Une roue et un frein n'est pas spécifique à un avion, plusieurs types d'avions peuvent avoir les mêmes roues et freins (par exemple les A320 , 319 et 318). À noter que le frein est toujours homologué dans un ensemble roue-frein-pneu.
Les aérofreins sont des surfaces mobiles situées la plupart du temps sur les ailes. Quand ils sont déployés, les aérofreins modifient l'écoulent de l'air par augmentation de la traînée, ce qui a pour effet de le ralentir l'avion.
La procédure de freinage consiste alors, une fois que l'avion est au sol, à déployer les inverseurs, puis à augmenter le régime du moteur après le toucher des roues pour recréer de la poussée (le moteur étant pratiquement au ralenti lors de la phase d'atterrissage).
L'air qui se déplace plus lentement pousse plus fort sur l'aile que l'air qui se déplace plus rapidement. L'air sous l'aile pousse donc l'avion vers le haut, c'est pour cela que les avions restent dans le ciel et ne tombent pas.
Des portes à la piste d'atterrissage
En principe, un avion peut reculer grâce à son propre système de propulsion, mais il consomme alors une quantité importante d'énergie. En outre, cela provoque beaucoup de bruit et d'émission de CO2, ce qui entraînerait une pollution supplémentaire indésirable.
Pour les vols long-courriers, il est préférable cette fois d'arriver au minimum quatre heures avant le départ. Les files d'attente sont en effet généralement beaucoup plus longues pour l'enregistrement que pour les vols domestiques et européens. La destination joue également un rôle important.
Malgré la récupération des deux boîtes noires, le mystère demeure sur la cause de l'accident du Boeing 737-800 du vol MU5735 de China Eastern, qui s'est écrasé le 21 mars dernier dans l'est de la Chine, tuant les 132 personnes à bord. Voici ce que l'on sait, un mois après.
Le décollage et l'atterrissage sont largement considérés comme les moments les plus dangereux d'un vol.
Tant que l'avion a de la vitesse, l'air s'écoule au dessus et en dessous de son aile et il est capable de voler. Si les moteurs ne fonctionnent pas, on ne peut pas maintenir sa vitesse en gardant son altitude et on se met donc en descente.
Le décollage et l'atterrissage d'un avion peuvent causer un véritable stress et de la tension. Il peut alors être judicieux d'opter pour un vol sans escale, si vous avez le choix (et le budget) pour cela.
"Il s'agit surtout d'une réaction de soulagement, de gratitude d'être arrivé vivant", nous répond la psychologue Laurie Hawkes (qui prend souvent l'avion). "Ces applaudissements sont vitaux, ils servent de défouloir.
Plus on monte en altitude, moins l'air en effet oppose de résistance à l'avion et plus les moteurs sont efficaces. L'avion consomme moins de carburant et pourra voler plus vite.
Un destructeur de portance, ou spoiler, est un dispositif mobile rectangulaire située sur l'extrados de l'aile d'un avion (notamment des avions de ligne). Avec les volets hypersustentateurs, les becs de bord d'attaque et les compensateurs, les spoilers font partie des commandes de vol secondaires.
L'ordre de grandeur de la vitesse de décollage est de : 20 à 50 km/h pour les planeurs ultra-légers motorisés (ULM). 80 à 120 km/h pour les avions monomoteurs de loisir ou les bimoteurs à hélices d'affaire. 240 à 280 km/h pour les avions de ligne selon leur taille (A320, A380).
La force de traînée est donc celle qui s'oppose au mouvement de l'avion ; c'est la résistance à l'avancement. La force de portance, ou de sustentation, est celle qui maintient l'avion en l'air.
Le cancer n'est pas la seule maladie dont le risque augmente avec la fréquence des vols aériens. Avec un vol de seulement deux heures et demie, une augmentation de 20% de maladies bénignes, comme la grippe, est généralement observée*.
En effet, si de la neige tombe sur le dessus de l'aile, elle peut peser plusieurs tonnes, ce qui réduit mathématiquement les performances de l'avion. De même, si de la glace s'accumule elle peut modifier la forme de l'aile, ce qui altère l'écoulement de l'air et peut réduire la portance de l'avion.
personnes ayant souffert récemment de troubles psychiatriques ; personnes souffrant de drépanocytose (selon avis du médein traitant) ; personnes ayant pratiqué la plongée sous-marine dans les 24 heures précédant le décollage ou ayant été victime d'un accident de décompression.
Selon les chiffres de l'Aviation Safety Network, l'atterrissage est la phase la plus périlleuse pour un avion. Entre 1999 et 2008, 36% des crashs se sont produits à l'atterrissage. Le décollage arrive deuxième avec 20% des incidents.
L'avion est 300 fois plus sûr que la voiture
Et si on veut continuer dans les statistiques, un humain a plus de risques de mourir noyé ou d'être frappé par la foudre, que de perdre la vie dans un accident d'avion.
Tout à l'arrière de l'avion, vous êtes presque certainement près des toilettes. Cela signifie qu'une file de personnes frénétiques fera la queue à côté de vous. Ensuite, vous serez soumis au bruit constant de la chasse d'eau et aux odeurs qui l'accompagnent et qui se répandent dans la cabine.
"L'A320 est certainement l'avion le plus sûr du monde", estime Gérard Feldzer. Gérard Feldzer, consultant aéronautique de BFMTV s'est exprimé à la suite du crash de l'Airbus A320, transportant 150 passagers, qui s'est écrasé dans le massif des Trois Evêchés, ce mardi.
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Le vol par temps orageux génère souvent des turbulences anxiogènes à bord des avions. C'est surtout en phase de décollage et d'atterrissage que les nuages peuvent créer des turbulences mais, en altitude de croisière, un avion de ligne vole la plupart du temps au-dessus de la zone orageuse.