Aussi surprenant que cela puisse paraître, le plâtre s'avère être une excellente alternative pour se protéger naturellement contre les flammes, car il est naturellement incombustible : en effet, sous l'effet d'une extrême chaleur, le plâtre dégagera de a vapeur d'eau et aucun gaz ni produit toxique.
Le placoplâtre est constitué de plâtre et de carton ; du plâtre, provenant d'une pierre appelée gypse qui est cassée en minuscules particules afin d'obtenir une fine poudre avant d'être mélangée à l'eau voire d'autres adjuvants comme l'amidon, est coulé entre deux épaisseurs de carton recyclé, créant ainsi des plaques.
Une cloison simple peau avec 2 BA13 ou BA 15 résiste aux flammes pendant 30 minutes (CF ou EI 30). Double peau (2 plaques de chaque côté), la résistance au feu passe à 1 heure (CF ou EI60).
La température limite d'utilisation en continu des plaques de plâtre, et ceci quelle que soit leur nature (standard ou spéciale) et leur épaisseur, est de 45°C. Au-delà, on rencontre des phénomènes de déshydratation qui entrainent la dégradation des plaques de plâtre.
Les plaques Placoflam® sont reconnaissables facilement grâce à leur carton rose. Les plaques Lisaflam® HD sont quant à elles revêtues sur les 2 faces d'un carton spécifique de couleur gris beige et possédant un classement en réaction au feu Euroclasse A1 (incombustible).
N'est pas classé comme inflammable selon les critères CE. Ne présente pas de risque particulier pour l'environnement, sous réserve de respecter les recommandations de la section 13 relatives à l'élimination ainsi que les prescriptions règlementaires nationales ou locales pouvant s'appliquer.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, le plâtre s'avère être une excellente alternative pour se protéger naturellement contre les flammes, car il est naturellement incombustible : en effet, sous l'effet d'une extrême chaleur, le plâtre dégagera de a vapeur d'eau et aucun gaz ni produit toxique.
Pour des raisons de sécurité évidentes, le poêle à bois ne doit pas être en contact direct avec une paroi combustible. Il est fortement recommandé d'utiliser une plaque de plâtre Planodis Feu adaptée à ce type de projet et de respecter les distances de sécurité entre la cloison et le poêle.
Les caractéristiques de la plaque de plâtre
La plaque doit être classée A2 pour garantir qu'elle est à la fois non inflammable et non combustible. Son épaisseur varie entre 13 et 30 mm. À savoir que plus l'épaisseur de la plaque de plâtre est élevée, plus elle a une bonne résistance aux flammes.
Pourquoi le placo ne doit pas toucher le sol ? Les plaques de plâtre doivent être surélevées de 1 cm, ainsi que l'impose le DTU 25.41. Cela évite en effet les remontées d'humidité, mais protège aussi les plaques en cas de mouillage au moment du chantier ou lors d'une fuite, d'une inondation, etc.
La plaque de plâtre Placoflam BA13 de Placo est hautement résistante au feu.
En parlant de placo "plaque de plâtre", on ne peut pas mettre n'importe quoi comme style de placo, vu que l'on est proche d'une source de chaleur plus qu'intense, il faut obligatoirement mettre du placo ignifugé qui est pour vous repérer de couleur rose.
Elle protège du feu jusqu'à 2 heures.
La plaque feu Placoflam® s'adapte à vos ouvrages en cloisons et plafonds. Elle est naturellement recommandée en cuisine et en plaque de protection murale d'un poêle.
Avantages de la plaque de plâtre BA13
Simple à mettre en oeuvre, elle peut être utilisée dans le cadre de constructions neuves comme pour des projets de rénovation. Associée à un isolant (PSE, PU, laine de verre…), la plaque BA13 permet d'améliorer l'isolation thermique ou phonique des cloisons ou des contre-cloisons.
Les plaques de plâtre (familièrement évoquées sous les noms de marques enregistrées comme « PregyPlac » ; «placoplatre » ou « placo » ; « gyproc » au Québec et en Belgique) sont un produit de construction industrialisé couramment utilisé pour la finition des murs et des plafonds intérieurs.
Avantages d'utiliser le placoplâtre pour rénover un mur
+ Facile à couper aux dimensions souhaitées, la plaque de plâtre se visse tout simplement sur châssis. Ce qui permet des cloisonnements horizontaux et aussi verticaux sur-mesure. + Possibilité de placer un isolant.
Une cloison en plâtre coupe-feu peut être classée M1 (produit non inflammable) ou M0 (produit non combustible). Sur une fiche produit de plaque de plâtre, vous trouverez généralement le classement européen de la norme NF EN 13501-1 parmi les caractéristiques techniques.
Cela peut être le signe d'une phlébite ou d'une embolie pulmonaire. vous avez des fourmillements, des picotements ou un engourdissement à l'extrémité du plâtre. On parle de paresthésie ou de trouble de la sensibilité.
La température ambiante et celle du support seront comprises entre min. 5°C et 30°C maximum, tant pendant la durée de l'application que pendant la période de séchage.
Protégez votre mur grâce à un panneau anti-rayonnement
Afin d'éviter les possibles fissures et/ou les risques d'incendies veillez à bien respecter les distances de sécurité nécessaires. Vous pouvez également placer un panneau anti-rayonnement.
Placer une plaque en béton cellulaire sur le mur. Isolante et anti-feu, elle se marie bien aux intérieurs contemporains. Fixer une plaque de protection murale en acier au mur, doublée d'un isolant thermique côté mur (le plus souvent de la laine de roche) et ventilées.
La plaque de protection murale permet de réduire l'espace entre le poêle et le mur. Elles ont différentes caractéristiques, de couleur noires et agrémentées de graphisme, les plaques murales mettent en valeur votre poêle et votre intérieur.
L'inconvénient du plâtre pour vos travaux d'intérieurs
Malgré ses nombreux avantages, le plâtre ne tolère pas l'humidité. En effet, il a tendance à se détériorer et à se déformer rapidement lorsqu'il est en contact avec de l'eau. Par conséquent, les défauts créés par les coulées d'eau nécessitent d'être réparés.
Toute douleur sous plâtre doit faire suspecter certaines complications redoutables (phlébites, ischémie, nécrose cutanée, syndrome de loge, infection, compression neurologique) masquées par la contention et aggravées par le syndrome compressif.
Les bâtiments subissent naturellement des mouvements et des variations dues aux changements de température, à l'humidité et aux mouvements du sol. Ces contraintes peuvent entraîner des tensions dans les matériaux, y compris le placo, ce qui peut provoquer des fissures au fil du temps.