Le terme “Hlal” tel qu'il est utilisé aujourd'hui pour décrire le mariage religieux ne peut être valable dans la mesure où rien ne peut légalement le garantir. Rien ne garantit non plus les droits de la femme en cas de litige, ni la reconnaissance des éventuels enfants ou les droits de succession.
Le mariage musulman (Nikâh) ne ressemble ni au mariage chrétien, ni au mariage juif, ni au mariage civil. En effet, même s'il est évidemment possible qu'il soit célébré par un imam et qu'une demande de bénédiction ait lieu, rien de tout cela n'est « obligatoire ».
La présence d'un imam de mariage ou d'un cadi (magistrat) n'est pas obligatoire pour conclure le mariage musulman. Faire le halal sans imam est donc possible, tout musulman connaissant la tradition islamique pouvant s'en charger, avec l'accord du tuteur.
Points clés à retenir : En Islam, le juge peut prononcer le divorce suite à un serment d'anathème, en cas de manquement aux obligations du mariage ou s'il existe un vice rédhibitoire ; Le juge peut aussi prononcer d'office le divorce en cas d'abus de l'autorité maritale, de violence ou d'absence de l'époux.
Les conditions du mariage sont la présence du tuteur de la mariée, l'acceptation des deux époux, le mahr de l'époux à l'épouse, le contrat de mariage et plusieurs témoins.
La cérémonie doit se dérouler devant deux témoins au minimum. Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée. La cérémonie dure une trentaine de minutes et peut se dérouler dans divers endroits : A la mairie, à la mosquée, au futur domicile du couple ou bien celui des parents.
1 L'état de zina' désigne une relation extraconjugale entre un homme et une femme, que celle-ci se déroule avant le mariage ou pendant le mariage avec un autre conjoint. Elle est considérée comme un des plus grands péchés de l'islam.
Le mahr (arabe : مهر) est le don, selon les prescriptions de l'islam, que l'époux doit faire à l'épouse. Ce don serait une forme d'appréciation et permettrait d'offrir certaines garanties à la femme.
La déclaration de nullité de mariage prend en considération une carence grave qui marque le consentement au jour du mariage, et non un échec seulement post matrimonial. C'est la raison pour laquelle la longueur de la vie commune, ainsi que le nombre d'enfants, ne sont pas des obstacles à une telle démarche.
La cérémonie du nikah, mariage religieux musulman, s'est déroulé en toute intimité dans sa maison à Birmingham. Cette tradition venue d'ailleurs repose sur trois fondements : la volonté des deux personnes de se marier, des témoins et un mahr, cadeau offert par le marié à la mariée.
Autrefois, la dot d'une femme était une affaire de famille ; elle était payée par son époux et sa famille. Le « prix de la mariée » n'était pas négocié : le marié et sa famille décidaient généralement du montant et des modalités de paiement au profit de la famille de la mariée. Mais les temps ont changé.
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
Le mariage est un contrat civil qui doit être reconnu devant Dieu et devant les hommes. Le terme “Hlal” tel qu'il est utilisé aujourd'hui pour décrire le mariage religieux ne peut être valable dans la mesure où rien ne peut légalement le garantir.
Historiquement, les relations sexuelles avant le mariage étaient considérées comme un problème moral, tabou dans de nombreuses cultures et considérées comme un péché par le judaïsme, le christianisme et l'islam ; mais depuis les années 1960, elles sont plus largement acceptées, notamment dans les pays occidentaux.
Le mariage gris, c'est quand l'un des époux trompe l'autre sur ses véritables sentiments et sur ses réelles intentions. Le mariage est motivé uniquement par le désir d'obtenir de l'autre un avantage, en l'occurrence, un titre de séjour ou la nationalité. C'est une forme d'escroquerie.
Il faudra donc des preuves objectives et tangibles : absences répétées du domicile conjugal, non-participation aux charges du ménage, sms échangés avec une autre femme juste après l'obtention d'un titre de séjour, mails, imprim écran sur les réseaux sociaux, photographies, mains courantes, attestations, témoignages etc ...
Les époux doivent fournir un acte de naissance datant de moins de 3 mois, certificat attestant que les époux ont fait un contrat de mariage. En cas de remariage ils doivent produire les pièces attestant de la dissolution du mariage antérieur. – Si un époux est mineur il doit justifier du consentement familial.
Le trousseau de mariage est majoritairement préparé par la future mariée ou les femmes de sa famille. Mais il peut arriver dans certaines cultures que ce soit le futur marié et sa famille qui s'en charge ou au minima qu'il paye son contenu.
En effet, la valeur de la dot qu'une famille est en mesure d'établir conditionne les opportunités matrimoniales de la fille, et donc le choix du milieu social dans lequel le mariage aura lieu.
Le montant de la dot est fixé, il ne faut pas que ça soit en dessous. La limite de montant est de ¼ de dinar. Aujourd'hui, un dinar représente 60% d'une pièce d'or (djiné en arabe). Si aujourd'hui une pièce d'or au Tchad qui coûte 260 000 francs CFA par exemple, on fait le calcul : 260 000x60/100=156 000 FCFA.
INTERNATIONAL - Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser. Le prophète Mohammed (QSSL) disait dans un hadith: "Nul d'entre vous ne prendra sa femme comme on prendrait une bête, et qu'il y ait entre vous un messager: le baiser". Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser.
Hlel est un mot arabe que les jeunes utilisent fréquemment pour designer leur “petite-amie”. Bien que plus qu'un simple relation physique, la hlel est une femme que l'on perçoit comme une “fille à marier”, de ce fait le terme désigne également une fille sérieuse, chaste, vierge.
Certaines personnes sont également exemptées de jeûner comme les femmes enceintes ou allaitantes, les personnes âgées ou malade ou encore les préadolescents. Si les femmes qui ont leurs règles pendant cette période ne peuvent pas suivre le ramadan, elles devront jeûner à une période ultérieure pour "rattraper".
La cérémonie religieuse est suivie d'une fête qui se déroule généralement sur plusieurs jours (parfois jusqu'à une semaine), selon le désir des familles. Dans les pays musulmans, les festivités ont souvent lieu les jeudi et vendredi.
En principe, le divorce n'est pas sollicité par la communauté musulmane, sauf pour des raisons valables émises par l'une des parties. Les relations de couple en Islam sont basées sur l'harmonie et l'amour. À cet effet, la femme musulmane est loin d'avoir le droit de se séparer de son conjoint pour des raisons futiles.