Selon certaines recherches, plus ou moins poussées, l'alcool aurait potentiellement un effet anti-inflammatoire sur l'organisme. Cette information peut se révéler exacte, seulement si la consommation d'alcool reste modérée et contrôlée.
Le Gimber, la boisson anti-inflammatoire et anti-bactérienne pour bien commencer l'année. Après les excès des fêtes de fin d'année, on a tous envie de soigner notre corps et surtout notre foie.
Les auteurs ont conclu qu’une action anti-inflammatoire de l’alcool pourrait expliquer le lien entre une consommation modérée d’alcool et un risque moindre de maladies cardiovasculaires.
Que celles qui ne se sont jamais réveillées avec le visage enflé un lendemain de veille lancent la première pierre! En effet, l'alcool agit en tant qu'inflammatoire sur le système et peut, par le fait même, causer des gonflements des joues, des paupières, des cernes et même des oreilles parfois!
L'alcool peut alors agir de deux manières différentes :
Il fonctionne comme un analgésique et peut donc permettre d'atténuer la douleur. L'alcool peut modifier l'humeur, rendre plus joyeux et plus actif, ou encore apaiser des sentiments d'angoisse. Cette modification permet alors d'oublier la douleur.
Le Merlot arrive juste derrière, suivi du Cabernet, qui a également une teneur en sucre plus faible. L'Université de Greenwich a réalisé une étude sur 400 personnes qui a montré une réduction de la douleur de 24 % après la consommation de deux verres de vin. Une théorie est que l’alcool réduit l’anxiété, liée à la douleur.
Alors qu'il a été observé qu'une consommation modérée d'alcool était associée à des résultats positifs liés à la douleur (par exemple, une meilleure qualité de vie), la consommation excessive d'alcool et les troubles liés à la consommation d'alcool semblent être associés à des résultats délétères liés à la douleur (par exemple, une plus grande intensité de la douleur).
Les sources saines de matières grasses telles que les avocats, les noix, l'huile d'olive et les poissons gras constituent une base solide pour combattre l'inflammation. D'autres aliments peuvent aider comme les légumes à feuilles foncées, les haricots secs, ainsi que les fruits et les légumes aux couleurs vives.
Si les anti-inflammatoires non stéroïdiens constituent le premier traitement contre l'inflammation, l'aspirine, les AINS type ibuprofène, la cortisone et les corticoïdes peuvent également être utilisés. En cas de maladies auto-immunes, on préfèrera des médicaments qui bloquent la réponse immunitaire.
Resvératrol dans le vin rouge
Certaines recherches montrent que le resvératrol pourrait être associé à un risque moindre de gonflement et d'irritation, appelé inflammation , et de coagulation sanguine. Les deux peuvent réduire le risque de maladie cardiaque.
Les antidépresseurs et les somnifères, susceptibles de retarder l'absorption de l'alcool et de diminuer votre vigilance.
Apparemment, les patients qui souffraient de polyarthrite rhumatoïde et buvaient de la vodka de manière semi-régulière tout au long du mois ressentaient moins de douleur et d'inflammation associées à leur maladie , selon cette étude.
L'huile de poisson comme anti-inflammatoire naturel
L'huile de poisson est largement reconnue comme l'un des meilleurs anti-inflammatoires naturels disponibles. Elle contient des acides gras oméga-3, tels que l'EPA et le DHA, qui jouent un rôle clé dans la réduction de l'inflammation.
1. Vodka Soda. Voici une boisson savoureuse qui a été créée à l'origine à des fins médicales, et qui offre en fait quelques avantages pour la santé. La vodka-soda est bonne pour le cœur car elle augmente la circulation sanguine.
Les recherches menées par l'institut Coffee & Heath révèlent que le café est un bon allié pour le bien-être cérébral. Il lutte contre les inflammations, réduit la détérioration des cellules liées à la mémoire. Ainsi, une consommation régulière, mais modérée, permet de créer une défense pour le cerveau.
Il y a quatre signes qui peuvent indiquer une inflammation aiguë : rougeur - chaleur - gonflement - douleur. Il peut également y avoir une difficulté à bouger la zone touchée.
ex., les graines de lin moulues, les graines de chia, les cœurs de chanvre) et les gras oméga‑3 que l'on trouve dans les poissons gras sauvages comme le saumon, le maquereau et les sardines constituent une bonne source de gras anti-inflammatoires.
Les fruits rouges (framboises, myrtilles, fraises, groseilles…) sont particulièrement intéressants pour combattre l'inflammation grâce à leur forte teneur en anthocyanes, des pigments à l'action anti-inflammatoire.
L'inflammation ne nécessite pas toujours de traitement. En cas d'inflammation aiguë, le repos, la glace et un bon soin des plaies soulagent souvent l'inconfort en quelques jours .
Les quatre principaux signes d'inflammation sont la chaleur, la rougeur, l'enflure et la douleur. Les maladies inflammatoires à long terme comprennent l'asthme, la colite, la maladie de Crohn, l'arthrite, la vasculite et la néphrite.
Qu’est-ce qui cause l’inflammation ? Cela peut résulter d’ une exposition à des toxines environnementales, d’un virus persistant, du vieillissement ou d’un stress chronique . Mais ce que vous mangez y contribue aussi.
améliore le système immunitaire pour mieux lutter contre les maladies. améliore l'humeur. augmente la concentration et la mémoire. diminue le niveau d'anxiété
Le foie est la cible principale des effets toxiques de l'alcool. Plusieurs maladies hépatiques peuvent être provoquées par la consommation excessive d'alcool : stéatose (accumulation de lipides dans le foie), hépatite alcoolique, cirrhose.
En effet, il a été démontré que boire 1 ou 2 verres d'alcool pourrait permet la sécrétion des endorphines dans le cerveau. Pour ceux qui ne le savent pas, les endorphines sont les hormones du bonheur. Elles viennent se stocker dans une zone du cerveau, et plus il y en a, plus la personne se sent heureuse.