Paul dit à son disciple Timothée : « Cesse de boire uniquement de l'eau, mais prends un peu de vin pour faciliter ta digestion, puisque tu es souvent malade » (1 Timothée 5,23). Seul l'abus qui conduit à l'ivresse est considéré comme un péché.
(Genèse 27, 28) ou dans les versets « Et l'Éternel des armées fera, sur cette montagne, à tous les peuples, un festin de mets savoureux, un festin de vins vieux, de choses grasses pleines de moelle, de vins vieux bien décantés. » (Isaïe 25, 6).
Ce fruit dans la Bible résulte toujours de la communion entre l'homme et Dieu. Boire le vin, sang de Jésus, c'est participer à cette fructification du monde que Dieu désire depuis la création du monde. » « Jésus devait avoir une manière bien à lui de bénir le pain et la coupe, dit le père Éric Morin.
Le commerce contre-nature d'un homme ou d'une femme avec un animal, l'inceste avec la mère ou la seconde femme d père, l'homosexualité et les relations sexuelles avec la fiancée d'autrui sont punissables de mort par lapidation.
Lévitique 11:7-8 « Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue et le pied fourchu, mais qui ne rumine pas : vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas de leur chair, et vous ne toucherez pas leurs corps morts : vous les regarderez comme impurs. »
La Bible est un terme générique désignant les ensembles de textes sacrés des chrétiens et, par extension, ceux des juifs qui préfèrent le plus souvent le terme d'Écrits ou de Tanakh à ceux de Bible juive ou Bible hébraïque.
Du vin mêlé de myrrhe est offert à Jésus au moment de sa crucifixion. En mentionnant que le condamné refuse d'en prendre, Marc veut insister sur le fait qu'il est décidé à affronter la mort en face, sans rien perdre de ses capacités intellectuelles (Mc 15,23).
C'est cependant dans Cène que la symbolique du vin atteint, dans les Évangiles son paroxysme, pour être assimilé au sang du Christ. La messe et la communion, pour tous les chrétiens, sont le rappel de la Cène où Jésus de Nazareth consacra le pain et le vin.
Le vin est une boisson qui se compose principalement d'eau et d'alcool, de glucides, de minéraux, d'oligoéléments et de vitamines. Le vin rouge a des vertus santé que le blanc ou le rosé n'ont pas. On parle souvent des antioxydants qui contribuent à la prévention de certaines maladies cardio-vasculaires.
Paul dit à son disciple Timothée : « Cesse de boire uniquement de l'eau, mais prends un peu de vin pour faciliter ta digestion, puisque tu es souvent malade » (1 Timothée 5,23). Seul l'abus qui conduit à l'ivresse est considéré comme un péché.
Le christianisme envisage la consommation d'alcool dans un contexte de partage et de convivialité, mais condamne l'ivrognerie, car celle-ci est rattachée au péché de gourmandise, puisqu'elle ne vise que la satisfaction d'un plaisir charnel et égoïste.
Le vin serait une « oeuvre du diable »
La 4e sourate ordonne aux croyants de ne pas prier en état d'ivresse. L'interdiction de l'alcool a été imposée, dans certaines sociétés musulmanes, bien après la rédaction du Coran (VIIe siècle) par des doctrinaires qui n'ont retenu que le verset le plus dur.
L'interdiction pour les musulmans pratiquants est indissociable de Mahomet (570-632), le fondateur de l'islam. Le vin ou les boissons alcoolisées ont ainsi été bannis à jamais de presque tous les pays qui ont adopté la nouvelle religion.
Il n'y a pas de règle quant au degré alcoolique et le vin peut être blanc ou rouge, sec ou doux. Les prêtres choisissent souvent un blanc liquoreux ou un rouge massif comme le Cahors, car ils supportent mieux (les vins pas les prêtres !) la dilution. Le vin de messe est en effet mélangé à l'eau dans le calice.
Évangile du dimanche 16 janvier (Jn 2, 1-11)
Il leur dit : « Maintenant, puisez, et portez-en au maître du repas. » Ils lui en portèrent. Et celui-ci goûta l'eau changée en vin. Il ne savait pas d'où venait ce vin, mais ceux qui servaient le savaient bien, eux qui avaient puisé l'eau.
Conclusion : les textes bibliques ne permettent pas d'opposer une interdiction formelle à la pratique du tatouage corporel chez les chrétiens.
Quand un soldat romain donnait du « vinaigre » à un supplicié agonisant (par exemple Jésus Christ sur sa croix, selon les évangiles), il lui proposait en fait ce qui lui servait de boisson au quotidien. De plus, à cette époque, le vinaigre était déjà connu pour avoir des vertus désinfectantes.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Le Saint-Joseph est un vin d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du vignoble de la Vallée du Rhône septentrionale. Il est produit sur la rive droite du Rhône. L'aire de l'AOC s'étend sur 26 communes des départements de l'Ardèche et de la Loire. Ce terroir viticole bénéficie d'un climat tempéré.
Le vin est l'une des composantes de l'eau grégorienne – mélange de quatre éléments, préalablement bénits : sel, eau, cendre, vin – qui sert aux bénédictions des autels et aux dédicaces des églises. Le vin symbolise alors l'abondance des temps célestes.
Ainsi donc, quand on consacre le calice du Seigneur, on ne peut pas plus offrir l'eau toute seule que le vin tout seul ; si on n'offre que le vin, le sang du Christ se sépare de nous, s'il n'y a que de l'eau c'est le peuple qui se sépare du Christ », explique-t-il.
La plupart des chrétiens reconnaissent Jésus-Christ comme le Fils unique de Dieu et comme l'une des trois personnes du Dieu trinitaire. Sa mère est Marie de Nazareth.
La Bible*, ou du moins celle que les chrétiens appellent « Ancien Testament », est un ensemble de livres composés, peu à peu, dans le milieu de la communauté d'Israël* au cours du Ier millénaire avant notre ère.
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus- Christ.