Les consommations intermédiaires recouvrent le coût des matières premières, les achats auprès de fournisseurs, les loyers, les dépenses de gestion, de comptabilité, de sécurité,... effectuées en dehors de l'entreprise, etc.
La consommation intermédiaire (P2) correspond aux biens et services transformés ou entièrement consommés au cours du processus de production. L'usure des actifs fixes utilisés dans le processus de production n'est pas prise en compte ; elle est enregistrée dans la consommation de capital fixe (P51C).
La consommation intermédiaire et la rémunération des salariés. La consommation intermédiaire inclut les biens et les services que l'employeur apporte, et que les employés doivent utiliser dans le cadre de leur travail. Cela concerne par exemple les outils, les vêtements et les chaussures de travail, les douches…
Les consommations intermédiaires d'une branche sont les biens et services qui disparaissent dans le processus de production, soit par incorporation dans des produits plus élaborés, soit par destruction au cours de la période considérée.
bois et le papier ; chimie, le caoutchouc et les plastiques ; métallurgie et la transformation des métaux ; composants électriques et électroniques.
Divers produits comme les vêtements, les textiles, les produits de soins personnels et les produits ménagers, les meubles, l'électronique grand public, les aliments transformés, les jouets et les équipements sportifs, sont tous inclus dans ce secteur.
Valeur ajoutée d'une entreprise = Valeur de production − Consommations intermédiaires. VA (valeur anticipée) = PI — CI x CA DT /(Fx=PI) Le montant de la valeur ajoutée, ou richesse économique produite, dépend ainsi non seulement de la définition et de la valorisation de la production, mais aussi de celles des CI.
C'est une valeur dite brute parce qu'on ne fait figurer dans les consommations intermédiaires aucun élément qui, sous forme de dotations aux amortissements, représenterait une "consommation" ou une perte de valeur du capital fixe employé, au cours de la période considérée.
La consommation intermédiaire fait référence aux matières premières, à l'énergie, aux frais de marketing ainsi qu'aux dépenses de gestion et autres. Quant à la consommation finale, elle se définit par le fait satisfaire les besoins des clients, voire en eau ou en nourriture.
Les consommations intermédiaires recouvrent le coût des matières premières, les achats auprès de fournisseurs, les loyers, les dépenses de gestion, de comptabilité, de sécurité,... effectuées en dehors de l'entreprise, etc.
Les consommations intermédiaires sont des biens ou services détruits ou transformés lors du processus de production. Par exemple, pour produire ses meubles, Ikéa utilise des consommations intermédiaires qui peuvent être : des planches de bois brut, de l'électricité, des vis, etc.
Les facteurs économiques
Plus les revenus augmentent et plus la part consacrée à la consommation diminue. La consommation est aussi déterminée par le niveau des prix. En général, si les prix d'un produit augmentent, la consommation diminue et inversement.
La valeur ajoutée représente la richesse créée par une entreprise du fait de son activité de production. Elle se calcule en faisant la différence entre le chiffre d'affaires d'une entreprise et l'ensemble de ses consommations intermédiaires.
- la consommation finale, qui est uniquement le fait des ménages (on parle de consommation finale des ménages), est composée des biens et des services destinés à la satisfaction directe des besoins, ainsi que de l'autoconsommation, c'est-à-dire de la consommation que les individus font de leur propre production ( ...
Comment le calcule-t-on ? Le bénéfice est le gain réalisé par l'entreprise à l'issue de la production. Calcul = Chiffre d'affaires - Coût de production.
Co désigne la consommation incompressible des ménages, c'est-à-dire ce qu'ils consomment même lorsque leur revenu est nul (pour répondre aux besoins physiologiques…). Keynes note que, lorsque le revenu augmente, les possibilités d'épargne s'accroissent.
Pour calculer la valeur ajoutée d'une entreprise, il faut soustraire du chiffre d'affaires de l'entreprise le montant total de ses consommations intermédiaires, à savoir la valeur des produits achetés à d'autres entreprises pour être incorporés dans la production. La valeur ajoutée obtenue est la valeur ajoutée brute.
Exemple de valeur ajoutée : une entreprise spécialisée dans la vente de vêtements achète des tissus et textiles pour 5.000 € et revend les vêtements pour un montant de 20 000 €, la valeur ajoutée de l'entreprise est donc de 15.000 € (20.000 - 5.000).
Le coût global des consommations intermédiaires (ingrédients à utiliser et énergie) est de 1,50 euro par pizza en moyenne. Recensez les différents coûts fixes et les différents coûts variables que doit supporter Alain Laurent.
Le chiffre d'affaires représente le montant des ventes d'une entreprise (aussi appelé « recette » dans le langage courant). Pour l'obtenir, il faut donc multiplier le nombre de biens vendus par le prix de vente unitaire.
Diversité des biens
Ces derniers se divisent en biens non durables (détruits immédiatement après usage : aliments, médicaments), biens semi-durables (ceux qui se dégradent par un usage régulier, comme les vêtements) et biens durables (dont l'usage s'étend sur une longue période : une maison par exemple).
À compter du mariage, les biens qui sont considérés comme communs aux deux époux sont ceux qu'ils acquièrent ensemble ou séparément avec les revenus de leur travail (salaires, retraite) et les revenus économisés de leurs biens propres, par exemple, les loyers d'un bien immobilier propre ( art. 1401 du Code civil ).
Les biens meubles sont en principe ceux qui peuvent être déplacés d'un endroit à un autre. Les biens immeubles sont, quant à eux, les éléments du sol ou rattachés au sol, les accessoires de l'immeuble principal ou encore les droits portant sur les immeubles.
Par exemple, une voiture est un bien de consommation si elle est acquise par un ménage dans un but non professionnel (tourisme, plaisir, déplacements personnels) ; elle est un bien de production si le même ménage l'acquiert dans un but professionnel (le médecin pour ses visites, l'épicier pour ses livraisons, l' ...