Au niveau des intestins, on remarque au lendemain d'une soirée bien arrosée qu'on a «un transit facile», voire la diarrhée. «C'est un effet de l'alcool au niveau de l'intestin grêle, qui irrite et accélère le transit intestinal.
Le stade le plus précoce et le plus courant de la maladie du foie liée à l'alcool est appelé stéatose hépatique. La stéatose hépatique désigne une accumulation excessive de graisse à l'intérieur des cellules du foie, ce qui rend plus difficile le fonctionnement du foie.
Les boissons peuvent aussi constiper
Attention au vin rouge, au thé noir et au lait chaud, qui ont un effet constipant.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Si, lorsque vous buvez, vous ne pouvez plus vous arrêter, cela signifie que vous n'êtes plus maître de votre consommation. Ressentir que votre envie de boire est grandissante ou que les occasions se multiplient sont autant de signes qui peuvent vous alerter.
Il ne faut pas penser que seuls les alcools forts peuvent donner une diarrhée, car l'effet ne provient pas du degré absorbé. “Dans les faits, ce n'est pas le type d'alcool qui a un effet, mais bien la quantité ingérée par la personne.
Tisane, thé vert, soupe ou encore smoothie : il existe de nombreuses boissons chaudes ou froides à privilégier en cas de constipation. En plus de contribuer à vos apports hydriques, elles contiennent également des ingrédients qui semblent avoir des propriétés intéressantes pour votre transit.
Elle se traduit par des vomissements de sang ou des selles très noires contenant du sang. Pour confirmer le diagnostic de cirrhose, une biopsie du foie doit être réalisée afin de visualiser les lésions fibreuses caractéristiques.
Oubliez l'idée reçue comme quoi les alcooliques sont minces parce qu'ils ne mangent pas assez. Au fait, il s'agit d'ordre métabolique. L'alcool agissant tel une« calorie vide » ne compte pas dans la prise de poids. L'alcool ingéré par les buveurs réguliers est métabolisé dans un système spécifique.
La douche rectale : "se fait à la maison, a l'aide d'un bock ou poche à lavement qui consiste en l'introduction de 1 à 3 litres d'eau dans le côlon via une canule anale. Après 5-15 minutes, on va à la selle pour se vider par un effet mécanique" explique le naturopathe.
L'alcool affecte ainsi la mobilité intestinale (les mouvements spontanés de l'intestin pour y faire progresser les aliments) et augmente la perméabilité intestinale (le passage de molécules à travers la paroi intestinale) pouvant être à l'origine notamment d'inflammation.
En termes d'impact sur la santé, il est donc clair que toutes les boissons alcoolisées ne sont pas équivalentes. Pour les personnes qui consomment de l'alcool, l'ensemble des études indique qu'une consommation modérée de vin rouge demeure le meilleur choix à faire.
La banane, la pomme, la datte, la figue, le raisin, le kiwi ou encore les cerises sont également pourvues d'intéressantes propriétés laxatives. Pour plus d'effets, les fruits sont à consommer de préférence crus ou cuits.
Le plus connu des laxatifs naturels, le pruneau
Outre sa richesse en fibres (25 % des apports quotidiens pour huit pruneaux), le pruneau d'Agen contient du dihydroxyphénylisatine, une substance qui stimule les contractions de l'intestin, ainsi que du sorbitol et des composés phénoliques qui ont un effet laxatif.
On met de côté les boissons gazeuses et on boit de l'eau en dehors des repas. Surtout pas à la paille car cette mauvaise habitude, comme le chewing-gum, fait ingérer plus d'air. Le thé vert a l'avantage de faciliter le transit, en plus d'avoir un effet détox non négligeable. Attention aux jus de fruits.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Les selles molles ou liquides
Une intoxication alimentaire, certains médicaments, une hyperactivité de la thyroïde ou une maladie intestinale telle que la maladie de Crohn peuvent également être à l'origine de selles liquides.
Les réveils nocturnes
Boire beaucoup trop d'eau avant de dormir n'est pas conseillé. En effet, cela peut entraîner des réveils nocturnes fréquents, voire des insomnies.
Depuis 1978, l'alcoolisme est reconnu comme une maladie par l'Organisation mondiale de la santé (CIM-10). L'OMS classe l'alcoolisme en deux types : la forme aiguë (l'alcoolisme aigu) et l'alcoolisme chronique correspondant à une consommation excessive régulière.
pour les consommateurs quotidiens, de ne pas dépasser un verre par jour et d'essayer d'avoir des jours dans la semaine sans consommation ; pour les consommateurs occasionnels, de ne pas dépasser 2 verres par occasion, d'avoir au moins 2 jours sans consommation dans la semaine et de ne pas dépasser 7 verres par semaine.