La science s'oppose au dogmatisme. La nature même du « credo » religieux ne peut que s'opposer à la démarche scientifique. Les credos sont la source intellectuelle du conflit entre la science et la religion, mais l'âpreté de la résistance a été due à leurs liens avec les Églises et les codes moraux.
De fait les religions proposent des croyances, des dogmes alors que la science se définit comme une connaissance rationnelle, méthodique et objective d'un domaine d'objets. L'une requiert la foi, l'autre ne reconnaît que la validité de la preuve mathématique ou empirique.
Convictions religieuses des scientifiques
En 2009 aux États-Unis, un sondage de l'American Association for the Advancement of Science affirme que 51 % de scientifiques croient en une entité supérieure dont 33 % en Dieu.
Les sciences sont nombreuses, les religions tout autant. Une découverte scientifique peut s'avérer problématique pour certaines religions, mais sans conséquence pour d'autres. Une science peut menacer des croyances religieuses, alors que d'autres sont ressenties comme anodines.
La science s'oppose ainsi à la religion (qui se réfère à une « vérité révélée », c'est-à-dire à un « dogme »), et à tout autre « savoir » incapable de se fonder en raison.
Il n'y a aucune relation entre science et religion. L'un est de domaine de la connaissance objective, car elle s'appuie sur les faits, et l'autre le domaine d'une connaissance subjective, personnelle fondée sur la foi.
La science est objective ; elle donne un savoir sur des objets qu'elle décrit, analyse et étudie ; par contre, elle ne s'occupe pas du sens. La religion relève de l'existentiel ; elle délivre un message qui concerne le sens de l'existence ; par contre, elle ne procure aucun savoir sur les objets en tant que tels.
Le livre de Michel-Yves Bolloré et Olivier Bonnassies fait la synthèse des découvertes scientifiques du dernier siècle pour en conclure l'existence d'une intelligence supérieure. Les deux auteurs espèrent contribuer à la prise de conscience globale d'un univers traversé par le souffle divin.
Mieux que ça commence par affirmer que la religion catholique est la religion la plus vraie. D'abord, parce que c'est la seule dans laquelle Dieu s'est fait homme et nous a communiqué la vérité que Lui seul connaît.
Des études sociologiques ont démontré l'apport positif de l'appartenance religieuse pour le rendement scolaire, la vie de famille, le bien‑être et la contribution à la vie communautaire[2]. Les religions sont également le cadre des rites de passage marquant la naissance, le mariage et la mort.
Ses lectures sont plus celles des poètes et des philosophes que celles de la Bible et du Talmud. Devenu rapidement athée, très méfiant à l'égard de l'autorité, notamment religieuse, Einstein est tout sauf un croyant respectueux des dogmes.
L'astrophysicien Stephen Hawking a plusieurs fois exposé son athéisme, estimant que "personne n'a créé l'univers".
Pour cela, Platon distingue l'athée relatif, qui n'admet pas telle ou telle divinité, et l'athée absolu (parapan atheos), qui ne croit à l'existence d'aucun dieu. Le concept philosophique de croyance sert à souligner la signification intellectuelle de l'athéisme.
La science des vrais scientifiques est très différente d'une croyance : Une croyance fait appel à la notion de foi, et la foi c'est accepter sans preuves. Au contraire, une science ne cesse de demander des preuves, et une théorie n'est établie que si elle est capable d'indiquer des prévisions vérifiables.
De plus, la religion empêche d'avancer dans la vie. Mais, la science, quant à elle, est symbolisée par la connaissance, à condition qu'elle soit prouvée, justifiée. Une personne ne doute pas de sa croyance, mais bien de sa connaissance. La connaissance suscite notre envie de savoir, de satisfaire notre curiosité.
En particulier, les sciences de la nature (physique et biologie) sont fondées sur l'observation de faits et permettent d'établir des lois. La science et la religion ont en commun de nous inviter à une certaine compréhension du monde et revendiquent ainsi une forme de vérité. Elles sont au cœur des croyances des Hommes.
On dit souvent que l'Islam est la religion du monde qui augmente le plus vite. C'est fort probable, à cause du rythme de la transition démographique dans les pays à majorité musulmane par rapport au reste du monde.
L'Hindouisme est la plus ancienne religion du monde, originaire d'Asie centrale et de la vallée de l'Indus, il est toujours pratiqué de nos jours.
Au début des Années 2020, les pays qui comptent le plus de musulmans sont l'Indonésie, suivi de l'Inde et du Pakistan. L'islam est constamment ramené à l'arabité de par ses origines, mais les Arabes ne représentent seulement que 21 % des musulmans dans le monde.
Dieu ne se fait exister qu'en vertu de ce qu'il est, il se présuppose lui-même. C'est pourquoi son objectivité est formelle, au sens où il n'existe qu'à l'intérieur de lui-même. L'existence de Dieu est admise mais non pas établie concrètement, c'est-à-dire à l'encontre de la contestation de son existence.
Fils d'Edmond Rostand, illustre auteur de 'Cyrano de Bergerac', Jean Rostand naît à Paris. Il déménage rapidement, et grandit au Pays Basque.
Galilée (Galileo Galilei en italien) naît à Pise, en Italie, en 1564, au sein d'une famille de sept enfants.
La Bible est donc un livre de science ; la science qu'elle enseigne est supérieure à toute autre, parce que venue de Dieu [6][6]« Il ne peut y avoir aucune erreur scientifique dans la Bible.…. C'est le sens du terme creation-science : la science de la création fondée sur l'autorité divine.
La religion remplit une double fonction psychologique et sociale, car elle fournit à l'homme une connaissance absolue sur l'origine des choses, apaise ses angoisses et lui enseigne les vertus nécessaires à la vie en société. La religion est donc un facteur d'équilibre social et moral pour l'homme.
La religion édicte donc des impératifs moraux qui permettent de fonder nos sociétés et de les maintenir. Elle discipline moralement les âmes et préserve ainsi la stabilité sociale. Par ailleurs, le culte et la prière sont de bons moyens de rassembler les individus autour des mêmes valeurs.