Le serment d'Hippocrate est un serment traditionnellement prêté par les médecins, chirurgiens-dentistes et les sages-femmes en Occident avant de commencer à exercer.
Je préserverai l'indépendance nécessaire à l'accomplissement de ma mission. Je n'entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés. J'apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu'à leurs familles dans l'adversité.
"Hors le cas d'urgence et celui où il manquerait à ses devoirs d'humanité, le chirurgien-dentiste a toujours le droit de refuser ses soins pour des raisons personnelles ou professionnelles, à condition de ne jamais nuire de ce fait à son patient ; de s'assurer de la continuité des soins et de fournir à cet effet tous ...
Oui, le chirurgien dentiste, que l'on appelle aussi dentiste par convenance, est un professionnel titulaire d'un diplôme en chirurgie dentaire. Il a suivi la première année de médecine, comme les futurs médecins, puis s'est orienté vers une filière d'odontologie. Le chirurgien-dentiste n'est donc pas médecin.
Tout médecin, lors de son inscription au tableau, doit affirmer devant le conseil départemental de l'ordre qu'il a eu connaissance du présent code et s'engager sous serment et par écrit à le respecter.
À un docteur ou à un dentiste, il faudra dire : « Bonjour, docteur ! », à un avocat ou à un notaire : « Bonjour, maître ! ».
L'exercice de la médecine requiert objectivité et distance vis-à-vis du patient. Aussi, soigner ses proches peut conduire à une certaine confusion des genres ou l'émotionnel et le professionnel s'intriquent. Il n'existe cependant aucune loi interdisant de devenir le médecin de ses proches.
Le salaire mensuel brut d'un chirurgien-dentiste en milieu hospitalier* est d'environ 4200 € mensuels bruts en début de carrière et 7 500 € bruts mensuels en fin de carrière.
Il n'existe pas de différences entre les dentistes et les chirurgiens-dentistes. En effet, depuis de nombreuses années, ces praticiens sont titulaires du titre de Docteur en chirurgie dentaire. Le dentiste est un professionnel de santé, soumis au Code de la Santé publique et à une déontologie professionnelle.
Un simple « Bonjour ! » peut être suffisant, mais si c'est un adulte mieux vaut dire « Bonjour, madame ! » ou « Bonjour, monsieur ! ». À un docteur ou à un dentiste, il faudra dire : « Bonjour, docteur ! », à un avocat ou à un notaire : « Bonjour, maître ! ».
En effet, les dentistes de l'hexagone ont aujourd'hui une moyenne d'âge de 48 ans. Les départs à la retraite sont de ce fait assez nombreux. Pourtant, le nombre de nouveaux étudiants et d'étudiants sortants est loin de compenser ces départs. La révision à la baisse du « numerus clausus » en est la raison.
Le refus de prendre un nouveau patient lié à trop d'activité peut être considéré comme une raison professionnelle. En cas de difficultés pour trouver un chirurgien-dentiste, nous vous invitons à vous rapprocher de votre caisse d'assurance maladie, qui pourra vous orienter vers d'autres professionnels disponibles.
Une rage de dent peut parfaitement être considérée comme une urgence dentaire à partir du moment où vous ressentez une douleur vive et que la cause doit être traitée rapidement. Pour juger au mieux du caractère urgent de votre situation, n'hésitez pas à demander conseil à votre médecin-dentiste.
Aussi appelée Serment du médecin, la déclaration de Genève est une annexe du Code de déontologie médicale. Elle a été adoptée par l'assemblée générale de l'Association médicale mondiale en 1948.
D'exercer, dans l'intérêt de la santé publique, ma profession avec conscience et de respecter non seulement la législation en vigueur, mais aussi les règles de l'honneur, de la probité et du désintéressement ; De ne jamais oublier ma responsabilité et mes devoirs envers le malade et sa dignité humaine.
Si un désaccord survient, vous devez dans un premier temps prendre un rendez-vous avec votre dentiste pour expliquer calmement le problème et tenter d'y trouver une solution. Si le différend persiste,vous pouvez écrire au président du conseil départemental de l'Ordre des chirurgiens-dentistes.
Pour devenir chirurgien-dentiste, il faut compter 6 ans d'études à l'université et jusqu'à 8 ou 9 ans pour ceux qui veulent se spécialiser davantage, par exemple en orthodontie. La formation débouche sur le DE (diplôme d'État) de docteur en chirurgie dentaire, obligatoire pour exercer.
Un dentiste peut pratiquer l'orthodontie mais n'est pas un spécialiste. Pour être « spécialiste qualifié en orthopédie dento-faciale », il faut obtenir un bac + 10 et avoir suivi une spécialité en orthodontie. Mais les dentistes peuvent aussi pratiquer l'orthodontie.
C'est le dentiste ou le stomatologue qui réalise l'extraction. Pour extraire la dent en limitant la douleur, un anesthésique local est utilisé. Il est nécessaire d'informer le praticien sur d'éventuels problèmes de santé ou d'allergies avant l'anesthésie.
Les métiers du monde de la santé figurent en bonne place. Les pharmaciens (7 671 euros) devancent les médecins spécialistes (7 186 euros), les dentistes (6 912 euros), les généralistes (5 666 euros). Les plombiers (1 829 euros) figurent dans la queue de ce classement.
En comparaison, la rémunération d'un chirurgien dentiste libéral est supérieure à celle d'un médecin généraliste mais inférieure à celle d'un médecin spécialiste. Le salaire d'un dentiste n'est évidemment pas le même en libéral qu'en salariat.
1. Dentiste. Le salaire de base moyen du dentiste est de 190 224 € par an, soit 13 468 € par mois.
Ce nombre aurait été choisi parce qu'il produit des sons graves lorsqu'on le prononce. Cela provoque des vibrations de la cage thoracique qui permettent de discerner l'état des poumons.
La déontologie médicale s'oppose à l'auto-traitement hormis certaines exceptions. L'auto-traitement prive le médecin-patient de l'objectivité essentielle à une démarche clinique de qualité et de l'empathie d'un consultant. Le médecin s'expose à des risques dont la pharmacodépendance.
Un professionnel de santé peut refuser ses soins, c'est la clause de conscience du médecin. C'est, pour le médecin, le droit de refuser la réalisation d'un acte médical pourtant autorisé par la loi mais qu'il estimerait contraire à ses propres convictions personnelles, professionnelles ou éthiques.