L'évanouissement (syncope) est une perte de conscience brève et soudaine durant laquelle la personne tombe par terre ou s'affaisse dans une chaise et puis redevient consciente. La personne est immobile et molle et a généralement froid aux jambes et aux bras, un pouls faible, et une respiration peu profonde.
Cette syncope peut être précédée de signes annonciateurs : "sueurs, nausées, étourdissement, faiblesse dans les jambes ou troubles de la vision", décrit le site de l'Assurance maladie (Source 2).
Qu'il soit occasionnel ou plus fréquent, ce malaise ne présente aucune gravité, car la perte de connaissance ne dure que quelques secondes, au pire quelques minutes. Le plus souvent, la personne pressent le malaise et a le temps de s'asseoir ou de s'allonger afin d'éviter une chute.
La perte de connaissance peut survenir dans toutes les positions (debout, couché, assis). Le plus souvent le retour à la conscience est progressif avec passage par un état d'obnubilation.
Aussi appelée syncope, cette perte de connaissance transitoire, sans gravité dans la majorité des cas, est due à une chute brutale et passagère de la circulation sanguine dans le cerveau. En cause : le nerf vague, un long faisceau nerveux qui court de l'estomac au cerveau, en passant par le cœur.
Il s'agit souvent d'un malaise vagal sans gravité, en dehors du risque de traumatisme lié à la chute. Cette syncope peut être précédée de signes annonciateurs : sueurs, nausées, étourdissement, faiblesse dans les jambes ou troubles de la vision.
Votre enfant peut être étourdi, avoir la nausée ou avoir chaud ou froid juste avant de s'évanouir. Il peut également présenter une pâleur du visage. La cause la plus courante de l'évanouissement est une chute de pression artérielle.
Parmi les causes pouvant affecter la circulation sanguine sous la peau et entraîner une pâleur, on recense : - un stress physique intense (blessure, choc, etc.) - un choc émotionnel ou un stress psychologique (peur, angoisse, etc.) - une anémie.
Si la victime s'est évanouie ou vomit au cours d'un malaise, la placer en position latérale de sécurité : le corps doit être sur le côté avec la jambe supérieure croisée pour stabiliser la personne et la bouche ouverte tournée vers le bas.
Quelles sont les causes pathologiques d'un malaise ? Un malaise peut être dû au développement d'une maladie : d'origine cardio-vasculaire, notamment lors d'un accident vasculaire cérébral (malaise cardiaque) ; d'origine neurologique, notamment lors des crises épileptiques (malaise épileptique).
Le malaise est un état d'inconfort de degré variable qui peut aller d'une simple indisposition à un évanouissement complet. Le malaise est une sensation pénible subjective qui peut néanmoins aller jusqu'à l'évanouissement. Les médecins parlent alors de syncope ou de lipothymie.
L'évanouissement, aussi appelé syncope, est une perte de conscience temporaire souvent attribuable à une diminution brève du flot sanguin au cerveau. La perte de conscience est souvent due à une chute de tension artérielle ou un rythme cardiaque très lent.
Le malaise lipothymique est généralement bénin. Toutefois, si vous en faites régulièrement ou que ces malaises s'accompagnent d'autres symptômes comme des dyspnées (difficultés à respire)r, des convulsions ou des douleurs à la poitrine, il faut consulter un médecin sans attendre.
A la différence d'une lipothymie, qui est plutôt un simple malaise, un évanouissement, ou une syncope, correspond à une vraie perte de connaissance brutale, avec ou sans signes annonciateurs.
Même si les victimes réclament de l'eau, il est interdit de leur en donner, car cela peut provoquer des étouffements et si une opération est nécessaire, elles devront être à jeun.
Dans la majorité des cas, la personne qui fait un malaise vagal revient spontanément et rapidement à elle après la perte de connaissance. Lorsque c'est le cas, rassurez-la à son réveil et laissez-la allongée au moins 10 minutes avec les jambes surélevées.
Un malaise lipothymique est un malaise passager caractérisé par une impression angoissante d'évanouissement imminent. D'origine vaso-motrice –d'une irrigation du cerveau passagèrement moindre-, il est engendré par une fatigue physique et/ou nerveuse mais n'aboutit que rarement à l'évanouissement total.
Durant le sommeil, notre cerveau secrète une hormone anti-diurétique qui ralentit le travail des reins afin que nous ne soyons pas réveillés pendant la nuit par une envie d'uriner. Mais boire trop d'eau avant le coucher (même 2 à 3 verres), perturbe ou annule cette fonction.
De plus, toujours à supposer que ces résultats soient confirmés, la prescription de sédatifs aux personnes touchées par un traumatisme pourrait alors faire plus de mal que de bien. Des conséquences sévères : Dormir après un gros stress peut avoir des conséquences sévères.
De plus, il se trouve également que la position couchée favorise la libération de toxines dans le corps. Donc, le verre d'eau matinal permet d'éliminer les toxines, réhydrater les organes et permet aussi à notre système digestif de se réveiller.
Dans la majorité des cas, la personne qui fait un malaise vagal revient spontanément et rapidement à elle après la perte de connaissance. Lorsque c'est le cas, rassurez-la à son réveil et laissez-la allongée au moins 10 minutes avec les jambes surélevées.