Des arbres mal taillés peuvent pourrir sur pied et devront finalement être abattus. Au même titre que la peau, l'arbre possède des capacités à recouvrir seul ses plaies lorsque sa santé et la taille de la plaie le lui permettent, c'est la cicatrisation de l'arbre.
Aucune étude scientifique sérieuse n'a jamais décelé la moindre trace de souffrance chez les plantes. Actuellement, les plantes ne sont donc pas reconnues comme des êtres pouvant éprouver des émotions et une capacité à souffrir.
Les plantes sont des êtres vivants, il est donc normal de penser qu'elles peuvent ressentir la douleur, mais la réponse à cette question est négative : les plantes ne ressentent pas la douleur, car elles ne disposent pas du système nerveux et du cerveau pour traiter les stimuli de cette manière.
Des expériences en laboratoire (qui ont mesuré les plantes avec des électrodes) ont prouvé que les plantes réagissent quand on les soigne ou, au contraire, quand on leur brûle leurs feuilles, ou quand on "fait mal" à un congénère voire même à un autre animal.
La souffrance des plantes, aussi hypothétique qu'inexistante. Il n'y a tout simplement aucune étude scientifique qui trouve la moindre trace de douleur chez les plantes ni même des études qui le suggéreraient. Nous ne pouvons donc pas dire aujourd'hui que les plantes souffrent.
Une nouvelle étude affirme que les carottes souffrent quand on les épluche. Fruit de plusieurs années de recherche, des scientifiques affirment que les légumes souffrent quand on les épluche. C'est notamment le cas de la carotte, qui posséderait le plus de cellules microsensibles chez les végétaux.
Maïs, lentilles, petits pois… Les légumineuses sont riches en vitamines B9 et B1. Ces protéines végétales sont parfaites pour la santé du cerveau.
La sensitive (mimosa pudica) elle aussi est dotée de mémoire. Cette plante, connue pour replier ses feuilles lorsqu'on la touche et qu'elle se croit menacée, est capable de mémoriser l'absence de danger et d'adapter ses comportements.
Les plantes nous regardent. Elles ont la capacité de déchiffrer les choses qui sont autour d'elles. Stefano Mancuso est le directeur du laboratoire de neurobiologie végétale de l'université de Florence en Italie.
Selon les recherches menées par Peter Wohlleben, spécialiste en écologie forestière, les arbres ont des émotions, ils sont capables de ressentir la douleur, la peur et même l'affection.
L'ombre du noyer, "salon des dames aux sorcières", a mauvaise réputation depuis au moins le Moyen-Âge, car faire la sieste sous cet arbre rendrait malade ; cette fameuse superstition incite à ne pas dormir sous l'arbre, sous peine de nausées, maux de tête et de risquer d'être visité par le Diable.
Réponse : La grenade.
Elles sont des espaces de repos, de promenade et de loisirs. Elles sont de véritables usines de dépollution de l'eau, du sol et de l'air. Elles absorbent du gaz carbonique et rejettent de l'oxygène. Par ce phénomène, elles participent à la lutte contre le [ réchauffement climatique ].
Il ne s'agit pas de rosée mais d'un phénomène lié à la circulation de l'eau dans l'appareil végétatif des plantes, phénomène que l'on appelle la guttation.
Un ouvrage qui reste néanmoins intéressant pour les anthropologues en herbe ou ceux qui s'intéressent au langage humain/non-humain. Les arbres pensent, explique E. Kohn, parce qu'ils ont une faculté de représenter le monde, et l'anthropologie nous aide aujourd'hui à dépasser la distinction entre humains et non-humains.
Les arbres communiquent par l'air
Le système racinaire n'est toutefois pas le seul mode de communication des arbres entre eux. Ainsi ont-ils développé plusieurs sens, comme nous. Non seulement le toucher, mais aussi le goût, ou l'odorat, sinon la vue.
« La célèbre dionée attrape-mouche (Dionaea muscipula) qui semble compter le nombre de fois où un poil sensitif est provoqué à la surface de son piège avant de décider de se fermer sur l'insecte malchanceux qui se trouve à l'intérieur, pourrait constituer un exemple classique de “d'intelligence des plantes”, dit-elle.
Dans le monde végétal, en revanche, il n'y a pas d'organe dédié à la cognition (cerveau). L'information est donc traitée par toutes les cellules de la plante, là aussi par des signaux électriques et chimiques, mais sans être centralisée.
Les multiples utilisations de la bourrache, la plante « qui rend heureux » « La plante qui rend heureux ». C'est en ces termes que les Grecs anciens décrivaient la bourrache (Borago officinalis), une plante aux multiples vertus à laquelle on prêtait des effets aphrodisiaques et énergisants.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Le flavanol contenu dans le cacao contribuerait à freiner le déclin naturel de la mémoire lié à l'âge, selon une récente étude américaine.
Le fruit le plus riche en antioxydant est le bleuet, suivi par la canneberge, la mûre, la framboise et la fraise. Des études menées avec des animaux de laboratoire ont démontré que la consommation de bleuets pouvait aider à freiner la perte de mémoire et même renverser le processus.