Il se nourrit de chenilles, de larves, diptères, araignées et surtout coléoptères comme les capricornes. Son régime est complété par les graines et semences de conifères, des noisettes, noix, gland et noyaux de fruits dont il extrait l'amande.
Le Pic vert est essentiellement insectivore et parfois phytophage. Il se nourrit principalement de larves et d'adultes de fourmis du genre Lasius, Formica, myrmica, Tetramorium, Serviformica et Camponotus.
Le pic épeiche est friand de boules de graisse. De la graisse étalée sur de l'écorce brute ou suspendue dans une demi-noix de coco remportera un franc succès. Les arachides non salées sont aussi très appréciées, surtout si elles sont cachées dans un bloc de bois percé de quelques trous.
Planter des haies
Le pivert adore la végétation. Alors, pour attirer cet oiseau au jardin, n'hésitez pas à laisser un petit coin à l'état sauvage. Les friches sont les bienvenues (broussailles, buissons, feuilles, branches…), de même que les haies que vous pouvez planter pour favoriser la biodiversité.
L'espérance de vie d'un pic vert est de 7 ans.
Le pivert fréquente les endroits où se trouvent à la fois de grands arbres et des pelouses. Pour installer son nid, il creuse avec son long bec pointu les arbres tendres ou morts, en général à une assez faible hauteur.
Taper contre un tronc d'arbre permet au pic-vert de communiquer avec ses congénères, d'atteindre les insectes situés sous l'écorce et de creuser des trous dans le bois mort afin d'y pondre ses oeufs. Les pics-glandivores, eux, utilisent cette technique pour creuser des trous censés accueillir des glands pour l'hiver.
Il chante sous l'ondée, posté sur un piquet. Chante-t-il la pluie ? Selon les sources et les régions, l'oiseau de la pluie c'est lui ou la mésange charbonnière ou encore le pic vert.
Dès le solstice d'hiver passé et avec l'augmentation de la durée du jour, le Pic vert redevient vocal et peut exprimer son chant territorial. Ce chant est l'apanage du mâle. C'est à la voix qu'il manifeste ses prérogatives sur un territoire qu'il défendra contre tout concurrent.
Le bec de la sittelle est long et dur. La robustesse du bec lui permet de casser des graines ou des fruits coriaces, comme par exemple les noisettes dont cet oiseau raffole.
Les fruits frais, fruits secs, noix, noisettes sont appréciées par les oiseaux à condition, pour certaines espèces (pics, sittelles, mésanges charbonnières) de les présenter cassés. les cacahuètes ont une grande valeur nutritive; on les donne avec leur enveloppe ou décortiquées, mais toujours non salées.
Elle mange aussi des graines (pavot, tournesol, lunaire), surtout en hiver, et grignote les noix, noisettes et cacahuètes (non salées et non grillées) mises à sa disposition.
Dès le solstice d'hiver passé et avec l'augmentation de la durée du jour, le Pic vert redevient vocal et peut exprimer son chant territorial. Ce chant est l'apanage du mâle (écoutez ci-dessous). C'est à la voix qu'il manifeste ses prérogatives sur un territoire qu'il défendra contre tout concurrent.
C'est dire que le Pic vert se nourrit essentiellement à terre et qu'il lui faut des surfaces découvertes:herbages, prairies, gazons en lisière de bois ou dans les vergers. Le Pic épeiche au contraire est très éclectique et essentiellement arboricole pour la nourriture. Il descend rarement à terre.
Contactez un centre de soins
Contactez le centre de soins LPO (ligue de protection des oiseaux) ou un centre de sauvetage de la faune sauvage le plus proche. Plus vite l'oiseau sera pris en charge par des spécialistes de la faune sauvage, plus il aura de chances de pouvoir être relâché dans la nature.
On l'entend chanter dès le début du mois d'avril : chaque année, le coucou signale l'arrivée du printemps.
Différentes raisons de repousser les pies
C'est un oiseau qui adore le verger, ainsi que le potager. Les pies vont donc venir picorer vos jeunes plants ou vos semis. Elles ont une préférence pour les fraises et les tomates bien mûres. Le jus de ces fruits leur permet ainsi de se désaltérer.
Les cygnes aussi qui se regroupent sur la Loire ou sur les étangs. Des oiseaux venus du nord en période de grand froid peuvent venir se réfugier chez nous, même s'il ne s'agit pas d'une migration à proprement parler. Comme le pinson du nord mais aussi les perdrix ou les bécasses.
Il sombrait dans le découragement jusqu'au jour où un voisin lui suggéra d'étendre de la vaseline à l'endroit où le pic-bois venait s'agripper.
Vous pouvez essayer de couvrir la partie du tronc affecté avec du Tanglefoot, un produit collant vendu surtout comme barrière pour empêcher les insectes de monter dans un arbre.
Le Pic épeiche est protégé en France depuis près de 40 ans. Ce magnifique oiseau qui affectionne tout particulièrement les forêts de vieux arbres. Le bruit qu'il fait en tambourinant sur les troncs est perceptible à plus de 800 mètres à la ronde.
Localisation - migration - recensement du pic vert
Nicheur sédentaire commun dans toute la France, sauf en Corse. Entre 500000 et 1 million de couples, dans les années 2000.
Le Pic épeiche se nourrit presque exclusivement dans les arbres, sur les troncs et les hautes branches. Il tape dans l'écorce avec son bec puissant et va notamment chercher sa nourriture, des insectes et leurs larves, avec sa langue démesurée dans les trous qu'il a réalisés.