De 12 à 36 mois, l'enfant se développe.
Il a compris qu'il peut s'opposer à une consigne, et donc à une punition. La force du parent est de répondre de manière posée, ferme et calme pour légitimer la sanction.
Dites, par exemple : « Non, on ne peut pas aller au parc parce que c'est l'heure du souper et qu'ensuite il va être trop tard. » Votre enfant acceptera mieux votre refus s'il le comprend. Trouvez avec votre enfant une autre solution ou offrez-lui un choix pour l'aider à accepter un refus.
Lorsque l'enfant se dispose à réaliser quelque chose qui est interdit, par exemple prendre un objet avec lequel il ne doit pas jouer, vous devez vous rapprocher, vous mettre à son niveau, le regarder dans les yeux et sans vous énerver lui dire fermement « non ».
À 11 mois, bébé est tout à fait à même de comprendre un certain nombre de choses, et en particulier les instructions (comme un NON ou un STOP).
A partir de quel âge un enfant peut être capricieux ? On situe cet âge critique aux environs des 18 mois. Avant cet âge, un bébé pleure uniquement par besoin ; il peut avoir faim, froid ou avoir besoin d'être rassuré ou changé, par exemple. On ne parle de caprices qu'aux alentours des 2 ans.
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
Pour désamorcer une crise, tentez de changer de sujet ou de lui proposer des solutions. Si c'est un jouet qui ne fait pas ce qu'il veut, par exemple, montrez-lui comment l'utiliser adéquatement. Si c'est plutôt à cause d'une de vos décisions qui ne l'arrangent pas, changez-lui les idées.
Placez-vous à sa hauteur afin de pouvoir le regarder dans les yeux. Exprimez fermement et calmement votre désaccord. Dites-lui par exemple : « Je n'accepte pas que tu tapes ton frère. Dans notre famille, on ne frappe pas » ou « Tu as le droit d'être en colère, mais je ne vais pas te laisser me faire mal ».
Cela se produit souvent entre 18 mois et 2 ans. Pour aider votre enfant à développer son langage, soyez à l'écoute de ses signaux de communication et répétez ce qu'il dit correctement en ajoutant des mots.
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant. Pour bien se développer, l'enfant a besoin de vivre un sentiment de sécurité physique et psychologique.
Il vous faut surtout comprendre pourquoi ces colères. Vous dites quand on ne fait pas ce qu'elle veut. Il vous faut donc évaluer si ce qu'elle veut est légitime. Jouer avec quelque chose de fragile, ne pas vous tenir la main dans la rue, prendre un jouet sur un étalage, refuser d'aller au lit quand c'est le moment etc.
Exemples : Réparer ce qu'on a cassé, remettre en place ce qu'on a dérangé, nettoyer ce qu'on a sali. Ou bien supprimer une heure de la prochaine sortie si l'ado est rentré une heure en retard sur l'horaire prévu. Chacun juge de ce qui est important dans le cadre familial.
Il ne faut pas crier mais se faire comprendre. Il est essentiel de se mettre à la hauteur de l'enfant pour lui parler et de capter son regard même si cela implique de lui tenir le visage. Chez les plus jeunes, il ne faut pas uniquement punir. L'apprentissage des règles passe surtout par des explications.
Il améliorera en s'amusant sa capacité à les attraper et les tenir avec le pouce et l'index. Faites-lui la « conversation ». Votre bébé de 13 mois ne parle probablement pas encore beaucoup, mais cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas avoir de « conversations » avec lui pour l'aider à apprendre à parler.
La préadolescence, période compliquée pour les parents
C'est donc entre 11 et 12 ans que les parents vivraient le plus mal la grande aventure de la parentalité. Pour en venir à ces affirmations, les chercheurs ont interrogé 2200 mères d'enfants de tous âges, aussi bien nourrissons que majeurs.
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
Il le fait peut-être à cause qu'il a un trop-plein d'énergie ou encore à cause de sa fatigue. Observer aussi si c'est davantage pour attirer l'attention sur lui ou si c'est vraiment sa façon de communiquer.
En cas de simple préférence, votre tout-petit peut osciller entre des périodes "Je ne veux que papa" et des périodes "Je ne veux que maman". Il/elle le manifestera d'autant plus que le parent réagira, car c'est souvent ce que l'enfant cherche à faire, consciemment ou inconsciemment.
Les câlins sont indispensables au bon développement sensoriel et cognitif de bébé. Le sens du toucher (avec les bisous, les câlins) stimule notamment les hormones du bien-être et de la croissance. Quant à son petit cerveau, il a besoin de vos bras pour développer les bonnes connexions.
A la naissance, le nourrisson rampe instinctivement vers le sein de sa mère. Son odeur, sa peau, il sait déjà tout d'elle. C'est le début d'une relation intense et magique où chacun a un besoin vital de l'autre.