Les infirmiers et les sages-femmes peuvent vacciner sans ordonnance préalable. Depuis le 24 avril 2022, les infirmiers peuvent administrer 15 vaccins aux personnes de plus de 16 ans sans prescription médicale préalable.
Dans le cadre de l'exercice de leurs compétences, les sages-femmes sont autorisées à prescrire et à pratiquer chez les femmes les vaccinations suivantes : 1. Vaccination contre la rubéole, la rougeole et les oreillons. 2.
Les sages-femmes peuvent « prescrire les médicaments dont la liste est fixée par l'autorité administrative, et, le cas échéant, après la mise sur le marché d'un nouveau médicament nécessaire à l'exercice de leur profession » (article. L. 4151-4 du Code de la santé publique).
Les médecins, les sages-femmes, les infirmiers ou infirmières, les pharmaciens et certains centres médicaux peuvent effectuer des vaccinations, dans le respect du calendrier des vaccinations et dans le cadre de l'exercice de leurs compétences.
L'injection sous-cutanée se fait dans la région du deltoïde en pinçant la peau entre le pouce et l'index, et en piquant avec l'aiguille inclinée à 45 degrés la base du pli cutané ainsi formé. La voie sous-cutanée est recommandée pour les vaccins viraux (rougeole, oreillons, rubéole, fièvre jaune, etc.)
Service de santé au travail. Certaines vaccinations (grippe, tétanos et d'autres vaccins suivant les risques biologiques encourus) peuvent être réalisées par le médecin du travail (ou l'infirmière sur prescription médicale) dans le cadre de la prévention et de la préservation de la santé au travail.
Dans la littérature, il est admis qu'aucune aspiration ne doit être réalisée avant l'injection du vaccin (5) car la mobilisation (obligatoire) de l'extrémité coupante de l'aiguille augmente la douleur liée au geste, peut entraîner des lésions (hématome) et est inutile en l'absence de gros vaisseaux dans les sites d' ...
Depuis le 24 avril 2022, les infirmiers peuvent administrer 15 vaccins aux personnes de plus de 16 ans sans prescription médicale préalable. Les sages-femmes peuvent également prescrire et administrer ces mêmes vaccins aux femmes enceintes, aux nouveau-nés et aux personnes de leur entourage.
chez une sage-femme pour le nourrisson et son entourage jusqu'à ses 8 semaines (pour certains vaccins) ; dans un centre de vaccinations internationales, habilité pour les vaccinations obligatoires ou recommandées pour les voyages à l'étranger.
Contraception, vaccination, consultations gynécologiques de prévention et, depuis la promulgation de la loi de modernisation de notre système de santé, pratique de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) médicamenteuse : ces activités font partie intégrante de leurs missions.
En grève depuis la mi-octobre, ces professionnels entendent obtenir le statut de praticien hospitalier.
Le rôle de la sage-femme
Si vous êtes en bonne santé, elle peut vous accompagner pour votre suivi gynécologique, et votre contraception. Elle peut également suivre votre grossesse et vous suivre après votre accouchement. Elle peut vous prescrire les examens et les médicaments dont vous avez besoin.
Enfants à partir d'un an, nés de famille dont l'un des membres au moins est originaire d'un pays dont l'infection est fréquente et pouvant être amené à y séjourner. Hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes.
La vaccination contre l'hépatite B est obligatoire chez tous les nourrissons nés à partir du 1er janvier 2018 dès l'âge de 2 mois. La vaccination est aussi recommandée, en rattrapage, chez tous les enfants ou adolescents jusqu'à l'âge de 15 ans révolus, non antérieurement vaccinés.
Elle prescrit tous les moyens de contraception et pratique les vaccinations nécessaires.
Il s'agit des vaccinations contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l'haemophilius influenzae B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites), l'hépatite B, le méningocoque C (bactérie provoquant des méningites), les infections invasives à pneumocoque (bactérie provoquant ...
La loi rend obligatoires, depuis le 1er janvier 2018, onze vaccins pour les enfants de moins de 2 ans. Il s'agit des vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l'hépatite B, le méningocoque C, le pneumocoque et l'Haemophilus influenzae b.
Enfant né avant 2018
Les vaccinations obligatoires sont les suivantes : diphtérie, tétanos et poliomyélite (DTP). Et, pour les résidents de Guyane, la fièvre jaune, à partir de 1 an. Les personnes titulaires de l'autorité parentale doivent veiller au respect de cette obligation.
Les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite sont obligatoires pour les personnes suivantes : Élèves et étudiants d'un établissement préparant à l'exercice des professions médicales et autres professions de santé Personnel de santé, selon l'avis du médecin du travail.
La formation pratique consiste en une demi-journée dans un centre de vaccination et est réalisée auprès d'un médecin, d'une infirmière ou d'une sage-femme qui vous encadre dans des mises en situation.
en complément de ces vaccinations obligatoires, certaines vaccinations (contre la rubéole, la varicelle ...) sont recommandées. L'obligation vaccinale contre la grippe est suspendue depuis 2006 et celle contre la typhoïde depuis 2020.
On le sait : injecter le produit lentement et à rythme constant permet d'éviter la douleur. Plus précisément, l'administration ne doit pas dépasser la vitesse d'1 millilitre en 10 secondes. Suivre cette règle favorise l'absorption du produit et réduit la douleur.
Non, car la bulle d'air correspond à la quantité d'air qui doit pousser le vaccin afin que le produit ne reste pas dans seringue et aiguille, mais il faut donc, avant d'injecter, faire glisser cette bulle sous le piston, sinon en purger une partie.
Injecter le vaccin par voie intra-musculaire dans le muscle deltoïde. Ne pas administrer par voie intraveineuse, sous-cutanée ou intra-dermique. Les doses unitaires vaccinales ainsi préparées doivent être utilisées immédiatement ou au plus tard dans les 6 heures suivant la dilution.