Le défibrillateur ne remplace pas le massage cardiaque, il traitera si nécessaire cette fibrillation avec un choc électrique. C'est un des seuls moyens pour arrêter une fibrillation ventriculaire, cause de l'arrêt cardiaque.
En effet, si le cœur s'arrête plus de trois minutes c'est la mort cérébrale. Le cœur est un muscle qui fait office de pompe et permet au sang de circuler dans l'organisme et ainsi l'irriguer. Le sang est constamment pompé et éjecté par différents vaisseaux et parcourt un circuit fermé.
L'arrêt cardiaque peut être provoqué par certaines formes d'arythmie, des battements de cœur irréguliers pouvant entraîner un court-circuit du système électrique cardiaque. En fait environ un quart des crises cardiaques provoquent un arrêt cardiaque – soit immédiatement, soit une heure ou deux après.
Un défibrillateur automatisé externe (DAE) est un appareil portable, fonctionnant au moyen d'une batterie, dont le rôle est d'analyser l'activité du cœur d'une personne en arrêt cardio-respiratoire. Cette analyse est entièrement automatique, ce qui évite à l'opérateur toute prise de décision.
La méthode la plus efficace reste l'application d'un choc électrique externe (via un défibrillateur). La défibrillation consiste à faire passer brièvement un courant électrique dans le coeur afin de restaurer le rythme cardiaque normal.
Essoufflement. Pâleur, sueur et faiblesse générale. Nausées, vomissements et parfois indigestion. Peur et anxiété.
Le défibrillateur, un appareil qui envoie une forte décharge électrique dans le coeur, rétablit son rythme lorsqu'une personne fait un malaise cardiaque ou si elle est en arrêt cardio-respiratoire. Il émet en effet une décharge électrique qui stimulera le coeur pour qu'il se remette à battre.
En particulier, dans le cas du défibrillateur dont le coût initial est important pour un coût de suivi marginal, les analyses médico-économiques des grands essais sont effec- tuées pour des durées moyennes de suivi de 24 mois alors que la longévité de l'appareil approche 5 ans.
La grande différence entre ces deux dispositifs réside dans ce qu'ils traitent : Le pacemaker évite un ralentissement du cœur. Le défibrillateur délivre un traitement en cas d'accélération dangereuse du rythme cardiaque.
Sauf que, lorsque c'est le cœur qui s'arrête en premier, le cerveau le suit au bout d'un maximum de dix minutes. La mort de la personne est donc toujours cérébrale et c'est elle qui est irréversible ; il y a simplement plusieurs manières d'y arriver.
Sans prise en charge immédiate, plus de 92 % de ces arrêts cardiaques sont fatals. 7 fois sur 10, ces arrêts surviennent devant témoins, mais seulement 40 % de ceux-ci font les gestes de premier secours. Le taux de survie à un arrêt cardiaque en France est au maximum de 8 %.
D'après une recherche américaine, les personnes souffrant d'apnée du sommeil présentent un risque beaucoup plus élevé que la normale de mourir d'une crise cardiaque au cours de la nuit.
Une crise cardiaque est un problème circulatoire (blocage d'un vaisseau qui alimente le cœur en sang) qui peut causer des lésions cardiaques irréversibles. L'arrêt cardiaque a pour origine un problème électro-physiologique (dysfonctionnement électrique du rythme cardiaque).
L'arrêt cardiaque soudain est causé par un problème électrique dans le cœur. Il se produit lorsque le cœur commence à battre dangereusement vite, ce qui fait qu'il tremble plutôt que de pomper le sang vers l'organisme et le cerveau.
Il faut toujours indiquer que l'on est porteur d'un défibrillateur cardiaque à tout médecin consulté car certains examens ou gestes sont contre-indiqués. En effet, par exemple les examens par résonance magnétique ou IRM sont formellement interdits.
Une consommation excessive d'alcool (lors d'une même occasion, quatre consommations ou plus pour les femmes, et cinq consommations ou plus pour les hommes) et une consommation importante d'alcool peuvent augmenter la pression artérielle et le risque de développer une arythmie cardiaque, comme la fibrillation ...
Un suivi régulier et quelques précautions
De plus, le pacemaker a une durée de vie moyenne de 8 à 12 ans, ce qui nécessite de le remplacer régulièrement.
Un défibrillateur doit être utilisé en cas d'arrêt cardiaque avéré. La victime ne parle pas, ne bouge pas et ne respire pas. C'est une absence de signe de vie. La recherche de signe de vie doit être simple.
La plupart des porteurs de défibrillateurs cardiaques peuvent voyager en toute tranquillité, dans la mesure où leur pathologie le permet. Avant de partir, discutez avec votre médecin : Des recommandations en matière de soins ou d'activité Des mesures à prendre si vous éprouvez une gêne ou des symptômes.
Il n'existe pas de risque pour la victime. Le défibrillateur détermine automatiquement la nécessité du choc électrique et son intensité. Ainsi, il ne délivrera pas de choc s'il perçoit que le cœur a un fonctionnement ne nécessitant pas ce traitement.
Infarctus du myocarde (IDM)
Pour les personnes cardiaques
Si vous êtes cardiaque, évitez les eaux riches en sodium et préférez les eaux moins salées et minéralisées. Enfin, les troubles du transit et la fatigue s'améliorent avec une eau fortement minéralisée et gazeuse.