Toutes les pièces, à l'exception du cavalier, ne peuvent sauter par dessus une autre pièce - toutes les cases entre celle où se trouve la pièce et celle sur laquelle la pièce veut aller, doivent être vides. Un déplacement ne peut se finir sur un case occupée par une pièce de même couleur.
– Contrairement aux autres pièces d'échecs, le Cavalier se déplace en sautant. Il n'est donc pas bloqué par ses propres pions comme peuvent l'être les Fous ou toutes les autres pièces du jeu d'échecs.
Le déplacement du cavalier est original. Il se déplace en L, c'est-à-dire de deux cases dans une direction (comme une Tour) combinées avec une case perpendiculairement (toujours comme une Tour).
Nous nous sommes permis un langage quelque peu familier pour ce titre afin de préciser qu'aux échecs, on ne dit pas « manger » mais plutôt prendre ou capturer. Le Cavalier prend les pièces adverses en « sautant » sur leurs cases. Il prend la pièce adverse qui se trouve sur la case de sa destination.
Le pion peut avancer d'une case en diagonale à la seule condition d'y capturer n'importe quelle pièce adverse qui s'y trouverait. La prise n'est pas obligatoire. Le pion ne peut prendre une pièce vers l'arrière ou vers le côté.
Le Roi peut-il manger aux échecs ? Oui, comme toutes les autres pièces le Roi peut prendre une pièce adverse, mais à condition de ne pas se mettre en échec en jouant ce coup. Un Roi ne peut donc jamais prendre une pièce adverse qui est protégée.
Le roi prend comme il se déplace ; il peut donc prendre toute pièce adverse non protégée (par une autre pièce adverse) en se déplaçant sur la case qu'elle occupe, et la pièce prise est retirée de l'échiquier.
Un pion arrivé au bout de sa course doit se transformer. Il peut devenir une dame, une tour, un fou ou un cavalier, mais jamais un roi. La pièce qu'il devient n'a pas besoin d'avoir déjà été capturée. Cette transformation ne concerne que les pions et se nomme « promotion ».
Dans cette variante la Reine se métamorphose en simple Pion. Cette pièce peut avancer ou reculer d'une seule case et elle ne prend qu'en diagonale. Comme dans la première règle du jeu, les joueurs posent à tour de rôle les pièces de leur choix avant de les déplacer.
Le jeu d'échec : déplacement des pièces (2)
C'est la seule pièce qui peut sauter par-dessus une autre pièce. Pour se déplacer, le cavalier avance ou recule de deux cases en verticale ou horizontale, puis se décale d'une case vers sa droite ou sa gauche. Pour retenir son déplacement, il faut penser à un L .
En matière d'attaque, le fou peut prendre la première pièce adverse qui se trouve sur son chemin. Cependant, comme il ne peut pas sauter sur une autre pièce, il se trouve automatiquement bloqué dès qu'une autre pièce amie ou adverse se trouve sur sa trajectoire.
Qui traite les autres sans égards, sans respect. ➙ brusque, hardi, insolent. Réponse cavalière. ➙ impertinent.
La tour blanche peut se déplacer vers n'importe quelle case marquée d'un point blanc. La tour noire peut se déplacer vers n'importe quelle case marquée d'un point noir ou capturer le pion blanc.
Le cavalier peut capturer les pièces adverses qui sont positionnés sur une case qu'il peut occuper au cours de son prochain déplacement. Dans l'exemple cité ci-dessus, le cavalier peut prendre deux pièces, c'est-à-dire le pion qui se trouve dans la case c4 et aussi le fou de la f3.
Le cheval se déplace en associant deux membres diagonaux. L'encolure reste stable dans un plan vertical : l'ensemble du corps se soulève puis s'abaisse selon la projection et les posers des bipèdes diagonaux.
En début de partie, le pion peut avancer d'une ou deux cases... ... Puis d'une seule case tout le reste du jeu. Le pion a la particularité de ne pouvoir attaquer qu'en diagonales.
Dans le diagramme ci-dessus, le Pion blanc peut, s'il le souhaite, prendre le Fou noir des cases noires. Mais il peut aussi avancer d'une case, et dans ce cas, donner un échec au Roi noir.
La reine se déplace de façon combinée comme un tour et un fou. Sauf si elle doit prendre, la reine peut se déplacer sur n'importe quelle case vide. Elle ne peut passer au dessus des pièces.
La dame se déplace sur une même diagonale d'autant de cases qu'elle le désire, en avant et en arrière. Un pion peut en prendre un autre en sautant par dessus le pion adverse pour se rendre sur la case vide située derrière celui-ci. Le pion sauté est retiré du jeu.
« Damer » est un terme synonyme et tombé en désuétude. La promotion n'est pas limitée aux pièces déjà capturées, un joueur peut donc avoir deux dames ou plus sur l'échiquier (certains jeux haut de gamme fournissent deux dames de chaque couleur).
L'avantage du trait est, aux échecs, l'avantage intrinsèque du joueur qui est le premier à jouer (« les Blancs »).
C'est la capacité du pion à être promu une fois qu'il atteint l'autre côté de l'échiquier. Un joueur peut avoir autant de dames que possible, la seule limite étant le nombre de pions pouvant être promus.
La prise. La prise des pièces adverse est obligatoire et s'effectue aussi bien en avant qu'en arrière. Lorsqu'un pion se trouve en présence, diagonalement, d'une pièce adverse derrière laquelle se trouve une case libre, il doit obligatoirement sauter par-dessus cette pièce et occuper la case libre.
L'échec et mat ou plus souvent mat est, au jeu d'échecs, une situation dans laquelle un roi est menacé de capture au prochain coup et pour laquelle aucune parade n'est possible pour l'éviter. La partie prend alors fin immédiatement (le roi n'est jamais capturé) et le joueur qui inflige le mat en est déclaré vainqueur.