Mars est aujourd'hui un monde désolé, balayé par les tempêtes de poussières, et plus aride que les déserts terrestres. Les températures moyennes, bien inférieures à 0°Celsius, et la faible pression atmosphérique, 6 hectopascals en moyenne, interdisent la présence d'eau liquide à sa surface.
En effet, la faible valeur de la pression de son atmosphère (0,66 millibars), qui peut varier de 30 % au cours de l'année, ne permet pas à l'eau liquide de s'y maintenir : tant que la pression partielle en H2O est inférieure sur une planète à 6,1 millibars, l'eau ne peut exister que sous forme de vapeur ou de glace.
De nos jours, hormis une poignée de possibles lacs saumâtres et aquifères souterrains, la majorité de l'eau de Mars est retenue dans les calottes polaires ou dans la glace enfouie sous la surface.
d'ébullition de l'eau en fonction de la pression Sur Mars, la pression actuelle est de 6 hPa. À cette pression, l'eau ne peut pas être liquide. Elle est en glace et/ou en vapeur. Et comme il fait en moyenne –50°C, elle est surtout en glace, avec une très faible proportion de vapeur.
Le climat martien demeure à ce jour un mystère pour les scientifiques. L'existence de canaux et de paléolacs (des lacs d'une époque ancienne dont les vestiges sont encore perceptibles) suggère aux géologues que la planète aurait connu des tempêtes de pluie et de neige à nulle autre pareille.
Vénus, par contre, possède une atmosphère épaisse à l'origine d'un effet de serre, ce qui en fait la planète la plus chaude de tout le système solaire.
Il y a de l'eau sur la Lune. Ils sont peu nombreux ceux qui en doutent encore aujourd'hui tant les observations orbitales et les analyses d'échantillons semblent en apporter la preuve. Fin 2020, la Nasa a même confirmé la présence de molécules d'eau (H20) à la surface de notre satellite.
Pour y parvenir, l'astromobile a fait fonctionner un petit module cubique de la taille d'un grille-pain, baptisé « Moxie ». Celui-ci aspire l'air de l'atmosphère martien, composé à 96 % de dioxyde de carbone (CO2), le comprime puis le chauffe à une température de 800 °C pour casser les molécules qui le compose.
Les noyaux des quatre planètes géantes (Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune) sont théoriquement très riches en glace d'eau, glace de haute pression et de haute température, comme on peut en faire dans les laboratoires terrestres en comprimant de l'eau à quelques dizaines de milliers d'atmosphères.
La température en surface présente des extrêmes moins élevés, une atmosphère ténue fournit une certaine protection contre les rayonnements nocifs et constitue une source potentielle notamment d'oxygène tandis que l'eau est présente sous forme soit de glace soit de vapeur ou encore sous forme liquide en profondeur.
L'analyse des données recueillies par la sonde Juno de la NASA montre que l'eau compte pour environ 0,25 % des molécules présentes dans l'atmosphère à l'équateur de Jupiter. Les astronomes espéraient obtenir une estimation précise de la quantité totale d'eau dans l'atmosphère de Jupiter depuis des décennies.
Reste que Vénus n'a plus d'eau au contraire de la Terre ! Les deux planètes ont commencé par être couvertes par un océan de magma. Cette lave échange beaucoup de volatiles (dont la vapeur d'eau) avec l'atmosphère de la planète.
L'eau s'évapore, forme la vapeur d'eau qui, en se transformant en pluie, va alimenter les mers, les cours d'eau et les nappes souterraines. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme : l'eau change d'état au cours de son cycle, passant de l'état gazeux à l'état liquide ou à l'état solide.
L'action du soleil permet l'évaporation de l'eau de mer et la transpiration des végétaux. Cette vapeur d'eau monte dans l'atmosphère, où il fait plus froid. La vapeur se retransforme en fines gouttelettes.
Cette couleur est attribuée aux petites poussières provenant de la surface désertique et poussées par de fortes tempêtes de vent. Cette poussière est composée en partie d'oxyde de fer, connu sur la Terre sous le nom de rouille.
Les astronautes se nourriront bien de fruits, légumes et céréales, mais ils les cultiveront sur des sols synthétiques, dans des modules étanches sous pression et atmosphère artificielles. Les plantes, nourries d'eau et d'engrais, pousseront sous des lampes UV. »
Ainsi, dans l'air que nous respirons, il y a environ 30 milliards de milliards de molécules d'air (azote + oxygène) par centimètre cube. Dans l'espace cette quantité descend à environ 100'000 molécules par centimètre cube, ce qui est extrêmement peu, mais ces molécules sont bien là!
Sur MARS, la température moyenne est de -63°C !
En effet, la température moyenne de ce monde est de – 63°C à comparer aux + 15°C de la Terre. La raison est que l'atmosphère martienne est 100 fois plus ténue que la nôtre.
On peut faire son eau de lune n'importe quand lorsque la lune est visible dans le ciel, mais l'idéal est lors d'une soirée de nouvelle lune, ou de pleine lune. Lors d'une nouvelle lune, on peut faire un petit rituel visant à imprégner notre eau d'idées positives et de ce que nous aimerions mettre dans l'univers.
Les mers lunaires, ou maria lunaires en latin (au singulier mare), sont des plaines basaltiques grandes et sombres sur la Lune, formées par d'anciennes coulées volcaniques et causées par l'impact de très grosses météorites.
Quand la Lune est en phase pleine, nous ne pouvons pas la voir en plein jour. Les 3 astres forment un alignement mais la Terre se trouve entre le Soleil et la Lune. En plein jour, on lui tourne le dos. Les jours qui suivent la pleine lune, à sa phase décroissante, on peut apercevoir, le matin, sa partie gauche.
Les scientifiques pensent que la Lune s'est formée suite à une collision entre la Terre primordiale et une protoplanète. Une nouvelle analyse des roches lunaires renforce cette hypothèse.
Dans l'Univers la température atteint -272°C
La température la plus basse possible théoriquement est le zéro absolu à -273,15 °C. À cette température, les atomes ne bougent plus ! Même dans l'espace, loin de toute étoile, on ne peut pas descendre aussi bas.
"Notre organisme dépense beaucoup d'énergie et d'eau pour maintenir la température interne à 37°C", indique Rémy Slama. Car, explique l'épidémiologiste environnemental, les protéines de l'organisme se dénaturent et nos cellules ne survivent pas si la température interne avoisine 41°C.