L'argent a un impact positif sur le bonheur, qui est davantage prononcé lorsque l'on est pauvre que lorsque l'on est riche. La raison est que l'argent est plus efficace pour satisfaire les besoins de déficience que pour répondre aux besoins supérieurs, ceux relatifs à la réalisation de soi.
C'est un moyen de vivre convenablement, il nous permet l'achat de ce que l'on veut et de pouvoir obtenir le confort. Prenons comme exemple les riches qu'on voit généralement à la télévision, possèdent de gros bateaux, de belles voitures, vivent dans de bonnes conditions et paraissent heureux.
Conclusion : l'argent ne fait certes pas le bonheur, mais sans argent, le bonheur et, en tout cas, le progrès, l'épanouissement d'un individu, le développement d'un pays ou d'une entreprise sont impossibles.
L'expression l'argent ne fait pas le bonheur signifie qu'il ne suffit pas d'être riche pour être heureux. Le bonheur se trouve ailleurs. En effet, même si l'argent permet d'acheter tout ce que l'on veut, d'attirer des (faux) amis autour de soi, cela ne suffira pas à rendre quelqu'un heureux sur le long terme.
Le bonheur est confondu avec le plaisir, avec les plaisirs. Et dans cette confusion multimillénaire, le bonheur apparaît alors comme un état de satisfaction intense, dû à la chance, à la bonne fortune, ce qui est effectivement l'origine étymologique du mot « bon-heur ».
Le bonheur se distingue du plaisir et de la joie, qui sont des émotions éphémères et toujours liées à un objet particulier. La satisfaction des besoins fondamentaux (se nourrir, se vêtir, se loger et se sentir en sécurité) représente les éléments essentiels pour atteindre un état de bien-être.
Parce qu'il permet de fabriquer des souvenirs, de partager quelque chose avec d'autres, de changer sa façon de voir la vie. Ainsi, utiliser l'argent pour faire le plein d'expériences positives, même circonscrites dans le temps, est une façon de vous rapprocher du bonheur.
L'argent a-t-il donc autant d'importance ? Omniprésent dans la société moderne, l'argent apparaît comme le centre et le moteur de toutes les actions humaines. L'argent est un moyen par lequel on peut faire du bien (à soi-même et aux autres) et qui permet d'accéder au bien-être, parfois même au bonheur.
Les vertus et bienfaits de l'argent
Il diminuerait les problèmes visuels. Il protègerait de la dermatite, de l'ostéoporose, de la grippe chronique, de la sinusite et des rhumatismes. De par ses propriétés antimicrobiennes et antibactériennes, l'argent aide à guérir des infections et à soigner les plaies.
Le bonheur augmente avec la richesse, mais seulement jusqu'à un certain seuil. Au-delà, on ne constate plus d'effet global : tout dépend de la façon d'utiliser son argent. «Si l'argent ne fait pas le bonheur, rendez-le », conseillait l'écrivain français Jules Renard.
L'argent entraîne donc toujours le bonheur, quel que soit le niveau de richesse où l'on se trouve. Néanmoins, le chercheur pointe que les personnes assimilant l'argent et le succès peuvent être moins heureuses que ceux ne le faisant pas, car ils passent plus de temps à travailler et se sentent pressés par le temps.
Pour certains, il offre un grand pouvoir de séduction. Il permet à d'autres de se sentir rassurés. Ou bien encore, il incarne un symbole de liberté. Chacun entretient donc avec l'argent une relation particulière et y trouve son compte !
l'argent permet d'avoir tous les biens matériels sans lesquels l'individu serait malheureux. La télévision, le réfrigérateur, les habits, la maison et la voiture ne sont pas uniquement nécessaires, mais….
L'argent peut tout acheter dès lors que l'on fait fi des notions de droit, de justice et de morale. Même ce qui n'a pas de prix a un prix, car l'homme est faible et corruptible.
Définition du bonheur
Il s'agit d'un état durable de plénitude et de satisfaction, agréable et équilibré de l'esprit et du corps. La souffrance, l'inquiétude, le trouble sont absents. Le bonheur est en lien avec l'image que l'on a de soi par rapport à tout ce qui nous entoure.
Une conception possible du bonheur, C'est l'état d'esprit de celui qui vit en harmonie avec lui-même et avec le monde qui l'entoure. C'est pourquoi, pour être heureux, il faut être soi-même. Mais être en harmonie avec soi-même, c'est établir une paix intérieure que rien ne vient troubler au sein de soi.
Le texte argumentatif est un type de texte dans lequel l'auteur défend un point de vue sur une question ou une polémique à caractère philosophique, politique, scientifique ou social.
Le bonheur, en philosophie, peut se définir comme l'état de complète satisfaction. Dans la philosophie antique (Epicure a écrit le premier traité du bonheur : La lettre à Ménécée), le but de la vie humaine est le bonheur, fin parfaite et Souverain Bien (summum bonum).
Puisqu'il est un idéal impossible à atteindre, le bonheur n'existe pas réellement. Ce n'est ni un état, ni un but : c'est une idée. En tant qu'idée, le bonheur est imaginé différemment par chacun d'entre nous.
La destruction de la souffrance, l'apaisement, la quiétude. Ainsi, même celui qui se pend est motivé par la recherche du malheur. Le suicide est à la fois manque et recherche de bonheur. Le bonheur est donc une propension, une appétence, un instinct naturel et universel.
À défaut de ségrégation ou identification précise, il ne peut être revendiqué comme produit de disposition d'un bien hypothéqué ou sous réserve de propriété (Cour d'appel)
La notion de bonheur est intimement liée au désir. Être heureux, ce serait réaliser tous ses désirs, ou du moins réaliser tous ses désirs « importants ». L'être humain heureux accomplit les objectifs qu'il s'est fixé, ceux qui ont une valeur pour lui-même.