En situation de stress, la glycémie augmente, car le corps se prépare à subir des pressions mentales et physiques. La libération d'adrénaline entraîne une hausse de la glycémie, ce qui, couplé à l'augmentation de la tension artérielle, assure que l'oxygène et le glucose sont transportés à toutes les parties du corps².
En effet, le stress provoque la libération de certaines hormones, dont le cortisol, qui occasionnent une hausse de la glycémie. Ce phénomène est généralement bien contrôlé.
Le manque de sommeil induit un double effet hyperglycémiant
Concrètement, si un homme manque de sommeil, sa production de testostérone diminue, ce qui entraîne une diminution de la production d'insuline, conduisant à une hyperglycémie (élévation de la glycémie), voire un diabète.
Une hyperglycémie est caractérisée par une glycémie supérieure à 6,1 mmol/l ou 1,10 g/l), mesuré à jeun. Cette hyperglycémie peut être transitoire ou chronique. Lorsque la glycémie à jeun est supérieure à 7 mmol/l (1,26 g/l), le diagnostic de diabète est porté.
A jeun, une glycémie dite "normale" doit être comprise entre 0.70 et 1 gramme de glucose par litre de sang. Jusqu'à deux heures après le repas, la glycémie peut s'élever jusqu'à 1.4 g/L.
L'organisme produit une poussée d'hormones qui commence environ 2 h à 3 h avant l'heure habituelle du réveil, ce qui fait augmenter la glycémie à jeun (avant les repas). Sans l'action de l'insuline nécessaire pour réguler cette augmentation, la glycémie à jeun est élevée tôt le matin (ou à l'aube).
Même une toute petite quantité de sucre sur les doigts peut fausser votre résultat (par exemple, si vous avez mangé un aliment sucré, comme des cerises, et que vous ne vous êtes pas lavé les mains). Conseil : N'oubliez pas de vous laver les mains avec de l'eau et du savon, même si vos mains semblent propres.
L'eau. Maintenir une bonne hydratation grâce à l'eau peut vous aider à contrôler le taux de glycémie dans le sang, d'après une étude citée par Best Health Mag (Source 1).
picotements, chatouillements, chair de poule, sensations étranges comme une piqûre d'épingle ou une décharge électrique; engourdissements (pertes de sensibilité d'une partie du corps); brûlures, démangeaisons, douleurs; transpiration, gonflement, froid ou chaleur injustifiée.
Quelles sont les causes ? "Elle est causée par les effets délétères de l'hyperglycémie chronique entraînant une souffrance des petits vaisseaux qui irriguent les nerfs, ce qui peut altérer la conduction de l'influx nerveux ", affirme le Professeur Fabrice Bonnet.
Le pied diabétique peut se manifester par de véritables lésions cutanées de nature ulcéreuse (plaies), qui se développent généralement au niveau des doigts ou de la région plantaire. Elles peuvent, à leur tour, provoquer une gangrène et, dans des cas extrêmes, une amputation du membre.
Ayez un horaire de repas régulier. Ceux-ci devraient être espacés d'environ 4 à 6 heures. Les collations devraient être prises de 2 à 3 heures après le repas, s'il y a lieu.
Les objectifs glycémiques chez le sujet âgé (à partir de 65 ans) en bonne santé, visent une glycémie à jeun entre 0,90 et 1,26 g/L et une HbA1c entre 6,5 et 7,5 %.
Le diabète n'est pas une contre-indication à la vie sexuelle. Au contraire, celle-ci peut être considérée comme une forme d'activité physique douce, qui est recommandée.
Les fruits sucrés comme la mangue, la banane et les cerises doivent être évités. Mieux vaut privilégier des fruits peu sucrés et riches en fibres (les fibres ralentissant l'absorption des sucres) : poires, pommes, pêches, oranges, agrumes, fruits rouges (fraises, framboises, cassis...).
La caféine peut avoir un impact sur la glycémie.
Certaines personnes rapportent, en effet, avoir observé une augmentation de leur glycémie suite à la consommation de caféine. Cet effet pourrait s'expliquer par la libération d'adrénaline, provoquée par la caféine, qui peut faire augmenter le taux de sucre dans le sang.
Une pizza affecte le taux de sucre dans le sang d'un patient diabétique de type 1 pendant plus de huit heures, nécessitant un apport lent et régulier d'insuline pour maintenir un taux de sucre optimal , montre une étude américaine. L'équipe du Dr Robert A.
Une fatigue permanente
Le sucre ne peut plus assurer son rôle de source d'énergie chez le diabétique, il en résulte un état de fatigue intense même au repos. Cela résulte des hypoglycémies qui sont fréquentes. D'où l'importance de contrôler son taux de glycémie régulièrement lorsqu'on est diabétique.
les pâtes alimentaires et autres céréales cuites (riz, orge, couscous, quinoa, etc.) les légumineuses (haricots, lentilles, pois chiches, etc.) certains légumes (bananes plantain, courges d'hiver, ignames, maïs, panais, patates douces, pois verts, pommes de terre, etc.).
Quel matériel utiliser ? Pour mesurer la glycémie, on se pique sur le côté du doigt, ou à la base du pouce avec certains lecteurs, avec une lancette montée sur un auto-piqueur. On met en contact avec la goutte de sang la bandelette du lecteur de glycémie, qui affiche le résultat en quelques secondes.
Résultats? Lorsque les mains étaient lavées à l'eau, les glycémies étaient les mêmes qu'avant la manipulation des fruits. Toutefois, les glycémies obtenus sans qu'un lavage des mains ne soit effectué révélaient des résultats souvent deux fois plus élevés, dûs au sucre résiduel sur la peau.