L'inflammation d'un ganglion peut se faire ressentir par des signes locaux : un gonflement, et une plus grande sensibilité. "Lorsqu'il est fortement inflammé, le ganglion va aussi causer des douleurs", note le docteur Nils Morel. Ces douleurs pourront se faire ressentir comme un torticolis.
► Les ganglions cancéreux ne sont généralement pas douloureux. ► Une échographie permet de préciser la nature du ganglion. ► Une biopsie peut être effectuée si une tumeur est suspectée.
Les causes les plus fréquentes de gonflement des ganglions lymphatiques sont les suivantes : Infection des voies respiratoires supérieures (IVRS) Infections des tissus proches du ganglion lymphatique enflé
Lorsqu'ils enflent, soit à cause d'une infection dans la plupart des cas, soit à cause d'une tumeur, les ganglions sont souvent douloureux et perceptibles à la palpation. Ils mesurent alors facilement plus de 1 cm dans ces cas. On parle dans ce cas d'adénopathie.
Les ganglions : dans la majorité des cas, leur gonflement ne dure pas plus d'une semaine. S'ils persistent davantage ou s'ils s'accompagnent de douleur, il faut consulter. « Seul un médecin pourra faire la différence entre un ganglion gonflé, douloureux mais bénin, d'un ganglion tumoral », souligne le Dr Bensoussan.
Si les ganglions sont vraiment douloureux, la prise d'antalgiques (paracétamol ou acétaminophène, ibuprofène, etc.) est recommandée et souvent prescrite. En cas de dérèglement de la glande thyroïde, un traitement hormonal approprié pourra être nécessaire.
L'adénopathie cervicale (ganglions au niveau du cou), peut être due à infection généralement bénigne de la sphère ORL telle que rhume, pharyngite, angine.
Le lymphome hodgkinien se manifeste souvent par la présence d'un ou plusieurs ganglions volumineux et asymétriques dans le cou (dit ganglion cervical ou susclaviculaire) et/ou plus rarement dans les aisselles ou l'aine.
Si la douleur à la nuque est violente, si elle est suivie de troubles de la parole, d'une faiblesse musculaire dans un bras ou une jambe, ou de troubles de la vue. Si la douleur s'accompagne de fièvre, de maux de tête importants, de vomissements et de gêne à la lumière.
Un ganglion lymphatique qui devient palpable et sensible sous la peau dans une zone localisée est souvent le symptôme d'une maladie bénigne (infections banales, mononucléose, rubéole...).
La découverte d'un ganglion sous la peau est facilement source d'inquiétude. Pas d'affolement toutefois. Il est normal de sentir à la palpation certains petits ganglions superficiels, notamment au niveau de l'aine, du cou et sous la mâchoire. C'est lorsqu'ils augmentent de volume, qu'il faut s'inquiéter.
Chaque ganglion atteint par le cancer ne mesure pas plus de 2 mm.
Sa consistance élastique ou dure. Sa mobilité par rapport aux tissus voisins. Sa sensibilité, une douleur à la palpation témoignant d'un processus infectieux. L'état de la peau en regard qui peut être rouge et sensible traduisant une réaction inflammatoire.
La boule cancéreuse est souvent dure, non mobile, avec des contours irréguliers (tumeur solide et très compacte en échographie).
Quand évoquer un diagnostic de lymphome ? La présentation clinique classique est celle d'une d'adénopathie, avec ou sans signes cliniques d'altération de l'état général (sueurs nocturnes, un prurit, une fièvre, un amaigrissement).
Un cancer de la tête et du cou, aussi appelé cancer des voies aérodigestives supérieures ou cancer ORL, est un cancer qui touche toute la sphère ORL, allant de la base du crâne à la base du cou. Les cancers ORL peuvent concerner : la cavité buccale (la bouche, la langue, les lèvres, la mâchoire...)
Le stress. La céphalée cervico-génique est commune aux personnes stressées ou anxieuses. Les tensions musculaires, principalement situées au niveau du cou, et le fait de serrer les dents sont autant de facteurs qui peuvent contribuer à des maux de tête d'origine cervicale.
Nuque douloureuse : les causes possibles
des postures de travail inadaptées (de longues heures penchés sur son ordinateur par exemple), un excès de stress accompagné de fatigue, dans certains cas, qui fait contracter les muscles des épaules, des problèmes de vision (lunette inadaptées, problème de convergence des yeux)
Les lymphomes non hodgkiniens se traduisent habituellement par une adénopathie, c'est-à-dire l'augmentation de volume d'un ou plusieurs ganglions. Ceux-ci ne sont ni douloureux ni inflammatoires et grossissent lentement.
C'est aussi l'un des cancers que l'on soigne le mieux. Il se développe selon 2 pics de fréquence : chez de jeunes adultes, entre 20 et 35 ans, ou après 70 ans.
Pour soulager la douleur, vous pouvez prendre des comprimés de paracétamol. Un ou deux comprimés (325 mg ou 500 mg) quatre fois par jour, jusqu'à un maximum de 4 g par jour, aideront à soulager la douleur. A noter que les anti-inflammatoires sont inutiles, car il s'agit d'une infection et non d'une inflammation.
AMOXICILLINE RANBAXY 500 mg, gélule est un antibiotique. Le principe actif est l'amoxicilline. Celui-ci appartient à un groupe de médicaments appelés « pénicillines ».