L'excision est une mutilation génitale. Elle consiste en une ablation rituelle du clitoris, et parfois des petites lèvres, pratiquée chez certains peuples sur les petites filles et jeunes femmes.
Les mutilations sexuelles féminines recouvrent toutes les interventions incluant l'ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme ou toute autre lésion des organes génitaux féminins qui sont pratiquées pour des raisons non médicales.
La pratique des mutilations génitales féminines est le résultat de divers facteurs culturels, religieux et sociaux au sein des familles et des communautés. Plusieurs motifs sont à la base de la pratique de l'excision ou de l'infibulation : La volonté de contrôle de la sexualité des femmes.
L'excision des filles existait bien avant l'lslam, dans diverses régions d'Afrique, en Égypte, dans la Vallée du Nil et au bord de la Mer Rouge. L'infibulation était pratiquée sous l'Empire romain, et viendrait des peuples de la Mer Rouge.
Cette expression désigne plusieurs procédés consistant à faire l'ablation de certaines parties de l'appareil génital féminin et à mutiler les organes sexuels des jeunes femmes de façon permanente sans aucune raison médicale.
Cette pratique est répandue dans 31 pays répartis sur trois continents, mais la moitié des victimes de l'excision vivent en Égypte, en Éthiopie et en Indonésie. Selon l'UNFPA, chaque année, dans le monde, plus de quatre millions de filles sont exposées au risque de subir des mutilations génitales féminines.
Il existe plus de 200 millions de filles et de femmes concernées par l'excision (E/MGF) dans le monde. On part du principe qu'il y a trois millions de nouveaux cas chaque année; il s'agit le plus souvent de bébés et de jeunes enfants. Autrefois, l'excision était aussi pratiquée en Europe.
De même, les femmes des groupes ethniques Mandé du Nord (75 %), Mandé du Sud (70 %) et Gur (67 %) sont beaucoup plus fréquemment excisées que les femmes des groupes ethniques peu islamisés comme les Krou (13 %) et les Akan (2 %).
Les filles et les femmes non-excisées ont moins de douleurs, sont en meilleure santé et vivent plus longtemps. L'excision peut rendre stérile. Les femmes non-excisées ont moins de problèmes lors des accouchements.
Atteinte volontaire à l'intégrité physique d'une personne entraînant la perte d'un membre ou d'un organe. (La mutilation peut être une circonstance aggravante de certaines infractions [tortures et actes de barbarie, viol, violences, délaissement d'enfant, enlèvement, séquestration, etc.].
Les mutilations génitales féminines (MGF) sont une pratique qui consiste à altérer ou léser les organes génitaux de la femme pour des raisons non médicales. Elles sont reconnues au niveau international comme une violation des droits de la personne.
C'est la seule institution habilitée à délivrer un certificat de non-excision. Pour les mères, si elles ne sont pas suivies par un médecin, l'ADA leur propose un rendez-vous au Centre Départemental de Santé afin d'obtenir pour elle, un certificat d'excision.
C'est pour attirer ou capter l'attention du mari. Surtout pour les femmes accouchées, elles ont le vagin large et là ça ne donne plus du tout envie d'avoir un rapport avec elles.
Sur plus de 500 signalements, la grande majorité ne correspondent pas à des actes de cruauté d'origine humaine. Des investigations portent encore sur environ 80 cas. Aucun individu, qui aurait pu commettre une série de mutilations similaires, n'a pour l'heure été appréhendé. C'était la sage macabre de l'été 2020.
Synonyme : casser, défigurer, dégrader, délabrer, détériorer. 3. Retrancher quelque chose.
Incision superficielle de la peau, pratiquée à titre médical ou lors d'un acte d'automutilation. 2. (Souvent au pluriel.) En Afrique, incision superficielle de la peau pratiquée de manière à laisser une cicatrice, afin de marquer l'appartenance à une lignée, à une société ; cicatrice ainsi laissée.
Les Koyaka constituent un peuple mandingue d'Afrique de l'Ouest établi au centre de la Côte d'Ivoire, essentiellement autour de la ville de Mankono, dans la région du Béré.
/Vagbeman ????
Dans son rapport d'août 2003 sur la Côte d'Ivoire, Human Rights Watch (HRW) a signalé que le terme « djoula » ou « dioula » signifie, en langue sénoufo, « commerçant », mais qu'il « désigne également un petit groupe ethnique du Nord-Est » (HRW août 2003; voir aussi AllAfrica 22 oct.
Qui sont les Malinké de Côte d'Ivoire ? Le groupe Malinké agrège un ensemble de six (6) groupes ethniques habitant la partie septentrionale du pays. - Les Mandinka, littéralement « ceux qui parlent la langue du Mandé » représentent au sein des Malinké le groupe démographique le plus important (50%).
purotin n.m. Homme dans la purée, dans la misère ; fauché.
La scarification consiste à inciser superficiellement la peau avec un scalpel, celle-ci réagit alors en formant des cicatrices. Cette pratique est utilisée dans plusieurs cas.
Masser pour mieux cicatriser
C'est LE secret pour atténuer une cicatrice ou au moins améliorer son aspect. Masser maintient la souplesse et l'élasticité de la peau et stimule le renouvellement cellulaire (bien mieux qu'un gommage, à proscrire sur une peau fragilisée).