L'alcool est connu pour ses effets analgésiques. 25 % des personnes qui souffrent de douleur chronique l'utilisent pour se soulager.
L'alcool peut alors agir de deux manières différentes :
Il fonctionne comme un analgésique et peut donc permettre d'atténuer la douleur.
Selon certaines recherches, plus ou moins poussées, l'alcool aurait potentiellement un effet anti-inflammatoire sur l'organisme. Cette information peut se révéler exacte, seulement si la consommation d'alcool reste modérée et contrôlée.
Rappelons quand même que l'abus de l'alcool est dangereux pour la santé. Les résultats montrent que “l'alcool est un analgésique efficace qui permet de diminuer la sensation de douleur de manière importante”.
Lors de sa consommation, l'alcool a un effet anesthésiant qui diminue la sensation de douleur physique; 25 % des personnes utiliseraient d'ailleurs l'alcool comme analgésique, selon Denis Fortier.
Que l'alcool adoucisse la douleur vient certainement du fait que l'augmentation de la concentration d'alcool dans le corps est couplée à une diminution de la douleur. Autrement dit : après 5 bières, on sent certainement moins la douleur qu'après quelques petits verres.
La douleur
L'alcool exerce un effet anesthésique et analgésique sur notre système nerveux, c'est à dire qu'il est capable de diminuer la sensation de douleur.
Le Gimber, la boisson anti-inflammatoire et anti-bactérienne pour bien commencer l'année. Après les excès des fêtes de fin d'année, on a tous envie de soigner notre corps et surtout notre foie.
Le dépassement des doses de paracétamol (plus de 6g par jour) et la consommation d'alcool sont donc à éviter. Cette combinaison augmente fortement le risque de développer une hépatite médicamenteuse. Si cette pathologie se traite relativement bien, elle peut créer des lésions du foie sévères.
L'ibuprofène danger : les anti-inflammatoires ne devront jamais être associés avec les boissons alcoolisées. L'alcool est susceptible de diminuer ou d'augmenter les effets des médicaments. La prise d'alcool potentialise les éventuels effets secondaires à risque de l'ibuprofène ou d'autres anti-inflammatoires.
1. Vodka Soda. Voici une boisson savoureuse qui a été créée à l'origine à des fins médicales, et qui offre en fait quelques avantages pour la santé. La vodka-soda est bonne pour le cœur car elle augmente la circulation sanguine.
La règle d'or est de choisir un alcool clair pour minimiser la gueule de bois. Alors si ces options semblent être les pires, ce sont en réalité les meilleures. J'ai nommé Vodka, Gin, et Saké. Plus un alcool est clair, moins il contient d'impuretés liées à la fermentation que notre corps a du mal à assimiler.
En effet, il a été démontré que boire 1 ou 2 verres d'alcool pourrait permet la sécrétion des endorphines dans le cerveau. Pour ceux qui ne le savent pas, les endorphines sont les hormones du bonheur. Elles viennent se stocker dans une zone du cerveau, et plus il y en a, plus la personne se sent heureuse.
Des doses d'alcool faibles ou modérées ont un effet euphorisant, induit par l'activation du système de récompense libérant de la dopamine – le neuromédiateur du plaisir –, et un effet relaxant parce qu'il inhibe le système inhibiteur du comportement.
améliore le système immunitaire pour mieux lutter contre les maladies. améliore l'humeur. augmente la concentration et la mémoire. diminue le niveau d'anxiété
Les antidépresseurs et les somnifères, susceptibles de retarder l'absorption de l'alcool et de diminuer votre vigilance.
Certains médicaments ont des effets indésirables qui sont semblables à ceux de l'alcool. Citons par exemple les médicaments contre l'insomnie ou l'anxiété de la classe des benzodiazépines. Ces médicaments sont aussi des dépresseurs du cerveau puisque c'est par cet effet qu'ils agissent.
Heureusement, il y a de bonnes nouvelles. Chez les personnes souffrant de stéatose hépatique, après seulement deux à trois semaines d'arrêt de consommation d'alcool, le foie peut guérir et semble fonctionner aussi bien que s'il était tout neuf.
Les huiles essentielles pour apaiser l'inflammation
Les huiles essentielles sont également efficaces pour calmer l'inflammation. L'huile essentielle de lavande, de romarin et de menthe poivrée sont connues pour leurs propriétés anti-inflammatoires.
Boire un verre de bière, de vin ou même un «shot» de spiritueux par jour diminue les risques cardiovasculaires, selon une étude menée à Lausanne. La consommation modérée d'alcool est associée à une diminution des risques cardiovasculaires.
Les recherches menées par l'institut Coffee & Heath révèlent que le café est un bon allié pour le bien-être cérébral. Il lutte contre les inflammations, réduit la détérioration des cellules liées à la mémoire. Ainsi, une consommation régulière, mais modérée, permet de créer une défense pour le cerveau.
Premier signal d'alarme : la peau qui tire, est sèche et/ou gonflée avec des rougeurs. Chez certaines personnes, la réaction cutanée est encore plus forte et peut prendre la forme d'un eczéma et de couperose.
Le foie est la cible principale des effets toxiques de l'alcool. Plusieurs maladies hépatiques peuvent être provoquées par la consommation excessive d'alcool : stéatose (accumulation de lipides dans le foie), hépatite alcoolique, cirrhose.
Après 20 minutes, l'alcool atteint le foie par l'intermédiaire de sang. Le foie commence à l'assimiler. C'est le foie qui traite en majorité l'alcool, à savoir à 95 %. Les 5 % restants finissent dans les urines, la sueur et l'haleine.