Le vin s'accompagne des mêmes risques de cancer que la bière ou les autres boissons alcoolisées. C'est en effet la quantité d'alcool contenue dans la boisson qui détermine le risque, et cette quantité est similaire, qu'il s'agisse d'un verre de bière de 25 cl, de vin de 10 cl ou d'alcool fort de 3,5 cl.
La surconsommation de vin, au delà des 1 à 2 verres de vin rouge par jour est responsable d'atteinte du foie, plus ou moins réversible, et pouvant aboutir au décès quand les lésions hépatiques ont fait place au cancer. Les enfants, les femmes et les asiatiques sont plus sensibles aux effets néfastes du vin.
Le cocoroco, avec un degré de 96 %
Fabriquée à partir de canne à sucre, cette boisson alcoolisée bolivienne est qualifiée comme étant l'alcool le plus fort du monde avec un degré variant entre 93 et 96 %.
Une fois dans l'organisme, l'éthanol contenu dans les boissons alcoolisées est transformé en acétaldéhyde. Cette substance, classée «cancérigène certain» pour l'homme par le CIRC, entre alors en contact avec les parois des voies aérodigestives supérieures (bouche, gorge), exerçant localement son effet mutagène.
Généralement, le cancer du foie se manifeste par un amaigrissement important, une perte d'appétit, des nausées, des douleurs dans la partie supérieure droite de l'abdomen, voire une masse détectable à la palpation. Ces symptômes nécessitent donc un avis médical et, au besoin, des examens complémentaires.
La maladie touche essentiellement des personnes de plus de 55 ans. Le diagnostic est posé en moyenne à 73 ans pour les femmes et 70 ans pour les hommes, généralement à un stade évolué, ce qui explique le mauvais pronostic de la maladie.
A terme, certaines cellules du cerveau vont aussi disparaître, c'est ce qu'on appelle la "perte de tissu cérébral". Elle s'observe clairement à partir d'une consommation journalière de 6 verres d'alcool et est due à la toxicité de l'alcool qui vient détruire les cellules cérébrales.
Le vin rouge a des vertus santé que le blanc ou le rosé n'ont pas. On parle souvent des antioxydants qui contribuent à la prévention de certaines maladies cardio-vasculaires.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
En consommant un verre de vin rouge par jour, on peut considérer qu'il n'y a pas de danger pour la santé, car peu d'alcool consommé et qu'une telle consommation (sans la dépasser) peut être bénéfique pour le cœur.
La consommation d'une bouteille de vin par jour peut entraîner des troubles de la vigilance, des comportements violents, voire un coma éthylique. Au-delà de 13 verres, certaines personnes dans le coma peuvent tout à fait régurgiter dans leurs poumons et frôler l'overdose !
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3 – Les hommes qui veulent boire de façon modérée devraient se limiter à 3 verres par jour et à un maximum de 15 verres par semaine. 3 – Afin d'éviter l'intoxication et les complications qui l'accompagnent, les femmes ne devraient pas prendre plus de 3 verres en une même occasion.
Différents examens peuvent être pratiqués pour diagnostiquer la maladie lorsqu'une suspicion apparait : une échographie, une endoscopie, un scanner ou une biopsie. Pratiquée dans 80 à 90% des cas, cette dernière permet de confirmer le diagnostic de cancer en prélevant des cellules du pancréas.
Pendant un traitement contre le cancer, il est préférable de ne pas consommer d'alcool car il a des effets néfastes sur les traitements. De plus, l'alcool peut diminuer l'appétit.
Le cancer de l'œsophage est plus fréquent chez l'homme (trois quart des cas) que chez la femme. Il survient généralement à un âge avancé : 46 % des patients sont âgés de 50 à 69 ans au moment du diagnostic, presque 50 % ont 70 ans ou plus.
La consommation d'un verre de vin quotidien serait non seulement sans danger pour le foie mais en plus pourrait lui être bénéfique en diminuant la prévalence de certaines maladies non alcooliques hépatiques (non-alcoholic fatty liver disease, NAFLD).
Cependant, si tous les alcools protègent le cœur à faible dose, c'est bien le vin rouge qui concentre les vertus, car il est riche en polyphénols, des molécules antioxydantes, anti-inflammatoires et antiagrégantes (qui réduisent le risque de formation de caillots sanguins).
"Le vin blanc peut effectivement engendrer certains calculs rénaux. La bière également car elle est très riche en purines, donc en acide urique. On déconseille aussi le champagne.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
L'alcool affecte le cerveau et le système nerveux, notamment les nerfs des jambes. C'est un produit neurotoxique qui affecte entre autres la mémoire, l'équilibre et les capacités d'anticipation des individus.
Des réflexes affectés, des tremblements, des nausées, des maux de tête, des étourdissements, un raisonnement incohérent ainsi qu'une élocution incompréhensible sont les principaux symptômes d'une consommation excessive d'alcool.
Le pancréas s'enflamme et n'est plus fonctionnel. Un abus d'alcool, des médicaments, une chute sévère de tension, une intervention chirurgicale, des facteurs auto-immuns peuvent aussi en être à l'origine –dans certains cas, cependant, la cause demeure inconnue.
Diarrhée. Si vous êtes atteint du cancer du pancréas, vous pourriez avoir différents types de diarrhée. Chez certaines personnes dont un canal biliaire est bloqué, les selles peuvent avoir la couleur de l'argile.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.