Le stress, anglicisme signifiant "tension" issu du latin stringere ("mise en tension") n'est pas une émotion ni un sentiment mais une réaction biologique et psychique, spontanée, naturelle, en cascade, de l'organisme face à son environnement.
Il y a six familles d'émotions de base : la joie, la colère, la tristesse, la peur, le dégoût, la surprise. Chaque famille d'émotion comporte une multitude d'émotions secondaires comme par exemple, la honte, l'ennui, la gêne….
Le stress peut se manifester à la fois par des signes et des symptômes émotionnels, mentaux et physiques. Émotionnellement, une personne stressée peut se trouver surmenée, irritable, anxieuse, angoissée ou encore perdre l'estime d'elle-même.
La peur et l'angoisse sont deux émotions présentes aux sources de notre culture. Elles ont été spécialement analysées par les philosophes existentialistes: Kierkegaard, Heidegger et Sartre, et également par Freud.
Le stress désigne le mécanisme psychologique mis en œuvre par l'organisme pour faire face à une situation particulièrement éprouvante ou considérée comme telle. Le stress est un ensemble de réactions de l'organisme lorsque celui-ci est soumis à des contraintes externes.
Notre organisme répond à un contexte stressant par une réaction en 3 phases (alarme, résistance, épuisement).
Autre différence, le sentiment est généralement dirigé vers un élément précis (une situation, une personne…), tandis que l'émotion peut ne pas avoir d'objet bien défini. Les sentiments sont donc des émotions conscientisées par notre cerveau et qui durent dans le temps.
Fréquemment la crise d'angoisse ou crise de panique est associée à d'autres problèmes psychologiques : un syndrome de dépression, des phobies (phobie sociale, agoraphobie ou phobie des transports…)
Le stress s'apparente alors à une relation de cause à effet : quelque chose se produit dans l'environnement et cela génère du stress. L'anxiété est une vague et parfois intense sensation de danger et de malaise. La personne anticipe de façon négative un évènement qui pourrait survenir dans le futur.
Peur et inquiétude sont deux synonymes que l'on retrouve dans ce dictionnaire des synonymes en ligne.
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet. Ils doivent également être arrêtés de manière progressive.
Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
Théorie des émotions
Plutchik considère qu'il y a huit émotions de base : la joie, la peur, le dégoût, la colère, la tristesse, la surprise, la confiance et l'anticipation (en).
Les 5 émotions de bases sont la peur, la colère, la tristesse, la honte et la joie.
La dépression, un trouble mental à diagnostiquer d'urgence
Contrairement au stress et à l'anxiété, qui sont des mécanismes de survie présent par nature dans l'organisme, la dépression est une maladie, un trouble mental qui touche une personne sur cinq, majoritairement les 15-44 ans.
Trois antidépresseurs ont récemment démontré leur efficacité dans l'anxiété généralisée: la venlafaxine, la paroxétine et l'escitalopram.
Les six principales apparaissent au cours de la première année de vie : joie, tristesse, dégoût, peur, colère et surprise.
L'aromantisme, c'est le fait de ne ressentir aucune attirance romantique pour son ou sa partenaire. Autrement dit, pas de sentiment amoureux.
Le cerveau , la glande surrénale et l"hypophyse sont au centre de la réaction au stress . L'agression va produire sur l'organisme des réactions complexes impliquant à la fois : - Le cerveau et en particulier l'hypothalamus. - Des glandes hormonales comme l'hypophyse et les glandes surrénales.
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.