Entre autres, de tensions musculaires liées au stress, qui peuvent aller jusqu'à bloquer complètement le dos au niveau des épaules ou des lombaires.
Les douleurs liées au stress sont multiples. Le stress provoque très souvent des douleurs musculaires et articulaires. Les maux de ventre sont aussi très fréquents. Le stress peut également entraîner des symptômes neurologiques ou, autrement dit, des maux de tête (migraines, céphalées de tension).
Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Pour soulager la douleur et assouplir le muscle avant de détendre la contracture, vous pouvez étirer la zone en question. Des mouvements de rotation et de haussement des épaules, le rapprochement des omoplates, les roulades sur le dos et chaque position qui étire la zone douloureuse peuvent vous faire du bien.
Le dos bloqué : la douleur mécanique
un faux mouvement ou un mouvement brusque en flexion ou en torsion du tronc, avoir soulevé un objet lourd, des sollicitations répétitives, la pratique d'une activité sportive sans échauffement préalable.
On entrelace ses mains et tend les bras au-dessus de la tête pour s'étirer vers l'arrière puis incliner le tronc vers la gauche et la droite. «S'allonger quelques minutes peut également permettre de libérer la colonne vertébrale du poids du corps.
"Elle est le plus souvent liée à un effort excessif au niveau du dos, à une rotation ou un mouvement brutal ou à une mauvaise posture prolongée. Diverses structure(s) du dos peuvent être atteintes comme les muscles (contracture) ou les ligaments.
On peut voir ça comme une façon de se protéger. Le stress est une forme d'agression, le corps cherche donc à se raidir et à se verrouiller. Cependant, un muscle qui reste trop contracté n'élimine pas les toxines correctement. C'est là que la douleur va s'installer.
Le mal de dos serait alors une manifestation physiologique de la souffrance psychique. On sait que le stress augmente les tensions dans les muscles et libère des substances favorisant les inflammations. Selon ce mécanisme, la dépression pourrait engendrer des douleurs au dos.
Le méthocarbamol est un relaxant musculaire qui réduit les spasmes musculaires. L'ibuprofène est un médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) qui atténue la douleur et l'inflammation. Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations, ou les deux.
Le diagnostic d'un nœud musculaire nécessite un examen physique effectué par un professionnel expérimenté, comme un chiropraticien. Ce dernier examinera la région douloureuse à la recherche d'un ruban musculaire tendu et d'un nodule sensible au toucher, et il évaluera la réaction du patient à la palpation6.
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet. Ils doivent également être arrêtés de manière progressive.
Les meilleurs anti-stress naturels à ingérer
La camomille est connue pour ses vertus relaxantes, idéales pour se libérer du stress. Quant au thé vert, il est tout aussi efficace puisqu'il aurait la capacité de maintenir, voire de baisser, le niveau de cortisol (l'hormone du stress) dans notre corps.
Le cortisol produit en réponse au stress peut causer un affaiblissement du système immunitaire : le corps devient alors plus susceptible aux agents infectieux, bénins ou graves, et aux différents types de cancer. À un niveau très simple, on sait que les personnes stressées souffrent plus fréquemment du rhume.
Le stress aigu est une forme de stress très intense provoqué par un événement terrifiant ou traumatisant mais ponctuel et qui ne s'étale pas dans le temps. Le stress chronique quant à lui est dû à un facteur stressant qui se répète ou se prolonge dans le temps.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.