L'hypersensibilité non cœliaque au gluten peut se manifester par les symptômes suivants (non exhaustifs et non spécifiques) : douleurs abdominales, brûlures épigastriques, rétention d'eau, nausées, diarrhées, constipation, maux de tête, fatigue chronique, troubles immunitaires (susceptibilités aux infections, allergies ...
L'intolérance au gluten provoque des troubles digestifs entraînant diarrhées, vomissements, douleurs abdominales et ballonnements. Le gluten serait même à l'origine de troubles beaucoup plus variés comme la fatigue chronique, l'infertilité, les douleurs articulaires et même de certaines maladies auto-immunes.
Concernant les symptômes, ceux rencontrés plus fréquemment sont : diarrhée chronique, perte de poids, distension abdominale, carences nutritionnelles, douleurs abdominales, stomatite aphteuse, fatigue chronique, ostéoporose et un retard de croissance chez les enfants.
Risque de développer des maladies cardiovasculaires
Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de la Harvard Medical School de Boston (Massachussetts), retirer le gluten de son alimentation, c'est prendre le risque de développer une maladie cardiovasculaire.
Quand on est intolérant au gluten, on ne sait que trop bien que les douleurs, l'inconfort digestif, les ballonnements du ventre ne contribuent absolument pas à une silhouette harmonieuse. Le ventre qui gonfle après l'ingestion de gluten donne plus l'impression d'un ventre de femme enceinte que des abdos d'athlète …
Le gluten stimule la production d'interleukines (IL 8 et IL 15) qui déclenche la production de zonuline qui crée de l'inflammation.
Que l'on soit atteint de maladie cœliaque, ou sensible au gluten, on développe souvent des tas de désordres intestinaux : diarrhées chroniques, nausées, vomissements, douleurs abdominales, ballonnements ou encore constipation, flatulences et reflux gastrique.
Le seul traitement de la maladie cœliaque consiste à suivre un régime sans gluten strict. Cette protéine se cache dans les céréales comme le blé, l'orge, le seigle, l'épeautre et le froment. Il faut donc exclure de votre alimentation les produits préparés avec ces céréales.
C'est un fait établi cliniquement : les allergiques et les intolérants au gluten se plaignent d'avoir des douleurs articulaires.
Les œufs sont naturellement exempts de gluten. Le gluten présent dans le régime alimentaire des poules est complètement décomposé pendant leur processus de digestion, ce qui signifie que les œufs ne contiennent pas de gluten.
Le gluten ne fait pas grossir, mais les farines qui en contiennent sont présentes dans un grand nombre d'aliments à base de farine de blé, dont certains sont également gras et/ou sucrés : biscuits, viennoiseries, gâteaux, pizzas, etc.
Le pain sans gluten peut être réalisé avec des céréales naturellement dépourvues de gluten, comme le sarrasin, le riz, l'avoine, le quinoa, le millet, l'amarante queue de renard (kiwicha), le teff, le tapioca, le sorgo ou le maïs (attention : le pain de maïs « normal » comporte en général une part de farine de froment) ...
Intermédiaires entre les deux premières catégories de pâtes sans gluten, se trouvent les pâtes fabriquées à partir de plusieurs céréales. Au riz et/ou maïs s'ajoutent le quinoa, l'amarante ou encore le sarrasin. Ces compositions variées garantissent un bon équilibre diététique.
Hydratation régulière
Les eaux moyennement minéralisées (évitez l'Hépar et autres eaux qui peuvent jouer sur le transit intestinal) Les thés verts et tisanes, notamment de menthe poivrée contre les ballonnements, la badiane en cas de diarrhées ou encore le thym pour faciliter la digestion. Les bouillons.
Le chocolat en plaque ou de dégustation :
Tous les chocolats ne sont pas sans gluten. Les seuls qui sont autorisés pour un malade cœliaque sont fabriqués par des marques garanties sans gluten.
Les féculents naturellement dépourvus de gluten sont : le riz, le soja, le sarrasin, le tapioca (manioc), le millet, le sésame, le quinoa, les châtaignes, le sorgho, l'igname, la pomme de terre, le maïs, la polenta, les panisses, la socca, les légumineuses, la patate douce, le topinambour, les petits pois…
Par ailleurs, sachez que le fromage en soi ne contient pas de gluten, sauf lorsqu'il est soumis à des transformations. En réalité, les produits utilisés pour fabriquer les fromages sont naturellement sans gluten. Aussi, il est possible de consommer du fromage sans danger en cas d'allergie au gluten.
Bonne nouvelle : s'ils sont achetés bruts, non cuisinés, tous les fruits et les légumes sont dépourvus de gluten.
Ces sensations peuvent donc à la fois être la simple conséquence d'un repas trop copieux ou d'un vêtement trop serré à la taille, mais aussi les symptômes de pathologies digestives diverses ou d'une intolérance alimentaire, voire d'une grossesse.
Qui a dit que le gluten provoquait que des douleurs aux intestins ? Certains des effets de cette canaille de protéine se passent aussi au niveau des articulations et peuvent parfois entraîner de méchantes douleurs ou provoquer de l'arthrose.
suscite la méfiance chez certaines personnes atteintes d'arthrose. Mais aucun argument scientifique ne permet d'affirmer que le gluten de l'alimentation aggrave les douleurs articulaires. « Certaines personnes hypersensibles au gluten (sans être atteintes de maladie coeliaque) se plaignent de symptômes musculaires.