Le soja peut avoir de nombreux bienfaits pour notre organisme, mais cette légumineuse contient également des phyto-œstrogènes. Des molécules agissant comme des œstrogènes et qui peuvent alors perturber notre système endocrinien.
1) Limitez votre consommation de soja entre 3 à 7 produits par semaine. Il est notamment recommandé de limiter leur consommation pour les jeunes enfants et en particulier les garçons, et chez les femmes enceintes et allaitantes.
‣ Des produits à base de soja, qui contient naturellement des perturbateurs endocriniens, ‣ Des gros poissons gras, ainsi que les œufs et les abats issus d'animaux élevés en conventionnel.
Nos conseils pour éliminer les toxines : bouger plus et transpirer. Par exemple il est fondamental de bouger plus dans la journée et de faire du sport même si vous n'aimez pas ça car cela permet d'évacuer les molécules chimiques de notre organisme et également pour éviter leur stockage dans les graisses.
On trouve des perturbateurs endocriniens dans notre environnement quotidien, notre maison, notre alimentation et plus globalement dans l'eau, la terre, les fruits, les légumes, les conserves, les plastiques, la mer, les rivières, les poissons, les produits d'hygiène et d'entretien, les cosmétiques, les textiles …
Grâce au site lesperturbateursendocriniens-mamaison.com, il est possible d'accéder à une maison virtuelle où on entre dans chaque pièce pour identifier les objets qui contiennent des perturbateurs endocriniens.
Via ces effets, ils sont suspectés de contribuer à de nombreuses pathologies chroniques ou développementales : troubles hormonaux et leurs conséquences (infertilité, puberté précoce, obésité, maladie thyroïdienne...), mais aussi malformations congénitales, cancers hormono-dépendants, et même troubles de l'immunité.
Les saponines contenues dans le soja auraient, outre leur effet antioxydant, et leur action bénéfique sur certains paramètres du cholestérol sanguin (20), une action anti-inflammatoire (21), et une action anticancéreuse sur le cancer du colon (22) et les métastases pulmonaires (23).
Le concentré de protéines de soja atténue les marqueurs de l'inflammation colique et la perte de la fonction de barrière intestinale. Sur des lignées de cellules de colon, la protéine de soja permet de réduire les niveaux de stress oxydatif et donc de réduire l'inflammation.
Un vrai yaourt animal est consommé pour le calcium, les ferments mais aussi les protéines. Les yaourts de soja en ont quasiment autant. Tous ces yaourts apportent entre 3,7 et 5 g de protéines végétales aux 100 g, à peu près comme un yaourt de vache, de chèvre ou de brebis.
On voit que le respect de la limite fixée par l'Anses est compatible avec la consommation de 275 g de tofu par jour pour les femmes et 350 g par jour pour les hommes (soit environ trois portions). Au-delà, l'Anses n'indique pas de risque mais une incertitude quant à l'innocuité d'une consommation plus importante.
Le soja (haricots et produits dérivés du type lait de soja, yaourt, tofu…) contient des isoflavones telles que la génistéïne, la daidzéïne et la glycétéïne. Les isoflavones sont parfois appelées phyto-œstrogènes ou œstrogènes végétaux, car ils sont comparables aux hormones oestrogéniques féminines (1).
100 g de tofu apportent 12 à 15 g de bonnes protéines, soit autant que 80 g de volaille ou deux œufs. Les aliments au soja s'avèrent, en outre, de bons alliés de la santé cardiovasculaire, dans la mesure où ils sont pauvres en graisses saturées et n'augmentent pas le taux de cholestérol.
Les troubles endocriniens sont souvent traités en remplaçant une hormone qui est déficiente ou en diminuant les taux excessifs d'une hormone. Cependant, parfois la cause du trouble peut être traitée. Par exemple, une tumeur impliquant une glande endocrine peut être retirée.
Les maladies endocriniennes peuvent toucher différentes glandes (thyroïde, hypophyse...) qui libèrent alors trop ou pas assez d'hormones dans l'organisme. Les maladies métaboliques affectent le métabolisme qui permet aux cellules de se nourrir et de produire de l'énergie.
Ils imitent les hormones naturelles en se fixant, comme elles, sur les récepteurs des cellules, déclenchant ainsi des réactions non souhaitables. Ils bloquent certains récepteurs des cellules, ce qui empêche les hormones naturelles de s'y fixer et de communiquer leurs messages aux cellules.
Les plus présents étant le linalol et limonène, pouvant potentiellement agir comme perturbateurs endocriniens. En plus de ça, une molécule qui pourrait aussi être un perturbateur endocrinien a été détectée : le butylhydroxytoluène (utilisé pour éviter l'oxydation).
Où trouve t'on les Composés Perfluorés ? On les retrouve dans les moquettes, canapés, couettes, vêtements, emballages de fast-food, revêtement intérieur des sacs de croquettes pour animaux… Vous les connaissez certainement sous les marques Teflon , Scotchgard , Stainmaster et Goretex .
Les perturbateurs endocriniens sont des substances capables d'interférer avec notre système hormonal, entrainant des effets délétères. Face aux multiples sources d'exposition, l'enjeu est de pouvoir comprendre le rôle joué par ces substances dans le développement de certaines pathologies.
Ces fibres, fort nombreuses, peuvent également majorer le sentiment de satiété lors des repas (5). Et puisque le soja contient beaucoup de fibres, il semble logique qu'il contribue à prévenir la constipation.
Les protéines de soja sont scientifiquement reconnues pour contribuer à réduire le taux de cholestérol. Goûtez le lait de soja, de préférence enrichi en calcium, les "yaourts" de soja, le tofu, les "steaks" de soja (choisissez les moins riches en lipides).