Vivre avec un cancer demande beaucoup de force et de courage. Outre les questions médicales, la souffrance psychologique nécessite une prise en charge particulière, que ce soit par la famille, par les amis, ou par des associations spécialisées.
On peut vivre avec certains cancers comme avec une maladie chronique. Mais cela requiert certains aménagements. Un apprentissage aussi, pour gérer les conséquences possibles de cette pathologie et de ses traitements.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Une régression spontanée sur 60 000 à 100 000 cancers
La régression spontanée d'une tumeur maligne peut s'observer en cas de cancer localisé mais également dans les formes métastatiques.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Le meilleur taux de survie revient au cancer du testiculecancer du testicule (95%), et le moins bon au cancer du poumon, avec seulement 10% de survie des patients à cinq ans.
Nous en avons désormais la certitude, tous les êtres multicellulaires animaux et végétaux sont porteurs de cancers.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Le cancer du pancréas, ce tueur invisible.
Peut-on guérir d'un cancer? Tout dépend du type de cancer, du stade auquel il est pris en charge, de son évolution, etc. Mais grâce aux progrès de la médecine et à des traitements de plus en plus performants, il est possible de guérir environ 60% des cancers.
Taux de survie supérieur à 80 % : Cancer du sein, de la prostate, de la thyroïde, des testicules, des lèvres, mélanome, leucémie lymphoïde chronique et maladie de Hodgkin : ces huit localisations ont des taux de survie après cinq ans supérieurs ou égaux à 80 %.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
-L'annonce du cancer : c'est une consultation longue et spécifique, dédiée à l'annonce du diagnostic. Elle est réalisée par un médecin acteur du traitement oncologique et représente un moment fort de la relation de confiance entre soignants et patients qui doit renforcer la prise en charge globale des patients.
L'agressivité d'un cancer peut être déterminée au moment du diagnostic, après réalisation d'examens. Les symptômes peuvent être différents dans certains types de cancer agressifs, par exemple dans le cas du cancer du sein inflammatoire.
Pour qu'un cancer fasse mal, il faut que la tumeur ou des métastases* touchent, compriment ou envahissent une partie sensible du corps. Ce sont les conséquences de la tumeur et ses effets sur le corps qui produisent des douleurs. L'apparition de douleurs dépend de la localisation de la tumeur.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Cancer foudroyant des voies biliaires intrahépatiques
C'est un des cancers les plus foudroyants qui existent, car il s'étend très rapidement aux organes voisins et notamment au foie et au duodénum. Il peut également rapidement provoquer un cancer du péritoine.
Les Etats-unis sont le pays où la survie est la plus élevée (pour la plupart des cancers), puis on trouve le Canada, l'Australie, et la Nouvelle-Zélande. En Europe, la Finlande, l'Islande, la Norvège et la Suède obtiennent les meilleurs scores.
Au stade 4, le cancer du sein s'est propagé à d'autres parties du corps. On dit aussi que c'est un cancer avancé ou métastatique. Les traitements ne guérissent pas le cancer du sein métastatique, mais ils permettent de très bien le contrôler, parfois pendant de nombreuses années.
– Le taux de survie à 5 ans est souvent utilisé par les oncologues et autres scientifiques travaillant sur le cancer chez les adultes. L'idée est que si 5 ans après la découverte du cancer le patient est toujours vivant, la probabilité est élevée que le cancer ait disparu de l'organisme.
Les cancers qui se soignent le mieux chez l'homme sont : les cancers de la prostate, le cancer du côlon, suivi des cancers ORL.