On peut admettre que l'homme, d'un point de vue biologique, peut vivre sans penser. Comme l'animal, l'homme a des besoins physiologiques qu'il doit satisfaire s'il veut se maintenir en vie. Pour vivre, l'homme doit s'alimenter, se vêtir, se loger ou trouver un abri. Cela ne le distingue pas de l'animal.
La méditation est l'art de regarder nos pensées sans s'y attacher. C'est une technique très intéressante pour mieux penser. En effet, on apprend à observer nos pensées et à ne pas s'identifier à elles. Nos pensées existent, c'est ainsi.
Oui, penser en soi est dangereux. Tout le processus est une prise de risque perpétuelle. Penser fait peur, inquiète, parce que ce que nous aimons occulter d'habitude, le Mal, le Chaos, la complexité, nous reviennent de plein fouet.
Il est obligatoire que dans une vie ils philosophent plus d'une fois. Nous ne pouvons pas vivre sans philosopher, aussi bien du point de vue éthique ou de la personne, que du point de vue social et politique. Mais il faut bien comprendre qu'on ne peut pas philosopher dans le vide.
Penser, c'est accepter, c'est comprendre. Rien n'est plus délicat que de poser ses yeux sur les beautés comme sur les horreurs des Hommes et du monde. Mais penser c'est aussi aspirer à la liberté. Enivrante liberté qui rassasie lorsqu'elle n'est pas contenue.
Il faut philosopher, c'est-à-dire penser pour penser, pour agir et pour exister, pour assumer une existence authentique, consciente d'elle-même, de ses valeurs, de ses fins et de sa raison d'être.
Socrate cherche donc à montrer que les vertus morales particulières (par exemple : la justice, le courage, la tempérance, la piété, la sagesse) convergent toutes dans la vertu qui est une (en général), et, au-delà d'elle, en ce pour quoi la vertu est vertueuse ou l'excellence excellente, en vue de faire le bien.
Ainsi, selon Socrate, la philosophie comme manière de vivre – vivre la vie qu'il a lui-même menée et qu'il recommandait à ses jeunes disciples et aux autres interlocuteurs de vivre – c'est essentiellement s'engager, avec le plus de rigueur et de constance possible, et sans réserve aucune, à user de sa raison, en vue de ...
La pensée a comme but général d'établir les prémisses pour mieux comprendre. Nous avons plusieurs choix à faire. Nous avons donc besoin de la meilleure information qui rendra possible la meilleure décision. Qu'est-ce qui se passe vraiment dans telle ou telle situation?
Oui, on peut penser par soi même, même si on n'y arrive jamais totalement. Mais on ne pense pas spontanément par soi-même, c'est à apprendre et à renouveler sans cesse. En effet on ne pense pas d'abord par soi-même. Descartes souligne que nous avons été enfants avant que d'être hommes.
Tout ce que nous pensons, sentons ou désirons résulte de l'activité de dizaines de milliards de neurones dans notre cerveau. Mais qu'est-ce qui fait notre subjectivité et notre unicité ? Une nouvelle science progresse dans la résolution de cette énigme : les neurosciences des réseaux.
On peut admettre que l'homme, d'un point de vue biologique, peut vivre sans penser. Comme l'animal, l'homme a des besoins physiologiques qu'il doit satisfaire s'il veut se maintenir en vie. Pour vivre, l'homme doit s'alimenter, se vêtir, se loger ou trouver un abri.
Nous avons besoin de savoir, et de croire, mais à la condition de savoir que croire n'est pas savoir. Prenons la croyance en un progrès de l'Histoire de l'Humanité : y croire au sens kantien, c'est se représenter ce progrès comme simplement possible, et donc mettre en œuvre des moyens pour s'en rapprocher.
Penser est conçu pour former des idées dans son esprit et les enchaîner logiquement pour concevoir des actions, des raisonnements par la réflexion. Ces diverses définitions laissent entrevoir que l'esprit se trouve dans notre cerveau alors que l'esprit demeure depuis l'éternité dans le monde Divin.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
La conscience repose sur le tronc cérébral et deux régions corticales. Les chercheurs ont trouvé qu'une petite région du tronc cérébral appelée tegmentum pontique était associée avec le coma : 10 des 12 patients inconscients avaient des lésions dans cette zone et seulement un chez les patients conscients.
Donc, penser par soi-même est un risque pour celui qui ne sait pas faire la part des choses, c'est-à-dire, pour celui qui ne sait pas s'il pense par lui-même ou "par les autres"... Mais aussi, grand est le risque de penser ainsi pour celui qui s'est trompé dans son apprentissage !
Quoi qu'il se passe, surtout quand il ne se passe rien, on réfléchit, on rumine, on juge, on analyse, on se demande si. Bref, on pense trop. Ça s'appelle l'overthinking. Bonne nouvelle : quelque part dans notre cerveau, il existe un bouton "Stop", adapté à chaque manière de "trop penser".
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
Le but de n'importe quelle action serait d'augmenter notre plaisir et/ou diminuer notre souffrance. Il dérive de cette constatation que « ce qui est bien est ce qui amène le plus de bonheur à la plus grande quantité de personne possible ». Pour Bentham, le sens de la vie est le « principe du plus grand bonheur ».
Le pouvoir de la pensée positive est puissant. En effet, cette philosophie de vie apporte un mieux-être général et permet de surmonter les difficultés de la vie plus facilement. Elle nous permettrait d'être en meilleure santé physique et mentale et d'atteindre plus facilement nos objectifs.
Au-delà des connotations religieuses et spirituelles, le but d'une vie est simplement le message de votre vie. C'est le message que vous souhaitez apporter au monde durant votre existence sur terre (et peut-être au-delà). Avoir un but s'applique à nous tous, que nous soyons religieux, agnostique, ou même athée.
La vie bonne est un mode d'être, une norme de l'humain, à prétentions objectives, définie à partir d'activités intrinsèquement bonnes, elle désigne le développement des talents ou encore des perfections. Bonheur et épanouissement humain renvoient à deux catégories ontologiques différentes.
La sagesse n'est pas le but, mais le moyen — comme perspective — de la philosophie comme fin en soi. Penser le sens consiste à perpétuellement le repenser.