Le ver de terre ne possédant pas d'yeux, il se repère au moyen d'organes sensibles à la lumière. Son corps est formé de segments. C'est-à-dire de petits anneaux qui entourent toute la longueur du corps. Ce ne sont en fait que des plis de la peau.
Leur corps doit donc rester toujours humide pour pouvoir respirer et éviter la déshydratation. Ils n'ont ni yeux, ni oreilles, ni pattes, mais ils ont une bouche et un tube digestif.
Comme leur prédatrice la taupe d'Europe, les vers de terre sont pratiquement aveugles. Il est assez logique qu'ils ne possèdent pas de véritables yeux : sous terre, il n'y a pas grand chose à voir. Mais grâce à des cellules photoréceptrices sur la tête, ils sont tout de même capables de différencier le jour de la nuit.
« Un lombric [l'autre nom du ver de terre] n'a pas de poumons mais respire directement par l'intermédiaire de sa peau très fine. Pour qu'elle puisse absorber l'oxygène, cette peau est gardée humide par des cellules qui sécrètent un mucus. Un ver sec est un ver mort !
Les lombrics n'ont ni yeux, ni oreilles mais ils ont une bouche sans aucune dent. Ils ont donc besoin de l'aide de champignons et de bactéries qui pré-digèrent leur alimentation : des restes de végétaux morts, des feuilles et autres débris organiques.
Le ver possède 4 cœurs et 3 paires de reins ! Le ver de terre ne possédant pas d'yeux, il se repère au moyen d'organes sensibles à la lumière. Son corps est formé de segments.
Couper un vers de terre n'en donne pas deux !
Et c'est faux ! En fait, seule la partie avant renfermant les organes vitaux (« cerveau », estomac…) continue de vivre, à condition qu'il reste suffisamment d'anneaux derrière le.
Ces œufs éclosent dans l'intestin, puis les larves de l'oxyure deviennent adultes en 3 semaines. Pendant tout ce temps, elles progressent dans l'intestin, en direction de la zone anale. Avant de mourir, chaque oxyure femelle adulte pond en moyenne 10 000 œufs sur le pourtour de l'anus, surtout la nuit.
Par contact indirect : Les œufs peuvent passer d'une personne infectée à des objets, comme des jouets, les sièges de toilette, le bain, les vêtements ou la literie. Si la personne infectée partage ces objets, d'autres personnes peuvent se trouver avec des œufs sur les mains et les porter à leur bouche.
Qu'est-ce que mangent les vers de terre ? L'alimentation des vers de terre est principalement constituée de végétaux en décomposition (herbes, feuilles, débris végétaux), riches en cellulose, mais aussi de bactéries et champignons, .
Une étude menée par des chercheurs de l'université d'Oslo, en Norvège, montre que le grand crustacé et les autres invertébrés tels que les crabes, escargots et vers de terre ne ressentent probablement rien alors que d'autres animaux souffrent lorsqu'ils sont tués.
En effet, si l'on touche la partie de son corps abritant les organes vitaux, le ver de terre va mourir. Si la coupure détache la partie arrière sans endommager les organes vitaux, le ver de terre a des chances de survie, mais cette dernière n'est absolument pas garantie.
Mais dans le classement des espèces animales terrestres qui, dans leur ensemble, pèsent le plus lourd sur la planète, toutes doivent s'incliner devant une petite bête qui mesure à peine une douzaine de centimètres, et ne pèse que dix grammes environ : le ver de terre.
Le lombric ou ver de terre n'a ni yeux ni oreilles. Il n'en a pas réellement besoin sous terre. En revanche, à l'avant et à l'arrière de son corps, il possède sur sa peau des petits capteurs de lumière appelés "cellules photosensibles" qui lui permettent de savoir s'il fait jour quand il remonte en surface.
Vous avez sûrement déjà entendu cette étrange histoire selon laquelle les vers de terre seraient capables de « repousser » après avoir été coupés en deux, trois, voire quatre. Il s'agit bel et bien d'une légende.
Connu des pêcheurs et des agriculteurs, le ver de terre est un animal bien particulier. Rampant comme un serpent et mou comme une limace, où se trouve le ver de terre dans la classification et quel est son rôle dans l'écosystème ?
Être atteint par une oxyurose n'est pas à prendre à la légère. Une telle parasitose ne disparaît jamais spontanément, d'où l'importance de se rendre chez son médecin pour l'obtention d'un traitement efficace.
Le traitement des oxyures est à base de flubendazole, de pyrantel ou d'albendazole. Ces médicaments antiparasitaires existent sous forme de comprimés ou de solutions buvables.
La réinfestation par des oxyures est fréquente car les œufs viables peuvent être excrétés jusqu'à 1 semaine après le traitement et ceux dispersés dans l'environnement avant le traitement peuvent survivre 3 semaines.
Ces petits vers blancs mesurent entre 5 et 10 mm de long. Ils sont très répandus chez les enfants, et très contagieux. La contamination se fait par l'ingestion d'œufs en portant des aliments, objets ou mains souillées à la bouche. Les œufs éclosent au niveau de l'intestin.
En marchant, l'huile d'ail est absorbée par la peau et acheminée jusqu'aux intestins pour agir contre ces parasites. Aujourd'hui, il est souvent recommandé de consommer de l'ail avec une quantité variable (selon le poids), qui devrait approcher les 3 gousses d'ail par jour.
L'ail est un puissant vermifuge, de par la présence d'allicine. Pour la libérer et la faire agir, hachez ou écrasez une gousse d'ail sur son alimentation pendant 4 jours, 2 à 3 fois par an. Il est important d'utiliser de l'ail frais, et non de l'ail en poudre qui n'aura pas ces propriétés antiparasitaires.
Le cerveau du ver de terre n'est qu'une paire fusionnée de ganglions nerveux, situés principalement dans le troisième segment. Trois fibres nerveuses géantes s'étendent sur toute la longueur du corps, en périphérie du tube digestif.
Mais les vers de terre sont des animaux à sang froid, ils ne souffrent donc pas d'une température basse. Qui plus est, c'est une solution très stratégique quand on remet les choses dans leur contexte : en hiver, il n'y a pas de nourriture, ou bien elle est gelée, donc impropre à la consommation.
Ils sortent principalement la nuit pour manger les feuilles de la litière à la surface du sol. Ils rebouchent leurs galeries par des déjections de surface (nommées turricules car en forme de petites tours).