À ce jour, aucun traitement ne guérit la sclérose en plaques. Un traitement de fond prévient les récidives des poussées dans les formes récurrentes-rémittentes. Les formes progressives sont difficiles à soigner. La rééducation est utile à tous les stades de la maladie.
Une procédure testée sur des patients atteints de sclérose en plaques a permis de stopper l'évolution de la maladie voire de réduire leurs symptômes pendant cinq ans. Mais ce traitement qui consiste à réinitialiser le système immunitaire n'est pas sans risques ni aussi efficace selon ses formes.
La Sclérose en Plaques est une maladie qui ne fait pas mourir. Elle réduit un petit peu l'espérance de vie. En moyenne, on peut dire que l'espérance de vie de l'ensemble des patients atteints de SEP est inférieure de 6-7 ans à la moyenne de la population générale.
Les compléments en vitamine D sont également un traitement naturel qui fonctionne pour lutter contre la sclérose en plaques. Cette vitamine a été prouvée pour être efficace contre les troubles neurologiques. Elle aide le patient au maintien de l'organisme, contribuant ainsi à lutter contre la maladie.
le fingolimod (GILENYA) et le natalizumab (TYSABRI) ont une AMM pour le traitement des formes très actives de SEP-RR, il s'agit des traitements de référence à ce stade de la maladie ; l'ocrelizumab (OCREVUS) a une AMM dans le traitement de la SEP-R active (comprenant les SEP très actives).
Les scientifiques recherchent depuis longtemps une origine infectieuse à la sclérose en plaques. Leur hypothèse est qu'elle provoquerait un dérèglement du système immunitaire qui se mettrait à attaquer par erreur des antigènes du « soi », encore non identifiés mais probablement présents sur la gaine de myéline.
Cliniquement isolé Dans 75% des cas, la sclérose en plaques commence par une poussée, c'est à dire l'apparition sur quelques heures à quelques jours de symptômes neurologiques, qui persistent généralement pendant quelques jours à quelques semaines puis disparaissent progressivement plus ou moins complètement.
Pour poser le diagnostic de sclérose en plaques, il faut que le médecin constate la présence de symptômes traduisant l'existence de lésions de plusieurs zones du système nerveux (par exemple une diminution de la force musculaire d'un membre et une atteinte oculaire).
La douleur n'est pas un symptôme typique de la maladie, cependant plus de 50% des patients sont sujets à des douleurs : aux mains, aux pieds, en position debout... Ces douleurs peuvent être de différents types. Dire que la SEP n'est pas une maladie douloureuse est donc une idée reçue.
De manière générale, toutes les disciplines sportives qui favorisent l'endurance, la coordination, la concentration, l'équilibre, l'utilisation de la masse musculaire, conviennent aux personnes atteintes de Sclérose En Plaques.
La première phase se caractérise par le type de poussée-rémission, c'est-à-dire en poussée de symptômes qui s'estompent partiellement ou totalement après une période de temps. La deuxième phase se caractérise par une aggravation constante des conditions du patient entrecoupée de courte période de rémission.
Il faut en parler avec l'autre, ce n'est pas une bonne chose de vivre la maladie tout seul. Elle prend trop de place pour l'ignorer, c'est comme une troisième personne dans le couple" explique la spécialiste. S'il s'agit d'une relation naissante, mieux vaut parler de la maladie le plus tôt possible avec l'autre.
A ce jour, aucune étude scientifique n'a montré une influence de l'alimentation sur l'évolution de la maladie. Aucun régime alimentaire particulier n'est donc préconisé au cours de la sclérose en plaques.
Principaux effets secondaires: syndrome pseudo grippal, complications locales cutanées, troubles de l'humeur, troubles thyroïdiens, toxicité hématologique et hépatique.
Durant les poussées, elles prennent la forme de fourmillement, brûlure, décharges électriques. Par exemple, chez un patient, ce sera une douleur similaire à une sciatique, au bas du dos et le long de la jambe. Chez un autre, ce sera une gêne au niveau de l'œil, provoquée par une névrite optique.
On observe parfois une perte de poids à certains stades de la maladie, qui peut être rapide et involontaire. Ces pertes de poids peuvent elles aussi être néfastes dans la SEP, induisant une perte musculaire et donc une fatigabilité plus importante aggravant le risque de chute.
La vitamine D est un nutriment essentiel qui suscite de plus en plus d'intérêt dans le contexte de la sclérose en plaques. Cette vitamine est présente sous deux formes : la D 2 et la D 3, respectivement l'ergocalciférol et le cholécalciférol.
La vitamine D est un nutriment essentiel qui suscite de plus en plus d'intérêt dans le contexte de la sclérose en plaques. Cette vitamine est présente sous deux formes : la D 2 et la D 3, respectivement l'ergocalciférol et le cholécalciférol.
C'est le cas aujourd'hui avec l'inhibiteur BTK (tyrosine kinase de Bruton) à pénétration cérébrale qui réduirait significativement l'activité de la sclérose en plaques récurrente-rémittente et progressive et dont on espère aussi qu'il permettra de réduire la progression du handicap.
A ce jour, aucune étude scientifique n'a montré une influence de l'alimentation sur l'évolution de la maladie. Aucun régime alimentaire particulier n'est donc préconisé au cours de la sclérose en plaques.
Se dit d'un traitement qui vise à guérir une maladie.
Chimiothérapie : son mode d'action
La chimiothérapie agit sur tout l'organisme humain, contrairement aux traitements comme la chirurgie ou la radiothérapie qui agissent au niveau local. C'est ce que l'on appelle un traitement systémique.
La première phase se caractérise par le type de poussée-rémission, c'est-à-dire en poussée de symptômes qui s'estompent partiellement ou totalement après une période de temps. La deuxième phase se caractérise par une aggravation constante des conditions du patient entrecoupée de courte période de rémission.