Un atterrissage sans moteur est un atterrissage d'urgence réalisé par un pilote à bord d'un aéronef dont tous les moteurs sont en panne. L'expression en anglais deadstick landing (littéralement, atterrissage avec un manche mort) vient des débuts de l'aviation, quand un avion en panne moteur atterrissait hélice calée.
Même sans moteur, un avion peut continuer de voler sur une distance plus ou moins longue en fonction de sa vitesse et de son altitude. Cette capacité à planer s'appelle la finesse. Plus la finesse est grande, plus sa capacité à planer est importante.
Un planeur. Avion sans moteur, pouvant planer de façon prolongée et pratiquer le vol à voile.
Un avion est capable d'atterrir hors de sa piste d'atterrissage… par la force des choses ! La manœuvre est risquée et dangereuse, et les rares fois où elle est effectuée, il s'agit de moments précis où le pilote ne peut faire autrement.
En effet, 80 % des vols commerciaux sont équipés de batteries Saft. Grâce aux systèmes électriques d'un avion, la perte d'un moteur n'induit pas la perte de contrôle, et un pilote qui garde son sang-froid peut réussir à faire planer l'appareil en toute sécurité jusqu'au sol.
Le simple fait d'avancer le centre de gravité a donc permis un vol stable. Pour un avion en vol de croisière, la force de portance équilibre exactement le poids et la force de propulsion équilibre exactement la traînée. Toutes ces forces sont appliquées au centre de gravité.
Les ailes sont courbées sur le dessus et plates en dessous. Elles sont aussi un peu inclinées. Ce qui veut dire qu'elles ne sont pas droites comme une planche. C'est grâce à leur forme que l'air du ciel peut voyager autour des ailes et faire soulever l'avion.
Lors de l'atterrissage, un avion doit ralentir jusqu'à une vitesse sûre pour atterrir sur la piste. Cette vitesse, connue sous le nom de vitesse d'atterrissage, est généralement d'environ 150 à 160 mph pour les avions de ligne commerciaux.
Le taux d'accidents aériens s'établit en moyenne dans le monde à 1 accident par million d'heures de vol (soit 2 accidents par million de vols) avec des fortes disparités (0,7 accident par million d'heures de vol en Europe, 0,4 aux États-Unis, plus de 13 en Afrique).
Les avions commerciaux de ligne ont généralement des vitesses de croisière maximales d'environ 900 à 950 kilomètres par heure (environ 560 à 590 miles par heure). Par exemple, le Boeing 747 à une vitesse de croisière maximale d'environ Mach 0,85 à Mach 0,89, ce qui équivaut à cette plage de vitesses.
Malgré le poids d'un avion, oui ils sont bien cables de flotter, et même un long moment si celui-ci n'a pas subit trop de dommages. Dans le cas contraire, et surtout si de l'eau parvient à s'infiltrer dedans, son temps de flottaisons sera réduit considérablement!
Pour d'autres, c'est le pilote qui a mis le « frein à main ». Mais l'explication la plus plausible est sans doute celle-ci : l'avion vole à vitesse réduite et des vents violents vont dans sa direction, tout comme l'automobiliste. Ce serait donc en fait une illusion d'optique.
La capacité de planer d'un avion s'appelle la finesse, et les avions de ligne comme les Airbus A320 ou les Boeing 737 ont une finesse autour de 20. Cela signifie que lorsque l'avion descend de 1 mètre, il avance de 20 mètres. Quand l'avion vole à 10km d'altitude, il peut donc planer sur environ 200 km.
L'idée étant de diminuer la charge de travail ainsi que la fatigue du pilote principal au sein de l'appareil mais aussi de son copilote. Enfin sur un aspect sécurité, c'est aussi en quoi une deuxième personne dans le cockpit reste indispensable.
La traînée engendrée par la résistance de l'air doit être inférieure à la traction de l'hélice, ainsi l'avion avance dans la masse d'air. Au décollage, la traction doit augmenter plus vite que la traînée et la portance doit être supérieure au poids ainsi l'avion peut décoller.
Cette force s'appelle la portance. D'où vient la portance ? Quand l'avion avance, grâce à la forme de son aile, l'air qui passe au-dessus de l'aile accélère. La pression de l'air est alors moins forte au-dessus de l'aile qu'en dessous.
Mais les ailes d'un avion stockent du carburant, ce qui disqualifie les rangées de sortie centrales en tant qu'option de rangée la plus sûre. En même temps, le fait d'être plus près de l'avant signifie que vous serez touché avant ceux de l'arrière, ce qui nous laisse la dernière rangée qui compte une sortie.
En nombre de crashs, c'est le 707/720 de Boeing qui l'emporte avec 105 catastrophes, devant le DC9 et le DC8 (62 chacun), le Boeing 727 (57) et le Boeing 737- 1/200 (48).
Qu'en est-il d'Air Koryo ? La compagnie aérienne nord-coréenne n'a reçu qu'une seule étoile de Skytrax pendant plusieurs années consécutives, ce qui en fait la pire compagnie aérienne au monde.
Le premier, c'est l'économie de carburant. Un avion, ça consomme beaucoup de kérosène. Un Airbus A320, c'est 3 000 litres par heure de vol. Voler très haut permet d'en dépenser moins car à ces altitudes élevées, l'air étant moins dense, il offre moins de résistance à l'avion.
Les systèmes de freinage simples comprennent un disque d'acier fixé à la roue et un étrier fixé à la jambe de l'atterrisseur. L'étrier comporte deux mâchoires, une fixe et l'autre actionnée par un piston sur lequel agit le fluide hydraulique. Ce piston va comprimer la mâchoire mobile sur le disque solidaire de la roue.
Windpassenger ne vole pas dans des conditions dangereuses ! Pour effectuer un vol tranquille, il nous faut un temps sec et stable et la vitesse du vent ne doit pas dépasser 20 km/h au sol.
Le Starfighter. Cet appareil sophistiqué pour l'époque va vite se voir attribuer des surnoms aussi peu flatteurs que " cercueil volant" ou "faiseur de veuves".
La rapidité est la raison principale pour faire voler les avions de ligne à une altitude supérieure à 30.000 pieds (près de 10 kilomètres). La densité de l'air diminue d'environ de moitié par 5 kilomètres d'altitude supplémentaire : à 10 kilomètres,d vaut environ le quart de sa valeur au niveau de la mer.
La rotation de la Terre n'a pas cet effet car les avions se déplacent par rapport à l'atmosphère, et l'atmosphère suit la rotation de la Terre en moyenne. En l'absence de vent, votre parcours dans l'air est identique, que vous alliez vers l'Est ou vers l'Ouest.