Le travail à la chaîne est une méthode de production inventée par le constructeur américain d'automobiles Henri Ford dans les années 1910. Le travailleur très spécialisé selon les principes du taylorisme reste fixé à un poste de travail devant une machine.
On attribue son invention à Léonard de Vinci (via Slate), qui, jeune artificier de trente ans à l'époque, écrivit au Duc de Milan pour lui proposer ses services. Il lui envoya une lettre et la liste de ses compétences, (inventer des machines de guerre, réaliser des sculptures, peintures, dessins...).
Le mot travail vient du latin tripalium, qui était, je vous le donne en mille, un instrument de torture composé de trois pieux ! Historiquement, le travail désigne, en effet, la souffrance, la douleur, en particulier celle que peut endurer une femme lors de l'accouchement.
Lupanars, mères maquerelles, proxénètes... La société antique reconnaît le rôle social de la prostitution. À quelques brillantes exceptions près néanmoins, femmes et hommes qui se vendent sont méprisés et confinés aux marges de la cité.
La réponse tient en quelques mots. On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
1. Activité de l'homme appliquée à la production, à la création, à l'entretien de quelque chose : Travail manuel, intellectuel. 2. Activité professionnelle régulière et rémunérée : Vivre de son travail.
Le travail, c'est la vie, et sans lui il n'y a que peur et insécurité.
Il éloigne l'ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien social qu'il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le perverti, moralise le dévoyé, rend l'homme vertueux. Ceux qui choisissent délibérément de ne pas travailler subissent l'opprobre de leurs contemporains.
ou W (l'initiale de work, le mot anglais pour « travail »).
Jusqu'à très récemment, on attribuait les premiers outils à l'Homo habilis/Homo rudolfensis, il y a environ 2,5 millions d'années. Fossiles que l'on rangeait dans ce genre, d'une part pour des raisons anthropo-biologiques (bipédie permanente, etc.)
Le travail fait partie de sa condition humaine et ne présente aucune connotation négative. Pourtant, ce récit lance un premier avertissement : tout travail qui ne vise que le bénéfice sans considérer la garde et le soin du sol est considéré comme étant contraire à l'ordre du Créateur.
Dans ce sens, les contraires de travailler sont flâner , paresser , se reposer , se détendre , s'amuser , jouer , chômer .
L'objet du travail est surtout un concept opératoire et un outil méthodologique conduisant à interroger, à partir d'un angle particulier, une activité professionnelle en postulant au départ que l'on ignore de quoi il s'agit.
Introduction : Le travail permet à l'homme de transformer la nature et de se transformer lui-même, d'évoluer ; il est la seule façon pour l'homme d'accéder à la plus haute liberté. Or, l'organisation du travail est telle que l'homme en est réduit à n'être que le rouage asservi d'un système qui l'écrase.
Définition générale :
Le travail est une activité consciente, réfléchie et volontaire, donc purement humaine qui transforme l'homme et le monde. C'est l'activité la plus présente et parfois la plus oppressante dans la vie de l'humain.
Le travail apparaît donc, non seulement comme un mot et une notion historiquement datés, mais aussi comme une réalité inventée, construite par le XVIIIè siècle européen. Il correspondrait à l'émergence du rapport salarié et du travailleur libre vendant sa capacité de travail.
Toutefois, elle est en sens opposé, car la force de frottement est une force qui s'oppose au déplacement d'un objet. La force sera donc négative, puisqu'elle est orientée dans le sens contraire au déplacement. Le frottement a donc effectué un travail de −300J . Un travail négatif représente une perte d'énergie.
L'unité S.I. de travail est le JOULE (J). Un travail de 1 Joule est le travail d'une force de 1 Newton dont le point d'application se déplace de 1 m dans la direction de la force.
C'est parce qu'on est libre qu'on offre sa force de travail. L'esclave à Saint-Domingue ne jouissait pas de sa liberté, il était exploité, le colon abusait de sa force de travail. En résumé, la liberté humaine n'est pas limitée par le besoin de travailler, par son occupation, son absorption dans le travail.
Le travail rend heureux aussi parce qu'il structure le temps, donne un cadre et permet de mieux apprécier son temps libre. Enfin, travailler impose de développer ses compétences et ses qualités, ce qui est valorisant et donne confiance en soi, et contribue à l'épanouissement personnel.
Vous le savez peut-être et vous vous en doutez sûrement : la qualité de vie au travail est un facteur très important de notre bien-être et, par conséquent, de notre santé. C'est pourquoi on considère officiellement le travail comme un « déterminant » de la santé.
« Le travail c'est la santé », chantait dans les années 1960 Henri Salvador.