Un avion est équipé de plusieurs phares pour les phases de décollage, d'atterrissage et de roulage. Leur nombre varie en fonction du type d'appareil et leur intensité varie en fonction de l'utilisation qui en est faite, comme sur une voiture.
Les phares d'un avion ne servent pas à "voir devant", mais à ÊTRE VU de loin et de face (donc en rapprochement rapide) par d'autres avions. De la même façon que de nuit avec l'aide des instruments. Les phares sont utilisés en monté et en descente. De jour, cela va s'ils sont allumés dans les nuages.
C'est sur l'extrémité de l'aile que sont placés les feux de navigation : rouge à gauche et vert à droite.
Sur la quasi-totalité des routes aériennes, une altitude correspond à une direction et une vitesse, et les avions sont donc alignés à grande distance les uns derrière les autres à vitesse stable, gardant un espacement constant.
La balise de sécurité est un feu clignotant rouge située sous le fuselage destinée à attirer l'attention du personnel au sol sur un appareil dont les moteurs sont en marche.
Il s'agit d'une variation assez brusque de l'intensité et de la direction du vent. Les turbulences générées directement par l'avion sont un autre type d'incident qui peut survenir en vol. Cela se produit lorsque de grandes masses d'air entrent en collision avec les extrémités des ailes de l'avion.
Les feux de balises ou "beacon" de l'avion sont de couleur rouge et clignotent ou tournent pour fournir un voyant d'avertissement pulsé. Ils sont normalement installés par paires, l'un en haut du fuselage et l'autre en bas.
Pourquoi un avion ne peut pas atterrir ? Il existe plusieurs raisons pour lesquelles un avion ne peut pas atterrir. Les conditions météorologiques sont parmi les plus courantes. Par exemple, un vent arrière supérieur à 5 nœuds peut empêcher un avion d'atterrir sur certaines pistes.
Ce qui apparaît sur une carte ou une surface plane comme une ligne droite n'est pas la distance la plus courte entre deux points.. C'est parce que la terre n'est pas plate., mais c'est une sphère. Donc, la distance la plus courte entre deux points sur une sphère est un arc plutôt qu'une trajectoire droite et constante.
Les avions se croisent, bien sûr, mais ce qui les séparent, c'est l'altitude. Selon le type d'avion, le type de vol et l'altitude, ils sont séparés de 500, 1000 ou 2000 pieds. Le problème c'est que l'altitude est donnée de part la pression atmosphérique et celle-ci change d'endroit à endroit.
Le premier, c'est l'économie de carburant. Un avion, ça consomme beaucoup de kérosène. Un Airbus A320, c'est 3 000 litres par heure de vol. Voler très haut permet d'en dépenser moins car à ces altitudes élevées, l'air étant moins dense, il offre moins de résistance à l'avion.
A bord, un « transpondeur » (émetteur-récepteur) émet un code identifiant précisément l'appareil et ses caractéristiques de vitesse et d'altitude. Les contrôleurs le suivent donc en trois dimensions. Aux zones radar correspondent des liaisons radio VHF, de très bonne qualité sonore, entre le sol et l'équipage.
Global Positioning System (GPS)
L'information délivrée au pilote est sa position sur le globe terrestre (latitude, longitude et, avec une mauvaise précision, altitude), sa route vraie ainsi que sa vitesse par rapport au sol.
Le bruit aérodynamique est dû aux turbulences aérodynamiques créées autour de l'avion.
Les vols sont limités la nuit
Entre 24 heures et 6 heures, les décollages sont interdits. Entre 22 heures et 24 heures, les décollages ne sont autorisés que sous certaines conditions, notamment liées au volume sonore de l'avion. Les atterrissages sont interdits entre 24 heures et 5 heures.
Pourquoi un avion fait-il du bruit ? Les nuisances sonores d'un avion proviennent de deux sources bien distinctes : d'un côté, le moteur, avec le son de l'expulsion des gaz chauds, et de l'autre, de la circulation de l'air autour de l'appareil.
Ce n'est pas pour éviter de survoler l'océan, c'est parce que la terre est un globe, donc le chemin le plus court est un demi-cercle, qui est une ligne droite entre 2 points sur la sphère, mais qui apparaît courbé lorsqu'il est affiché sur une carte de projection Mercator.
Comment les pilotes préparent-ils un vol transatlantique ? Pour traverser l'océan, les avions empruntent les routes Atlantique Nord, des voies aériennes dont le tracé varie en fonction des conditions météorologiques.
Une fois à haute altitude et positionné sur son plan de vol, l'avion atteint sa vitesse de croisière. Vous n'avez donc plus cette sensation d'écrasement, tout simplement parce que votre corps se déplace désormais à la même vitesse que l'avion.
Oui, s'il n'y a pas d'autres conditions météorologiques, comme des orages ou des ouragans, les hydravions peuvent voler ainsi que décoller sous la pluie.
Même sans moteur, un avion peut continuer de voler sur une distance plus ou moins longue en fonction de sa vitesse et de son altitude. Cette capacité à planer s'appelle la finesse. Plus la finesse est grande, plus sa capacité à planer est importante.
Les orages, les vents forts, le brouillard, la neige ou le verglas peuvent rendre le décollage ou l'atterrissage d'un avion dangereux. Dans ces cas, les compagnies aériennes n'ont d'autre choix que de retarder ou d'annuler les vols pour garantir la sécurité des passagers.
La peinture blanche est largement privilégiée pour les avions en raison de ses multiples avantages pratiques et fonctionnels. Tout d'abord, le blanc agit comme une barrière contre le rayonnement solaire, réfléchissant une grande partie de la chaleur.
L'atmosphère moins riche en oxygène peut déclencher des maux de tête, des vertiges ou des nausées. Ces signes apparaissent quelques heures après l'atterrissage et peuvent persister plusieurs jours. Ils disparaissent généralement d'eux-mêmes avec le repos.
Une entrée anticipée en ZEC des agents au sol peut avoir des conséquences graves (collision avion-équipement, blessure du personnel sol, etc.). C'est pourquoi, les opérations ne peuvent débuter qu'une fois les moteurs coupés et les feux anti-collision éteints.