérapie, c'est presque pareil : les vêtements souples et larges sont à privilégier et s'ils sont en coton c'est encore mieux ! On limite en effet, le plus possible, tout frottement sur les zones traitées. Et surtout, on couvre la zone irradiée pour la protéger du soleil.
Non seulement le taux de récidive ne diffère pas entre les deux groupes, mais en outre, les effets secondaires sont moins importants. Les femmes n'ayant eu « que » 15 séances de radiothérapie sont moins fatiguées, elles souffrent moins d'œdème du sein ou encore de dilatations des petits vaisseaux (télangiectasies).
La fatigue est l'un des effets secondaires les plus fréquents qui apparait au cours des séances de radiothérapie. Elle n'est pas systématique, mais apparaît habituellement après quelques semaines de radiothérapie et peut s'intensifier au fil du traitement.
La maladie et les traitements augmentent les besoins en protéines et en énergie. Cependant, s'alimenter correctement peut s'avérer difficile, c'est pourquoi il est fréquent que l'alimentation ne suffise plus à couvrir les besoins, ce qui entraîne une perte de poids involontaire.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Après la séance de rayons, et en cas d'irritation, appliquez une compresse d'eau thermale et après avoir séché soigneusement la peau, déposez généreusement une crème réparatrice et protectrice.
En général, les cancers du sein, du rein, des bronches, de la prostate, de la thyroïde ou colorectal ont potentiellement un plus fort risque de récidive car les métastases y sont plus fréquentes.
La radiothérapie se montre efficace pour lutter contre 50 % des cancers, notamment les cancers ORL, les cancers des testicules ou les mélanomes.
Le corps médical considère qu'un amaigrissement est pathologique quand on perd 5% de son poids en moins de 6 mois ou 10% de son poids en moins d'un an, soit 5,5 kilos pour une femme de 55 kilos par exemple.
Votre cancer est en rémission lorsque, suite au traitement, votre état de santé s'améliore et que vous ne présentez plus aucun signe de la maladie.
Il arrive également souvent que le système immunitaire des personnes atteintes de cancer soit affaibli. C'est le cas quand le cancer même ou son traitement, comme une chimiothérapie ou une radiothérapie, affecte la moelle osseuse.
La radiothérapie peut parfois être associée à une chimiothérapie (on parle de radio-chimiothérapie) qui rend les cellules cancéreuses plus sensibles aux rayons. L'objectif est de réduire le risque de récidive tumorale et la taille de la tumeur avant la chirurgie.
Le cout est estimé à environ € 3000, ce qui est inférieur au cout d'une irradiation complète classique qui, en fonction des techniques utilisées, varie de € 3000 à € 10 000.
Les mois suivants, il est possible de développer une inflammation au niveau du poumon se manifestant par une toux et des difficultés respiratoires. Parfois combinée à de la chimiothérapie, la radiothérapie peut provoquer l'apparition de mycoses dans la bouche, la gorge ou l'œsophage, selon le champs d'irradiation.
Non, la radiothérapie en elle-même est indolore. Le cumul des séances peut, dans certains cas, engendrer une irritation de la peau pouvant entrainer des démangeaisons et, dans de rares cas des douleurs.
Lavez délicatement la peau de la zone traitée avec un savon doux, neutre, sans alcool ni parfum. Rincez et séchez la peau traitée délicatement en tapotant, sans frotter. Ne mettez pas de produits alcoolisés (parfums, lotions) et n'appliquez pas de crème grasse sur la zone à traiter avant la séance de radiothérapie.
Combien de temps dure le traitement ? Chaque séance d'irradiation dure entre une et cinq minutes. Certaines personnes n'ont besoin que d'une séance ou de quelques séances, mais la plupart doivent subir une séance de radiothérapie cinq jours par semaine pendant cinq à huit semaines.