En prenant ces précautions et en surveillant l'animal, un abreuvement à l'eau de pluie est possible. Cette eau est néanmoins déconseillée pour les animaux fragiles et nécessite de pouvoir donner rapidement une autre source d'eau en cas de problème. Découvrez Gérer les parasites avant le vermifuge de votre cheval.
Il est donc essentiel de proposer au cheval de l'eau à volonté, mais également d'une bonne qualité. Cela passe par : Une eau propre, claire, inodore/incolore et non souillée (attention notamment au box à la présence de crottins)
- Le test du pincement : il suffit de pincer la peau du cheval au niveau de l'encolure, puis de relâcher le pli de peau. Si elle revient immédiatement à la normale, c'est bon signe, votre cheval est hydraté. Cependant, si le replis de la peau redescend lentement, votre cheval peut potentiellement être déshydraté.
Servir de l'eau trop froide à un cheval qui n'y est pas habitué et après un effort important peut provoquer, sa température corporelle étant élevée, un choc thermique au niveau de son estomac et déclencher très rapidement une colique.
La pluie mouille essentiellement le poil du dessus mais le contact avec la peau reste le plus souvent sec et le cheval ne prend pas froid. La transpiration par contre, mouille d'abord la peau et donc une fois refroidie sera d'autant plus ennuyeuse.
Son poil d'hiver est épais, long, relativement imperméable; il emprisonne une couche d'air – contre la peau – qui fait office d'isolant thermique. Notez bien que la longueur du poil dépend de la marque de cheval considérée.
D'une façon générale les chevaux s'adaptent bien au froid. Lorsqu'ils ne sont pas tondus, ils sont à l'aise à des températures basses, même négatives, à condition de leur fournir ce dont ils ont besoin en fonction de leur âge, de leur état de santé, de leur état physiologique, du travail qu'ils fournissent.
Pourquoi les chevaux tapent-ils dans l'eau ? Piaffe dans l'eau Dans les cours d'eau naturels, les chevaux piaffent pour tester la profondeur de l'eau et le fond du lit de la rivière pour détecter tout danger avant qu'ils ne tombent et ne roulent.
Il prend des attitudes hébétées : tête basse, oeil fixe, désorientation, état de stupeur. Ses muqueuses sont congestionnées (très rouges). Si aucun traitement n'est mis en place, les symptômes s'aggravent : le cheval titube, perd connaissance et s'écroule au sol. La mort peut alors survenir très rapidement.
La bonne méthode consiste à le faire boire 1 à 2 litres plusieurs fois à 5-10 minutes d'intervalle, jusqu'à ce que sa soif soit étanchée. On peut également mettre quelques brins de paille dans l'eau, cela obligera votre cheval à boire moins vite. L'eau ne doit pas être trop froide sinon cela favorise les coliques.
Le barbotage se présente sous forme quasi liquide et peut être réalisé en ajoutant une quantité assez importante d'eau à la ration habituelle. Cela permet d'apporter de l'eau à un cheval qui n'a pas soif mais qui est déshydraté.
On estime en moyenne que les chevaux ont besoin de 5,2 litres d'eau/100 kg/jour, ce qui revient à fournir 10 – 15 litres par jour à des poneys de 200-300 kg, 15 – 25 litres à des chevaux de 300-450 kg, 25 – 30 litres à des chevaux de 450-500kg et plus pour les chevaux de plus de 500kg.
Inciter son cheval à boire :
C'est possible d'ajouter à l'eau quelque chose d'appétent afin de redonner au cheval l'envie de boire, comme en mettant du jus de pomme ou du sirop dans l'eau. Le fait de donner un mash permet au cheval d'avoir un apport supplémentaire en eau.
Selon les recommandations d'affouragement courantes, la quantité minimale de foin par cheval et par jour est de 1,5 kg de matière sèche pour 100 kg de masse corporelle. Cela correspond donc à 1,7 kg de foin.
Un cheval à l'herbe boit relativement peu d'eau : entre 10 et 20 litres selon la saison, car l'herbe contient beaucoup d'eau. D'autre part, les chevaux dans l'écurie avec des aliments fabriqués et du fourrage sec auront besoin de beaucoup plus d'eau. Un cheval ne boira pas d'eau sale ou polluée.
Le cœur est situé dans la partie antérieure de la poitrine, recouvert en partie par les poumons. Un échancrure du poumon gauche lui permet de quasiment toucher la paroi thoracique de ce côté.
En une heure, un cheval peut transpirer l'équivalent de 15 à 20 litres d'eau dans des conditions fraîches et sèches, et 30 litres lorsque le temps est chaud et humide. Seulement 25 à 30% de la sueur s'évaporent ; le reste coule le long de la peau.
Il peut prendre avec lui une éponge et un seau d'eau afin de rafraîchir régulièrement sa monture. Après un effort intense, il est recommandé de doucher à plusieurs reprises le cheval tout en le faisant marcher entre deux douches.
Une supplémentation électrolytique est nécessaire en cas d'effort physique intense, de fortes chaleurs et/ou de stress prolongé.
Le fait que les chevaux de votre écurie hennissent de cette façon quand vous venez les voir signifie que vous avez su créer une relation privilégiée avec eux. Probablement parce que vous les sortez au pré, leur donnez à manger quand vous venez les voir. C'est donc un bon signe !
Si l'animal baisse légèrement sa tête et son cou en votre présence, cela signifie qu'il apprécie le moment partagé avec vous. De même, s'il lève bien haut sa tête et son cou quand il vous voit, c'est qu'il est super excité. Cela signifie également qu'il adore être avec vous.
Un cheval qui se gratte sur vous est à proscrire même si cela vous fait plaisir. C'est vous et vous seul, qui devez venir lui gratter la tête et non l'inverse. De même qu'un cheval, n'est pas brut de nature c'est notre comportement envers lui (conscient ou inconscient) qui l'incite à être brut envers nous.
Je vous conseille de doucher votre cheval en été, quand la température est au moins de 23 °C. Une fois la douche terminée, n'oubliez pas « d'essorer » votre cheval avec un couteau de chaleur (ou même de le frictionner) et exposez-le en plein soleil pour qu'il sèche.
Le shivering est une affection neuromusculaire se traduisant par l'apparition de spasmes involontaires et intermittents, le plus souvent au niveau des membres postérieurs du cheval. On peut le résumer par l'abréviation 2HT2S : « Hypertonie, Hyperflexion, Tremblement, Spasticité en Station ».
Un cheval doit consommer dix fois plus de neige que d'eau pour satisfaire ses exigences. Et il doit utiliser de l'énergie pour faire passer la neige de la température ambiante extérieure à la température de son corps.