Les jeux vidéo ont un fort impact sur notre santé, et en particulier sur notre cerveau. De nombreuses personnes conçoivent les jeux vidéo comme néfastes, pouvant entraîner de la violence, le surpoids, l'échec scolaire et bien d'autres mauvaises conséquences.
Un surinvestissement du jeune dans l'univers du jeu peut déclencher une perte de contrôle, une obsession et un ensemble de problèmes pouvant nuire à son fonctionnement (conflits, troubles du sommeil, échec scolaire, perte d'emploi, etc.)… auxquels peuvent s'ajouter d'importantes souffrances.
Les jeux de non-oxygénation sont connus sous plusieurs noms : « trente secondes de bonheur », « jeu des poumons », « jeu de la tomate », « rêve indien », « rêve bleu », etc. mais le plus célèbre est le « jeu du foulard ».
Le jeu permet de réduire le stress
Jouer, danser et chanter sont d'excellents moyens d'évacuer le stress, tant pour votre enfant que pour vous. Lorsque vous passez de bons moments et riez ensemble, votre corps libère des endorphines qui favorisent un sentiment de bien-être.
Problèmes d'humeur (par exemple, dépression), anxiété, ainsi que sentiment de suicide ; Inattention/hyperactivité ; Toxicomanie ; Problèmes de sommeil.
avant 3 ans, pas d'écran (ni télévision) ; avant 6 ans, pas de console de jeux. Durée d'écran limitée à 1/2h à 3 ans et 1h maximum à 6 ans pendant un temps de partage parent/enfant ; avant 9 ans, pas d'internet.
Psychiatre et psychanalyste spécialisé dans les relations aux images et aux nouvelles technologies, Serge Tisseron recommande de ne pas donner de console de jeu personnelle à l'enfant avant l'âge de 6 ans, afin de favoriser le développement de sa motricité et de sa créativité.
Depuis 2015, de nombreuses études ont montrées que les jeux vidéo permettent d'améliorer la mémoire et les compétences de poursuite visuelle. Il est également prouvé que les jeux vidéo de stratégie ou de rôle améliorent notre capacité de résolution de problèmes, et notamment de nouveaux problèmes.
Jouer permet à l'enfant d'apprendre à vivre avec les autres. Quand il joue avec d'autres enfants, un tout-petit apprend à partager, à attendre son tour, à faire des compromis et à régler de petites chicanes. Quand il joue, l'enfant apprend à dire de nouveaux mots, à exprimer ses idées et à se faire comprendre.
Prendre du temps pour jouer avec un très jeune enfant lui permet de stimuler ses sens (la vue, l'audition, le goût, le toucher, l'odorat) et de découvrir son corps et son environnement.
Ce sont donc les fans d'Apex Legends qui remportent la première place du podium avec 31 % des posts exprimant un sentiment négatif. Les joueurs de League of Legends et de Call of Duty : Warzone suivent de très prêt avec 30 % de messages négatifs.
Il s'agit de statistiques historiques : aujourd'hui, Overwatch 2 est le jeu le plus détesté sur Steam (90,6 %), devant War of the Three Kingdoms (88 %).
De nombreuses personnes aiment jouer à des jeux, que ce soit sur des consoles de jeu, des ordinateurs ou des appareils mobiles. Toutefois, les jeux en ligne présentent des dangers, notamment les virus, l'usurpation d'identité et les attaques par phishing.
La cour de récréation, les temps partagés entre enfants, sont parfois l'occasion de jeux dangereux, d'expériences de mise en danger. Certains enfants veulent essayer d'aller plus vite, plus loin, plus fort. Avides de sensations fortes, ils se mettent parfois en danger au cours de leurs jeux.
Qu'est-ce que la dépendance aux jeux vidéo ? La dépendance aux jeux vidéo est un trouble officiellement reconnu par l'Organisation mondiale de la santé, qui la catégorise comme un comportement lié à la pratique des jeux vidéo, en ligne ou non, persistant ou récurrent.
Selon des données scientifiques actuelles, le temps passé devant un écran peut être corrélé à une forme physique moins bonne et à des problèmes de santé mentale et de développement social.
« C'est même un besoin fondamental pour la santé mentale et la créativité, poursuit Hubert Jaoui. Si on ne joue pas, l'esprit se mécanise, les émotions s'assèchent. Or, le jeu est une véritable source d'énergie, pleine d'émotions positives.
Le jeu est une activité, humaine ou animale, pratiquée pour se divertir. Les Joueurs de cartes de Paul Cézanne (1892-1895, Institut Courtauld). Propre aux mammifères, cette activité d'ordre psychique ou bien physique crée une dépense d'énergie décorrélée des intérêts essentiels immédiats autres que le plaisir.
Par le jeu, l'enfant découvre le monde qui l'entoure
L'interaction avec le monde extérieur permet à l'enfant d'apprendre des choses de façon ludique et de faire des découvertes. Les jeux sensoriels lui permettent d'explorer les objets et leur texture, leur goût, leur couleur.
Cela peut dans certains cas affecter la santé mentale, avec un risque accru de dépression, d'anxiété voire de divers troubles émotionnels.
Les jeux vidéo ont la réputation d'être violents et débilitants. Pourtant, de récentes études montrent qu'ils améliorent des capacités cognitives différentes selon le type de jeu. Les risques pour la santé restent très limités et peuvent facilement être évités.
Améliore la mémoire, la vitesse du cerveau et la concentration. Les jeux qui sont immersifs et qui nécessitent des compétences en stratégie et en résolution de problèmes pour gagner obligent les joueurs à se souvenir et à assimiler de nombreuses informations.
On peut songer à un catalogue plus mature à partir de 12 ans. Les jeux Nintendo restent des références à tout âge, mais des consoles comme la PlayStation de Sony ou la Xbox de Microsoft peuvent être intéressantes.
Vous devez avoir au moins 13 ans (ou plus, dans le cas où la loi du pays de résidence l'imposerait) pour pouvoir participer. De plus, si vous avez entre 13 et 17 ans, vous devez obtenir la permission d'un parent ou tuteur légal pour participer.
La Nintendo Switch est un cadeau convoité à Noël. Pour les moins de 6 ans, elle stimule l'éveil, mais le temps d'écran doit être limité. De 6 à 10 ans, elle offre des défis cognitifs, avec vigilance sur le temps de jeu. Pour les ados, la supervision du contenu est essentielle.