Au sein des 13 articles de foi de Moïse Maïmonide dit Rambam ( XII e ), les huitième et neuvième rappellent que la Torah reçue par le biais de Moïse sur le mont Sinaï est une Torah divine et qu'elle n'a jamais subi le moindre changement et restera inchangée à tout jamais.
C'est Ibn Hazm, au XI e siècle qui développera « une réfutation systématique de l'authenticité des Écritures bibliques ».
La Torah écrite est déposée dans chaque synagogue sous forme de rouleau. Le texte sacré doit, en effet, être obligatoirement écrit sur un parchemin et être manuscrit si l'on veut qu'il serve à la lecture liturgique. La Torah est divisée en péricopes ; il y en a autant qu'il y a de semaines dans l'année juive.
Pour certains auteurs musulmans des premiers siècles de l'islam, principalement alides, le Coran a été falsifié (tahrif) par le pouvoir des premiers califes. Si de nombreux musulmans des premiers temps rejetaient la vulgate othmanienne, les alides imamites ont été les plus explicites.
La Bible hébraïque : « Le mot Torah est formé à partir d'une racine hébraïque yarah qui signifie "enseigner". Torah désigne d'abord les cinq premiers livres de la Bible ou Pentateuque, mais aussi le rouleau de parchemin sur lequel est copié le texte de la Torah, et par extension, tous les écrits sacrés du judaïsme.
Par extension, la Torah désigne toute la Bible. On distingue cependant la Torah, les Prophètes et les Écrits sapientiaux. Il y a une différence de statut : la Torah est considérée comme Parole de Dieu.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Il s'agit de la première sourate nommée traditionnellement Al-Fatiha (« l'ouverture »). Selon la tradition musulmane, à la suite de la mort de Mahomet, c'est sous le calife Othman que le texte a été fixé et qu'il est devenu la version officielle du Coran entre 644 et 656 de l'ère chrétienne.
Selon le Coran, les seuls aliments explicitement interdits sont la viande d'animaux qui meurent d'eux-mêmes, le sang, la viande de porc et toute nourriture dédiée à l'adoration d'un autre que Dieu, c'est-à-dire pour laquelle on a invoqué le nom d'un autre que celui d'Allah.
Pour les musulmans, le Coran est la Parole de Dieu révélée à Muhammad [Mahomet, 571-632]. Elle est transmise au Prophète par l'ange Gabriel, qui lui apparaît à de multiples reprises pendant une vingtaine d'années.
Elohim (Hébreu : אֱלֹהִים) est le nom le plus couramment utilisé de Dieu dans la Bible hébraïque, et le premier à y apparaître (Gn 1,1). Contrairement aux autres noms mentionnés dans cet article, il est aussi utilisé pour désigner les divinités des autres religions (ex : Ex 9,1, Ex 12,12, Ex 20,3).
La lecture se fait en présence d'un minyan, un quorum de dix personnes. Chez les Juifs orthodoxes, il s'agit de dix hommes ; dans le Judaïsme réformé, ce minyan peut être mixte.
La plupart des chrétiens reconnaissent Jésus-Christ comme le Fils unique de Dieu et comme l'une des trois personnes du Dieu trinitaire. Sa mère est Marie de Nazareth.
Étymologiquement, la kabbale est une " tradition " faite de deux mouvements de sens contraire : d'une part, une révélation par laquelle Dieu se penche vers l'homme ; d'autre part, une adhésion de l'homme qui accepte la main tendue par Dieu et s'efforce de monter (ou, comme le disent souvent, non sans profondeur, les ...
L'Ancien Testament a été écrit presque entièrement en hébreu, mais aussi en araméen et en grec, sans doute entre le 7e et le 2e siècle avant J. -C. La Bible juive est composée de trois textes : la Torah, qui signifie la Loi, Neviim, ou les Prophètes, et enfin Ketouvim, les Écrits.
Les ânes, les carnivores sauvages et domestiques, les oiseaux de proie et charognards, les insectes, à l'exception des sauterelles, les reptiles, sont interdits de la table des adeptes de l'Islam ; il en est de même de la viande de porc et de celle des animaux étouffés…
Des explications d'ordre taxinomique ont également été développées : le cochon est impur et tabou car il appartient à une catégorie d'animaux « inclassables ». Il ne rumine pas, alors qu'il a le sabot fendu comme tous les ruminants. Cette anomalie en fait un être suspect, dangereux.
"Ce sont, répondit-il, le polythéisme, la sorcellerie ; le meurtre qu'Allah a interdit sauf à bon droit ; l'usurpation des biens de l'orphelin ; l'usure ; la fuite du front au jour du djihad et la fausse accusation (de fornication) des femmes vertueuses, chastes et croyantes". »
La religion en Arabie préislamique comprenait le polythéisme arabe indigène, les anciennes religions sémitiques, le christianisme, le judaïsme, le mandéisme et le zoroastrisme. Le polythéisme arabe, la forme dominante de religion dans l'Arabie préislamique, était basé sur la vénération des divinités et des esprits.
« A partir du IVe siècle de l'Hégire, au Xe siècle de l'ère chrétienne, les musulmans ont tous le même Coran » C'est quelque chose que même les musulmans ont oublié : les sources musulmanes elles-mêmes parlent de plusieurs Corans.
Sourate I, Fâtihat al-kitâb : « Au nom de Dieu : celui qui fait miséricorde, le Miséricordieux. Louange à Dieu, Seigneur des mondes, celui qui fait miséricorde, le Miséricordieux, le Roi du Jour du Jugement. C'est toi que nous adorons, c'est toi dont nous implorons le secours.
Les dates de rédaction des textes de la Bible hébraïque sont parfois difficiles à établir, et certaines datations font l'objet de débats entre les spécialistes. La majorité d'entre eux s'accordent toutefois pour situer son écriture entre les VIII e et II e siècle av. J.
La Bible*, ou du moins celle que les chrétiens appellent « Ancien Testament », est un ensemble de livres composés, peu à peu, dans le milieu de la communauté d'Israël* au cours du Ier millénaire avant notre ère.
Dieu l'aurait consultée pour créer le monde [13] GnR 1 : 1, Avot 3 : 14.. Selon un certain comput, la Torah aurait été créée deux mille ans avant l'univers [14]
La tradition attribue la rédaction de ce Talmud à Rav Mouna et Rav Yossi en 350. Il fut probablement achevé vers la fin du IV e siècle, mais les rédacteurs qui le menèrent à sa forme actuelle ne peuvent être connus avec certitude.