Le cœur a la particularité d'être un système autonome, commandé par une activité mécanique et électrique qui lui est propre. «Un patient peut être en mort cérébrale mais avoir le cœur qui bat toujours», décrit le Dr Olivier Müller, cardiologue au Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV).
- Il fonctionne souvent indépendamment du néocortex. - Il contrôle tout ce qui régit le bien-être psychologique du corps et une grande partie de la physiologie du corps : le fonctionnement du coeur, la tension artérielle, les hormones, le système digestif et même le système immunitaire.
Le cerveau constitue le centre de contrôle du corps humain, il gère tout ce que nous faisons.
Pour faire circuler le sang dans le corps, le cœur se contracte et se dilate. Cette action de pompage s'illustre bien par l'alternance du serrement et du desserrement d'un poing. Chaque battement, le cœur expulse du sang dans les artères. C'est ce qui crée le pouls.
Il existe au sein du cœur un certain nombre de structures neuronales organisées sous forme de plexus. Des circuits neuronaux locaux (interneurones) au sein de ganglions intracardiaques permettent l'intégration et le traitement d'informations nerveuses assurant la modulation de la fonction cardiaque.
Le cœur a la particularité d'être un système autonome, commandé par une activité mécanique et électrique qui lui est propre.
Le cœur est irrigué par les artères coronaires et circonflexe. L'aorte et les artères pulmonaires s'abouchent au cœur, de même que les veines pulmonaires et cave inférieure.
Le cœur a donc pour rôle de pomper le sang et de le propulser dans les artères pour nourrir et oxygéner les tissus (muscles, organes, peau...) et de récupérer les déchets cellulaires liés à l'utilisation de l'oxygène et la transformation des nutriments en énergie.
Le cœur repose, par une face inférieure, sur le diaphragme qui le sépare des viscères de l'abdomen. Muscle dénommé strié par les histologistes, il possède la même structure que ceux des membres avec la même force de contraction.
Il est situé entre les poumons, presque au centre de votre poitrine. C'est le muscle central du corps, et le tout premier organe à se former après la conception. Le cœur est situé dans la poitrine, entre les deux poumons.
ll est possible de vivre normalement sans posséder 90 % du volume de notre cerveau. C'est en tout le cas très étonnant d'un Français de 44 ans dont 90 % de la boîte crânienne ne contient quasiment que du liquide céphalo-rachidien.
Le cortex moteur est loin d'être la seule région du cerveau impliquée dans la commande et le contrôle des mouvements. Il faut également mentionner le rôle important des ganglions de la base et du cervelet. Les ganglions de la base interviennent dans une boucle complexe reliant différentes aires corticales.
Aujourd'hui, on est un peu revenu sur ce « matérialisme » biologique, et les connaissances les plus récentes montrent que le sentiment amoureux résulte d'une interaction complexe entre les cerveaux (le cerveau des instincts, celui des émotions et le cerveau logique) et le coeur.
On compterait environ 500 millions de neurones(1) dans notre intestin, constituant ainsi un système nerveux à part entière : le système nerveux entérique. Il s'agit du second système nerveux de l'organisme, d'où le nom de « deuxième cerveau ».
La mort cérébrale signifie que le cerveau cesse de fonctionner. Les personnes ne réagissent à aucun stimulus. Aucun traitement ne peut aider, et une fois le diagnostic confirmé, la personne est légalement déclarée morte.
Il est constitué de trois parties principales: Le cerveau proprement dit remplit une très grande partie de la boîte crânienne. Il contrôle la mémoire, la résolution de problèmes, la pensée, les sensations ainsi que les mouvements.
Vena amoris (du latin : Vena Amoris signifiant littéralement « veine de l'amour ») est une veine qui relierait directement l'annulaire de la main gauche au cœur.
La cage thoracique protège différents organes dont des organes vitaux tels que les poumons, séparés au centre par une région nommée médiastin. Cette région contient le cœur, l'œsophage, la trachée et les bronches.
La position allongée au moment de se coucher peut occasionner des difficultés à respirer pour certaines personnes. Durant le sommeil, le relâchement du corps et de ses différents muscles peut être à l'origine de l'apparition du syndrome d'apnées du sommeil.
Le Dr Marks s'est donc intéressé aux mécanismes moléculaires de cette fatigue cardiaque. Pour répondre aux besoins sanguins du corps, le système nerveux inonde le cœur d'hormones de type adrénaline et noradrénaline, qui font se contracter plus fortement les cellules musculaires du cœur.
La zone du cœur correspondante, brusquement privée de sang et donc d'oxygène, souffre et s'abîme irrémédiablement. La principale cause de l'infarctus est l'athérosclérose qui débute par la formation de plaques d'athérome, constituées de cholestérol, de fibres et de débris cellulaires, sur la paroi des artères.
Le cœur est relié au tronc cérébral, à la base du cerveau, par des réseaux de fibres nerveuses autonomes : les nerfs vagues (parasympathiques) ralentissent sa fréquence, les nerfs sympathiques l'accélèrent. Les premiers dominent au repos ; les seconds, en activité.
Le cœur est un organe musculaire situé dans la cage thoracique, derrière le sternum, et décalé légèrement sur la gauche chez la plupart des individus. Sa taille est environ 1,5 fois la taille du poing de la personne. Une paroi épaisse divise le cœur en deux parties, gauche et droite.
Chaque cellule du nœud possède un cil qui tourne vers la gauche à 600 rotations par minute. Ces cellules créent ainsi un courant dans l'embryon. Ce signal provoque la production de certains organes d'un côté et pas de l'autre. C'est pourquoi le cœur se situe à gauche et le foie à droite.