Le maire ou un autre officier d'état civil peut refuser de célébrer un mariage uniquement s'il existe un empêchement (une formalité non effectuée par exemple). Sinon, le refus est illégal. Par exemple, le refus de célébrer un mariage ne doit pas être discriminatoire.
Dès lors, l'officier d'état civil ne peut célébrer des mariages que sur le territoire de sa commune. Le maire ne peut donc pas marier un couple dans une commune autre que la sienne. De plus, un maire honoraire ne peut marier un de ses proches.
Selon l'article L. 2121-30-1 du CGCT, « le maire peut, sauf opposition du procureur de la République, affecter à la célébration de mariages tout bâtiment communal, autre que celui de la maison commune, situé sur le territoire de la commune ».
Commune de résidence
Le mariage peut être célébré dans la commune où l'un des futurs époux a sa résidence. Elle doit être établie par au moins 1 mois d'habitation continue à la date de la publication des bans.
Seules quelques situations exceptionnelles, et bien souvent dramatiques, permettent d'échapper au carcan administratif. En cas « d'empêchement grave d'un des futurs époux », ces derniers peuvent demander au procureur de la République de déplacer la cérémonie à leur domicile ou lieu de résidence.
Date du mariage en mairie
Si un mariage rapide en mairie est tout à fait possible, vous devez tout de même attendre la fin du délai des 10 jours de la publication des bans. Selon les mairies, ce délai peut être d'un mois. Vous avez ensuite l'année suivant l'expiration de ce délai pour organiser votre union.
Définition du hlel : qu'est-ce que le mariage religieux en Islam ? Le mariage en Islam, aussi appelé hlel (qui vient du « halal »), nikah ou fatiha suivant le pays d'origine, est un contrat moral passé entre les deux membres d'un couple musulman, reconnu devant Dieu et devant les hommes.
Le maire et ses adjoints sont tous officiers d'état civil. Un mariage peut donc être célébré de manière indistincte par le maire ou par l'un de ses adjoints. En cas d'absence ou d'empêchement du maire et des adjoints, le maire peut déléguer les fonctions d'officier d'état civil à des conseillers municipaux.
Les époux peuvent choisir de célébrer le mariage : dans la commune où l'un des époux a son domicile ; dans la commune où l'un des époux a sa résidence établie par au moins un mois d'habitation continue à la date de publication du mariage (article 74 du Code civil, modifié par la loi n° 2013-404 du 17/5/2013).
Aucune autre condition n'est requise. Il peut s'agir de membres de votre famille ou non. Il n'est pas fait de distinction entre les sexes. Vous déclarez vos témoins lors de l'accomplissement des formalités préalables au mariage.
Vous pouvez avoir recours à l'article 74 du Code Civil qui prévoit que le mariage peut-être célébré, au choix des époux, dans la commune où l'un d'eux, ou l'un de leurs parents, aura son domicile ou sa résidence établie par un mois au moins d'habitation continue à la date de la publication prévue par la loi.
L'elopement est un mariage organisé en petit comité. Certains couples choisissent ainsi de célébrer leur mariage à deux, sans aucun invité pour les accompagner. D'autres élopements sont organisés en présence d'une poignée de proches et de membres de la famille, dans une atmosphère minimaliste et intime.
Mariage célébré civilement
un notaire; un maire; un membre du conseil municipal ou du conseil d'arrondissement; un fonctionnaire municipal.
Officiants de cérémonie
Un officiant laïque professionnel (ou célébrant ou cérémoniant) est comme un prêtre, un rabbin, un imam ou un maire : il permet de préparer et de vivre une telle cérémonie en extérieur.
C'est le plus souvent le prêtre ou le curé en charge de la paroisse de votre ville qui prendra en charge la cérémonie.
Le déroulement de la cérémonie
Les mariés se trouvent au premier rang, en face du maire ou de l'adjoint au maire, la mariée à gauche du marié. Les témoins entourent généralement les futurs époux. La famille proche se trouve quant à elle juste derrière, dans les premiers rangs.
Le mariage peut être célébré dans l'une des communes suivantes : Commune du domicile d'un des parents (père ou mère) des futurs époux. Commune de la résidence principale d'un des parents. Commune de la résidence secondaire d'un des parents.
En pratique, les mariages sont célébrés du lundi au samedi aux jour et heure convenus entre les futurs conjoints et l'officier de l'état civil. Rien ne s'oppose à ce qu'un mariage soit célébré un jour férié dès lors que ce choix résulte d'un accord entre le maire célébrant le mariage et les futurs époux.
Il est interdit de se marier avec un membre de sa famille proche, qu'il s'agisse d'un lien de parenté (biologique ou adoptive) ou d'un lien d'alliance (créé par un mariage).
Il peut prêcher, administrer le baptême et assister au mariage et le bénir.
Comme vous l'avez précisé, un capitaine exerce les fonctions d'officier d'État Civil à bord en faisant régner l'ordre, constatant des décès, des naissance, et par voie de conséquence en pouvant célébrer des mariage. Ce n'est seulement et uniquement son titre d'Officier d'État Civil qui lui octroi un tel pouvoir.
Le droit de former opposition à la célébration du mariage appartient à la personne engagée par mariage avec l'une des deux parties contractantes. Le père, la mère, et, à défaut de père et de mère, les aïeuls et aïeules peuvent former opposition au mariage de leurs enfants et descendants, même majeurs.
INTERNATIONAL - Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser. Le prophète Mohammed (QSSL) disait dans un hadith: "Nul d'entre vous ne prendra sa femme comme on prendrait une bête, et qu'il y ait entre vous un messager: le baiser". Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser.
Les relations sexuelles hors mariage sont formellement prohibées.
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.