Il n'y a aucun rapport avec les pieds nus ou le fait « d'attraper froid ».
On n'attrape pas de rhumes ou de grippes par les pieds, mais par le nez ou la bouche qui sont les meilleures portes d'entrée pour la plupart des virus et des microbes. Il faut ensuite mettre fin à un mythe : on "n'attrape" pas froid.
Les virus du rhume se transmettent au moyen des mucosités et de la salive que les éternuements et la toux projettent hors du corps. Donc, si vous voulez vraiment attraper un rhume, essayez de vous tenir près de quelqu'un qui en a déjà un; touchez à tout sans jamais vous laver les mains.
Lorsqu'il fait froid, l'organisme concentre la circulation sanguine en son cœur et nos extrémités (mains et pieds) ont tendance à se refroidir. C'est pour cela que l'on associe à ce phénomène le fait de "prendre froid".
Les premiers symptômes ne tardent pas à se manifester : mal de gorge, enrouement, toux et écoulement nasal. Au cours de la maladie, de la fièvre, des maux de tête et des douleurs articulaires peuvent également apparaître.
– Du sel de Nigari (chlorure de magnésium) : diluez 1 cuillérée à soupe pour une litre d'eau et boire un verre, 1 ou 2 fois par jour jusqu'à disparition des symptômes. – De l'extrait liquide de propolis : de 3 à 10 gouttes dans de l'eau ou dans une boisson tiède (tisane de thym par exemple), 2 ou 4 fois par jour.
D'après certains chercheurs, le temps froid et sec serait d'ailleurs en lui-même un facteur favorisant le virus de la grippe. Pour autant, le froid ne rend pas malade à proprement parler, ce sont ses conséquences qui favorisent la transmission des infections saisonnières.
Non, ce n'est pas en marchant pieds nus sur une surface froide que l'on attrape une maladie. Même s'il accorde que le nez qui coule est une manifestation déclenchée par le corps pour réchauffer au contact de l'humidité, l'ai qui est inspiré.
Pas vraiment. « On aura beau s'installer au pôle Nord, pieds nus et cheveux mouillés, s'il n'y a que des phoques et des ours polaires pour nous tenir compagnie, on n'attrapera pas le rhume! » s'exclame le Dr Karl Weiss, microbiologiste et spécialiste en maladies infectieuses à l'Hôpital général juif de Montréal.
Ce n'est pas tout à fait vrai. Comme pour beaucoup de choses, la réalité est plus compliquée. Voici la nuance : ce n'est pas parce que vous avez froid que vous attraperez un rhume. Mais il est vrai que le temps froid facilite l'apparition du rhume ou de la grippe.
La saison hivernale et le froid qui l'accompagne changent notre façon de vivre et notre immunité, de sorte que nous avons plus de risques de développer une maladie infectieuse des voies respiratoires, du simple rhume jusqu'aux infections graves des poumons, ou pneumonie.
Lorsque la température corporelle d'une personne augmente, elle peut avoir froid jusqu'à ce qu'elle se stabilise et cesse d'augmenter. Les gens décrivent cela comme des "frissons". L'alimentation, l'exercice, le sommeil, le moment de la journée et des facteurs individuels peuvent également influer sur la température.
Le froid ralentit l'activité des cellules et la réponse de notre organisme aux attaques extérieures. Ce qui laisse le temps aux virus de s'installer. A cela s'ajoute le manque de luminosité qui peut entraîner des carences en vitamine D (l'exposition au soleil permet à la peau de fabriquer de la vitamine D).
(Médecine non conventionnelle) Développer une maladie respiratoire (rhume, grippe), ORL (trachéite, angine, otite) ou un état grippal, la cause de la maladie étant, dans la croyance populaire, provoquée par le froid. Tomber malade à cause du froid.
Pour diminuer l'inconfort du rhume, un seul médicament est préconisé, le paracétamol que l'on appelle également acétaminophène (Doliprane®, Tylenol®, Efferalgan®, Dafalgan®, Panadol®, Dolko®, Geluprane®) Ce médicament diminue les maux de tête, le mal de gorge éventuel et fait baisser la fièvre.
Jours 1 à 2 : gorge irritée et éternuements. Jours 3 à 4 : intensification du mal de gorge, nez qui commence à couler. Même si les symptômes sont encore limités, c'est durant ces quatre premiers jours qu'on est le plus contagieux. Jours 5 à 7 : le rhume est à son pic.
Lorsque vous avez un rhume de cerveau, les membranes qui tapissent vos fosses nasales deviennent enflées et produisent un excédent de mucus pour évacuer ce qui cause l'irritation, que ce soit un virus ou un allergène. Vous pourriez avoir des douleurs au front, sous les yeux ou aux dents de la mâchoire supérieure.
Se déplacer pieds nus contribue à muscler leurs pieds et leurs jambes tout en améliorant leur proprioception, qui est la perception inconsciente des mouvements et de l'orientation dans l'espace, résultant de stimuli situés dans votre propre corps.
L'idéal chez soi, c'est le confort. Chaussettes ou pieds nus, ça va, à condition de veiller à ne pas glisser… En revanche, les claquettes et chaussons sans maintien de l'arrière vont avoir tendance à favoriser la production de corne au talon.
Outre le fait de se laver les mains à la solution hydroalcoolique entre chaque patient, et d'éviter les contacts physiques avec les malades, il mise surtout sur le sommeil.
Position couchée : Le mucus s'évacue moins facilement de vos voies respiratoires lorsque vous êtes couché. En effet, le mucus peut s'accumuler dans la gorge, ce qui déclenche la toux. Durant la journée, vous bougez et avalez souvent, ce qui réduit les sécrétions nasales.
L'environnement, l'autre facteur
Il ne faut pourtant pas mettre tout sur le compte des gènes, mais également questionner son mode de vie si l'on a tendance à tomber régulièrement malade. Une mauvaise alimentation, les excès de caféine ou d'alcool, le stress, le manque d'exercice…
Le mal de gorge est un symptôme fréquent, dû le plus souvent à une infection virale et plus rarement bactérienne. D'autres causes peuvent expliquer l'irritation source de douleurs : allergie, pollution, tabagisme, remontées acides de liquide gastrique…
Et la pluie n'arrange pas les choses. En effet, quand il pleut, les risques d'attraper une maladie sont plus élevés. Et pour cause, lorsque les gouttes de pluie frappent le sol, elles ont tendance à projeter dans l'air les bactéries présentes par terre.